Depuis un peu plus de quatre décennies,
la France a adopté une politique arabe qui s’avère être, après chaque
analyse détaillée, un soutien à des dictatures, à des systèmes allant contre ses
propres valeurs, mais également corrompus et s’apparentant à la mafia. Et cela
quelque soit la couleur politique du gouvernement en place ou de l’occupant de l’Elysée.
Pour l’exemple, il faut se
souvenir de la condamnation du « massacre de Djénine » au Conseil
des Droits de l’homme onusien en 2002 par le ministre des Affaires
étrangères Hubert Vedrine, alors ministre de gauche et de cohabitation. Un
massacre imaginaire qui ne fut au final que propagande ‘’palestinienne’’ autrement
dit criminelle pour avoir sali une armée et un peuple plaçant l’éthique très
haut. Un blâme émis avant toute enquête sérieuse et qui n’avait d’autre
objectif que de prouver le soutien français au combat ‘’palestinien’’. Dans l’intérêt
bien compris de relations mercantiles avec le monde arabo-musulman. Quitte à
mettre sous le tapis les droits à la légitime défense du peuple israélien. Un
blâme criminel qui s’inscrit dans la ligne politique élaborée par le Général
De Gaule et qui n’a guère changé depuis !
Nicolas Sarkozy, de bord
politique de droite, dès le début de son quinquennat, a assuré son appui au
pays qui était, à ses yeux, « le miracle du XXème siècle ». A
savoir l’Etat d’Israël. Cependant, la politique arabe a fait son travail
de sape. C’est ainsi, par exemple, qu’il réclama aux
autorités israéliennes, à de nombreuses reprises, la libération anticipée du ‘’palestinien’’
Salah Hamouri, accusé lors de son procès d’avoir projeté l’assassinat du
rabbin Ovadia Yossef. Un ‘’palestinien’’, ou plutôt un criminel n’ayant
nul regret de son dessein et affirmant lors de sa libération récente que « Le
rabbin Ovadia Yossef mérite de mourir car il symbolise le racisme et le
fanatisme israéliens ».
Termes évidemment attendus de
chaque ‘’innocent’’ libéré ! Paroles ignorées par le Quai d’Orsay,
son ministre de tutelle qui a visité la famille Hamouri ainsi que par la
Présidence de la République !
Autre démonstration ! Mahmoud
Abbas fut reçu sur le perron de l’Elysée le jour où le drapeau de la
« Palestine » fut hissé à l’UNESCO. Une organisation
onusienne pour l’éducation, la science et la culture et qui capta l’Autorité
palestinienne comme nouveau membre, entre autre, sous les acclamations
françaises. Une organisation qui porte fièrement la devise « Construire
la paix dans l’esprit des hommes et des femmes » (sic).
Riche de cette admission, le
président de l’Autorité palestinienne se rendit quelques jours plus tard
en Turquie pour rencontrer, entre autres ‘’humanistes’’ la ‘’palestinienne’’,
ou plutôt la criminelle libérée lors de l’échange avec le soldat Guilad
Shalit, Amna Mouna. Le seul ‘’talent’’ et apport de celle-ci à la ‘’construction
de la paix’’ si chère à l’UNESCO, fut l’enlèvement puis l’assassinat d’un
adolescent juif de 16 ans, Ofir Rahoum. Ce qui lui valut la réclusion à
la perpétuité par la Justice israélienne.
Une rencontre qui qualifie Mahmoud
Abbas de criminel et disqualifie, parmi tant d’autres, la France
par son appui devenu systématiquement anti-israélien.
Car, sans lister exhaustivement ‘’ l’incompétence’’ politique de la France, celle-ci peut-elle prétendre ignorer que
les places et les rues de la « Palestine » portent fièrement les
noms des terroristes les plus sanglants et non pas ceux d’artistes, de savants,
de politiques ayant contribué peu ou prou à l’humanisme de ce ‘’peuple’’ ?
Existent-ils seulement ?
La France, mais d’autres pays
occidentaux également, ignore-elle aussi le refus de l’Autorité
palestinienne de reconnaître Israël comme étant le pays du peuple
juif ?
La France, mais pas
seulement, ignore t-elle que l’antisémitisme est enseigné dans les écoles ‘’palestiniennes’’,
dans les mosquées et à la télévision d’état de cette entité politique ?
Ce qui est évidemment criminel !
La France, pays des droits
de l’homme, ignore t-elle que l’exigence d’un « droit de retour »
de centaines de milliers de « réfugiés » au sein même de l’état
juif n’a d’autre visée que l’éradication de ce dernier par la démographie ?
Une revendication jamais dénoncée comme étant un frein à toute paix, et des « réfugiés »
dont la situation misérable actuelle importe peu présentement aux pays
occidentaux et encore moins à l’Autorité criminelle de Mahmoud ABBAS !
Les autorités françaises
ignorent-elles encore que les conditions ‘’palestiniennes’’ d’un retour à la
table des négociations n’ont rien de pacifiques car servant d’obstacles à
toutes concessions majeures d’une reconnaissance de l’état juif ?
Nicolas Sarkozy ignore t-il
la charte du Hamas indiquant explicitement le devoir de reconquérir la « Palestine
» du fleuve à la mer ? Lui, dont
ses services se dépêchent de construire un centre culturel dans la bande de
Gaza !
Bien sûr que NON !