Ces trois grands noms de la littérature israélienne ont apporté leurs soutiens aux quelques dizaines de comédiens qui refusent de jouer dans la ville d’Ariel car se trouvant à l’extérieur de la ligne d’armistice de 1949 que d’aucuns nomment déjà et sans raison « les frontières de 1967 ». A.B. Yéhoshua, Amoz Oz et David Grossman, plus connus mondialement pour leurs combats politiques au sein de l’Ong « La Paix maintenant » que par leurs propres œuvres littéraires, ont donc publié un communiqué commun en faveur des acteurs appelant à boycotter le nouveau théâtre de cette ville qui ouvrira ses portes en novembre prochain.
L’un d’eux, A.B. Yehoshua, a déclaré de surcroît que « si les colons ne veulent pas évacuer les implantations, ils n'ont qu'à y rester et devenir des citoyens palestiniens ».
On ne peut dire mieux ! Car en affirmant cette simple évidence, A.B. Yehousha démontre que la ‘’colonisation’’ n’est pas l’obstacle majeur des négociations de paix. Ainsi, sans rentrer profondément dans des considérations juridiques, les ‘’colonies’’ qui seront situées au sein même de l’état à venir deviendraient des villes ‘’palestiniennes’’ où les résidents juifs auront le choix entre devenir exclusivement citoyens de ce nouveau pays ou binationaux. Un choix que devront affiner les futurs accords entre les deux états. Une option qui cadrerait par ailleurs avec les droits de l’homme. Ainsi, la démarcation entre ces deux pays serait une frontière « sure et reconnue », telle que stipulée dans la résolution 242, car tracée selon des critères de raisons et sécuritaires et non pas idéologiques.
Encore faut-il, pour ce faire, que l’Autorité palestinienne accepte l’idée d’avoir une minorité juive au sein de l’état à naître. A.B. Yehoshua, homme politique, n’est pourtant pas sans connaître l’ardent désir ‘’palestinien’’ d’un territoire expurgé de tout Juif tel que le rêvait le troisième Reich.
Ainsi, de fait, les habitants d’Ariel se retrouvent être des citoyens israéliens en trop là où ils se trouvent. Pour les uns, des citoyens de second rang, pour les autres des individus à déloger sans autre raison que leur Judaïsme. Une position peu envieuse qui n’empêche nullement ces gauchistes extrêmes israéliens de continuer à croire en la volonté de paix des ‘’palestiniens’’. Une ‘’paix’’ qui prône ni plus ni moins que l’éradication d’Israël par la revendication d’un droit de retour des ‘’réfugiés’’ en son sein et par la main mise sur lieu le plus saint du Judaïsme. A savoir le Mont du Temple.
Suite à cette triste constatation, on ne peut qu’être interloqué par la prise de position de ces ‘’intellectuels’’, mais aussi de celle des comédiens, appelant à boycotter des Israéliens en lieu et place de forcer les ennemis de leur peuple à reconnaître Israël comme nation du peuple juif et le droit de quelque uns de leurs concitoyens de vivre en ce qui fut le berceau de leurs ancêtres, à savoir la Judée et Samarie.
Pour contenter les uns et les autres, il ne resterait plus que la solution de rapatrier (déporter ?) les 18.000 habitants de cette ville. Solution que la très grande majorité refuse à envisager et que même A.B. Yehoshua n’ose proposer ouvertement.
De peur d’être à son tour boycotté ?
L’un d’eux, A.B. Yehoshua, a déclaré de surcroît que « si les colons ne veulent pas évacuer les implantations, ils n'ont qu'à y rester et devenir des citoyens palestiniens ».
On ne peut dire mieux ! Car en affirmant cette simple évidence, A.B. Yehousha démontre que la ‘’colonisation’’ n’est pas l’obstacle majeur des négociations de paix. Ainsi, sans rentrer profondément dans des considérations juridiques, les ‘’colonies’’ qui seront situées au sein même de l’état à venir deviendraient des villes ‘’palestiniennes’’ où les résidents juifs auront le choix entre devenir exclusivement citoyens de ce nouveau pays ou binationaux. Un choix que devront affiner les futurs accords entre les deux états. Une option qui cadrerait par ailleurs avec les droits de l’homme. Ainsi, la démarcation entre ces deux pays serait une frontière « sure et reconnue », telle que stipulée dans la résolution 242, car tracée selon des critères de raisons et sécuritaires et non pas idéologiques.
Encore faut-il, pour ce faire, que l’Autorité palestinienne accepte l’idée d’avoir une minorité juive au sein de l’état à naître. A.B. Yehoshua, homme politique, n’est pourtant pas sans connaître l’ardent désir ‘’palestinien’’ d’un territoire expurgé de tout Juif tel que le rêvait le troisième Reich.
Ainsi, de fait, les habitants d’Ariel se retrouvent être des citoyens israéliens en trop là où ils se trouvent. Pour les uns, des citoyens de second rang, pour les autres des individus à déloger sans autre raison que leur Judaïsme. Une position peu envieuse qui n’empêche nullement ces gauchistes extrêmes israéliens de continuer à croire en la volonté de paix des ‘’palestiniens’’. Une ‘’paix’’ qui prône ni plus ni moins que l’éradication d’Israël par la revendication d’un droit de retour des ‘’réfugiés’’ en son sein et par la main mise sur lieu le plus saint du Judaïsme. A savoir le Mont du Temple.
Suite à cette triste constatation, on ne peut qu’être interloqué par la prise de position de ces ‘’intellectuels’’, mais aussi de celle des comédiens, appelant à boycotter des Israéliens en lieu et place de forcer les ennemis de leur peuple à reconnaître Israël comme nation du peuple juif et le droit de quelque uns de leurs concitoyens de vivre en ce qui fut le berceau de leurs ancêtres, à savoir la Judée et Samarie.
Pour contenter les uns et les autres, il ne resterait plus que la solution de rapatrier (déporter ?) les 18.000 habitants de cette ville. Solution que la très grande majorité refuse à envisager et que même A.B. Yehoshua n’ose proposer ouvertement.
De peur d’être à son tour boycotté ?