IL y a quelques jours, je me suis interrogé sur les responsabilités de la chaîne culturelle franco-allemande, à travers un article intitulé: " ARTE ! Vecteur de Haines ? ".
Aujourd’hui, je m’interroge sur l’antisémitisme potentiel de la direction.J’ai suivi la soirée thématique’’ Dialogues Israélo-Palestiniens’’, et ne n’y ai vu qu’un désir manifeste de desservir Israël.
Le poisson d’avril était, une fois de plus, réservé aux seuls Israéliens désireux de DIALOGUER avec tous leurs procureurs et calomniateurs, et le bourrage de crane destiné aux téléspectateurs.
Du ‘’refus israélien’’ du plan de paix saoudien, aux ‘’seules victimes palestiniennes’’ en passant par les ’’civils assassinés’’ à Jénine, le téléspectateur lambda à eu, ce soir, sa dose de détestation du juif, légitimée par la critique de l‘état d‘Israël et justifiée par cette chaîne publique.
Qui croit encore que les journalistes de ce média respectent la déontologie de leur métier ?
Quelle est donc cette disposition, qui interdit à la majorité du peuple israélien d’être représentée lors de tous les débats en ce beau pays des droits de l‘homme ?
N’y a t-il que des israéliens d’extrême gauche, et leur idéologie, pour expliquer les raisons et les choix politiques du pays. N’y a t-il que des israéliens, mal dans leur peau, pour décrire la vie difficile de ce pays entouré de millions d’individus conditionnés à la perte d’Israël ? N’y a t-il que des documentaires israéliens condamnant systématiquement toute action de ce jeune pays (mais si vieux par les leçons de démocratie et de droits de l‘homme administrées à tous ses détracteurs) ? N’y a t-il que les droits palestiniens à défendre ?
Beaucoup d’autres interrogations conduiront aux soupçons d’antisémitisme de ce canal, chasse gardé de l’idéologie pro-palestinienne; car sauf à indiquer clairement leur positionnement sur ce conflit, il se doit -en tant que média neutre- d’expliquer, pour une compréhension complète, les options de l’administration israélienne.
Le Premier Ministre, Jean Pierre Raffarin, à appeler les Français ’’à éviter qu’il puisse y avoir un transfert dans notre communauté nationale des tensions internationales’’.
Nicolas Sarkozy, ministre de l’Intérieur, lors de différents discours à stigmatisé tout antisémitisme et soutenu le droit des juifs français à soutenir pleinement Israël.
Dominique Perben, ministre de la Justice, a interjeté appel à la cour de Douai de la relaxe de Jean Claude VILLEM - maire communiste de la ville de SECLIN - dans un procès pour antisémitisme.
Jean-Jacques Aillagon, ministre de la Culture et de la Communication, responsable de France Télévision, s’est dit horrifié de l’attaque antisémite de quatre jeunes juifs de l’association Hashomer Hatsair.
Les hommes politiques font de beaux discours, développent de belles intentions, mais leurs actes tardent à confondre et à détruire ce fléau qui ronge, entre autres, les intellectuels détenant les leviers des médias publics français.
La France n’est pas un pays antisémite. Mais ARTE, par ses choix politiques, enracine dans l’esprit de la nouvelle génération -qui constituera dans l’avenir l’élite de la France- un réflexe anti-israélien et, par équation simplifiée, antisémite.
D’où l’inquiétude générale de la communauté juive française, et son exaspération devant tant d’hostilité et de haine développées par des médias, notamment publics.
‘’A justifier l’injustifiable, on en vient à excuser l’inexcusable’’. dixit Nicolas Sarkozy.
ARTE devrait en prendre bonne note.
Aujourd’hui, je m’interroge sur l’antisémitisme potentiel de la direction.J’ai suivi la soirée thématique’’ Dialogues Israélo-Palestiniens’’, et ne n’y ai vu qu’un désir manifeste de desservir Israël.
Le poisson d’avril était, une fois de plus, réservé aux seuls Israéliens désireux de DIALOGUER avec tous leurs procureurs et calomniateurs, et le bourrage de crane destiné aux téléspectateurs.
Du ‘’refus israélien’’ du plan de paix saoudien, aux ‘’seules victimes palestiniennes’’ en passant par les ’’civils assassinés’’ à Jénine, le téléspectateur lambda à eu, ce soir, sa dose de détestation du juif, légitimée par la critique de l‘état d‘Israël et justifiée par cette chaîne publique.
Qui croit encore que les journalistes de ce média respectent la déontologie de leur métier ?
Quelle est donc cette disposition, qui interdit à la majorité du peuple israélien d’être représentée lors de tous les débats en ce beau pays des droits de l‘homme ?
N’y a t-il que des israéliens d’extrême gauche, et leur idéologie, pour expliquer les raisons et les choix politiques du pays. N’y a t-il que des israéliens, mal dans leur peau, pour décrire la vie difficile de ce pays entouré de millions d’individus conditionnés à la perte d’Israël ? N’y a t-il que des documentaires israéliens condamnant systématiquement toute action de ce jeune pays (mais si vieux par les leçons de démocratie et de droits de l‘homme administrées à tous ses détracteurs) ? N’y a t-il que les droits palestiniens à défendre ?
Beaucoup d’autres interrogations conduiront aux soupçons d’antisémitisme de ce canal, chasse gardé de l’idéologie pro-palestinienne; car sauf à indiquer clairement leur positionnement sur ce conflit, il se doit -en tant que média neutre- d’expliquer, pour une compréhension complète, les options de l’administration israélienne.
Le Premier Ministre, Jean Pierre Raffarin, à appeler les Français ’’à éviter qu’il puisse y avoir un transfert dans notre communauté nationale des tensions internationales’’.
Nicolas Sarkozy, ministre de l’Intérieur, lors de différents discours à stigmatisé tout antisémitisme et soutenu le droit des juifs français à soutenir pleinement Israël.
Dominique Perben, ministre de la Justice, a interjeté appel à la cour de Douai de la relaxe de Jean Claude VILLEM - maire communiste de la ville de SECLIN - dans un procès pour antisémitisme.
Jean-Jacques Aillagon, ministre de la Culture et de la Communication, responsable de France Télévision, s’est dit horrifié de l’attaque antisémite de quatre jeunes juifs de l’association Hashomer Hatsair.
Les hommes politiques font de beaux discours, développent de belles intentions, mais leurs actes tardent à confondre et à détruire ce fléau qui ronge, entre autres, les intellectuels détenant les leviers des médias publics français.
La France n’est pas un pays antisémite. Mais ARTE, par ses choix politiques, enracine dans l’esprit de la nouvelle génération -qui constituera dans l’avenir l’élite de la France- un réflexe anti-israélien et, par équation simplifiée, antisémite.
D’où l’inquiétude générale de la communauté juive française, et son exaspération devant tant d’hostilité et de haine développées par des médias, notamment publics.
‘’A justifier l’injustifiable, on en vient à excuser l’inexcusable’’. dixit Nicolas Sarkozy.
ARTE devrait en prendre bonne note.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire