L’Affaire Mohamed Al-Dura ne finit pas de faire des vagues. Les dernières ‘’dévoilent’’ le fait qu’un rédacteur en chef adjoint de France 3, sous un pseudonyme, participe à une campagne, contre un confrère de France 2, en soutenant la thèse d’une « mise en scène ».
Denis Sieffert, avec ses mots choisis de journaliste engagé à l’extrême gauche, s’acoquine avec Charles Enderlin pour entretenir la thèse contraire. A savoir, l’assassinat de l’enfant « très probablement par des tirs israéliens à Netzarim, dans la bande de Gaza, en 2000, au début de la deuxième Intifada ». (Admirez le : ‘’très probablement’’).
Cette accusation plus que douteuse affirmée, bien évidemment, sans avoir nulle preuve évidente du ‘’meurtre’’. Pas même une photo, concernant les Al-Dura ensanglantés sur les lieux du ‘’drame’’, tirée des rushes pris ce jour de septembre 2000.
La bonne mine ‘’honnête et professionnelle’’ de Charles Enderlin leur suffit aussi pour qualifier tout tenant de la thèse du mensonge médiatique comme faisant partie forcément « de l’extrême droite sioniste en France ». Pas moins ! D’autant plus que « Depuis lors, des centaines d’enfants palestiniens ont été tués par l’armée israélienne, dont au moins trois cents en décembre et janvier derniers à Gaza, sans que les mêmes milieux ultra-sionistes s’en émeuvent » (sic).
L’analyse présente n’a pas pour objet de confirmer la perversion intellectuelle de l’extrême gauche française mais celui de la dénonciation à la justice de Clément Weill-Raynal, « rédacteur en chef adjoint à France 3 et militant « ultra », proche de la direction actuelle du Crif », ainsi que du magazine Actualité juive.
L’article de Denis Sieffert nous apprend que fin 2008, Jamal Al-Dura a « déposé auprès du doyen des juges d’instruction du tribunal de grande instance (TGI) de Paris une plainte avec constitution de partie civile pour diffamation, par l’entremise de son avocate, Me Orly Rezlan ».
Chacun pourra assurément imaginer, par ce fait, que Jamal Al-Dura, d’une part, lit le français -notamment l’hebdomadaire Actualité juive où a été publié la prose ‘’ultra’’ de Weil-Raynal- et, d’autre part, gagne suffisamment sa vie pour pouvoir se payer un avocat parisien afin de défendre son honneur ‘’mis à mal’’.
On ne doutera point ici que des âmes ‘’bien intentionnés’’ -et forcément anti-israéliennes- se sont chargées de lui traduire les textes incriminés ni qu’elles ont contribué à rassembler la somme nécessaire pour les frais judiciaires.
Au-delà de cette tentative caractéristique de l’intimidation judiciaire aux fins de faire taire, encore une fois, des défenseurs de l’état d’Israël, il est à noter l’incroyable retard pris quant à la mise en place d’un groupe de travail d’experts indépendants -sous la direction du Président de la Licra Patrick Gaubert et décidé par Patrick de Carolis PDG de France Télévisions- chargé de répondre aux diverses questions qui se posent sur cette étrange affaire.
On pointera également le retard considérable quant à la venue à Paris de Jamal Al-Dura, annoncée par Charles Enderlin , aux fins de « subir des examens médicaux ».
Retards permettant, curieusement, de soutenir une théorie obscure. Celle confirmant une manigance ‘’ultra sioniste d’extrême droite’’ visant « à brouiller l’impact des images et à discréditer Charles Enderlin dont l’honnêteté dérange ». Là encore, pas moins !
On ne peut donc que souhaiter que cette énième plainte en diffamation soit celle permettant à la verve de Clément Weill-Raynal et à la plume de Serge Benattar -rédacteur en chef d’Actualité juive- de démonter la manigance de l’envoyé permanent de France 2 à Jérusalem qui, depuis neuf années, fait son possible pour enterrer définitivement tout questionnement sur son ‘’scoop’’.
Denis Sieffert, avec ses mots choisis de journaliste engagé à l’extrême gauche, s’acoquine avec Charles Enderlin pour entretenir la thèse contraire. A savoir, l’assassinat de l’enfant « très probablement par des tirs israéliens à Netzarim, dans la bande de Gaza, en 2000, au début de la deuxième Intifada ». (Admirez le : ‘’très probablement’’).
Cette accusation plus que douteuse affirmée, bien évidemment, sans avoir nulle preuve évidente du ‘’meurtre’’. Pas même une photo, concernant les Al-Dura ensanglantés sur les lieux du ‘’drame’’, tirée des rushes pris ce jour de septembre 2000.
La bonne mine ‘’honnête et professionnelle’’ de Charles Enderlin leur suffit aussi pour qualifier tout tenant de la thèse du mensonge médiatique comme faisant partie forcément « de l’extrême droite sioniste en France ». Pas moins ! D’autant plus que « Depuis lors, des centaines d’enfants palestiniens ont été tués par l’armée israélienne, dont au moins trois cents en décembre et janvier derniers à Gaza, sans que les mêmes milieux ultra-sionistes s’en émeuvent » (sic).
L’analyse présente n’a pas pour objet de confirmer la perversion intellectuelle de l’extrême gauche française mais celui de la dénonciation à la justice de Clément Weill-Raynal, « rédacteur en chef adjoint à France 3 et militant « ultra », proche de la direction actuelle du Crif », ainsi que du magazine Actualité juive.
L’article de Denis Sieffert nous apprend que fin 2008, Jamal Al-Dura a « déposé auprès du doyen des juges d’instruction du tribunal de grande instance (TGI) de Paris une plainte avec constitution de partie civile pour diffamation, par l’entremise de son avocate, Me Orly Rezlan ».
Chacun pourra assurément imaginer, par ce fait, que Jamal Al-Dura, d’une part, lit le français -notamment l’hebdomadaire Actualité juive où a été publié la prose ‘’ultra’’ de Weil-Raynal- et, d’autre part, gagne suffisamment sa vie pour pouvoir se payer un avocat parisien afin de défendre son honneur ‘’mis à mal’’.
On ne doutera point ici que des âmes ‘’bien intentionnés’’ -et forcément anti-israéliennes- se sont chargées de lui traduire les textes incriminés ni qu’elles ont contribué à rassembler la somme nécessaire pour les frais judiciaires.
Au-delà de cette tentative caractéristique de l’intimidation judiciaire aux fins de faire taire, encore une fois, des défenseurs de l’état d’Israël, il est à noter l’incroyable retard pris quant à la mise en place d’un groupe de travail d’experts indépendants -sous la direction du Président de la Licra Patrick Gaubert et décidé par Patrick de Carolis PDG de France Télévisions- chargé de répondre aux diverses questions qui se posent sur cette étrange affaire.
On pointera également le retard considérable quant à la venue à Paris de Jamal Al-Dura, annoncée par Charles Enderlin , aux fins de « subir des examens médicaux ».
Retards permettant, curieusement, de soutenir une théorie obscure. Celle confirmant une manigance ‘’ultra sioniste d’extrême droite’’ visant « à brouiller l’impact des images et à discréditer Charles Enderlin dont l’honnêteté dérange ». Là encore, pas moins !
On ne peut donc que souhaiter que cette énième plainte en diffamation soit celle permettant à la verve de Clément Weill-Raynal et à la plume de Serge Benattar -rédacteur en chef d’Actualité juive- de démonter la manigance de l’envoyé permanent de France 2 à Jérusalem qui, depuis neuf années, fait son possible pour enterrer définitivement tout questionnement sur son ‘’scoop’’.