En 1993, j’ai été fort chagriné de voir l’équipe de football de mon pays, la France, éliminée de la coupe du monde 1994. J’ai été consolé, je vous l’avoue, de constater que m’a deuxième patrie en a été - entre autres - la cause.
En 1998, bien que circonspect au début du championnat, j’ai néanmoins défilé sur les Champs Elysées afin de fêter la réussite de la Dream team française; j’aurais volontiers voté Zizou président, en échange de notre triste jacquot.
En 2002, le coeur n’y étant plus, l’élimination de cette équipe m’a laissé distant, voire peut être même satisfait de ce cinglant échec pour ce pays qui est devenu, au fil du temps de sa politique, une réminiscence de la triste époque de Vichy.
Sans placer tous les Français dans le même sac, il est à noter, que les frontières de l’antisémitisme sont franchis de plus en plus allégrement, que les politiques se contentent de belles paroles, que les tribunaux culpabilisent les victimes...
En 2003, la France et Israël se défient à nouveau, sur le terrain sportif, pour une qualification à l’Euro 2004 qui se tiendra au Portugal. Le 02 avril à Palerme ( Italie ), Israël à reçu à ‘’DOMICILE’’les bleus français et à été dominé 2 à 1. IL leur manquait le 12 éme homme israélien, à savoir le public.
Seule une cinquantaine de juifs Français ont fait le déplacement. L’hymne national israélien, chanté par Noa dans ce stade presque vide, avait plutôt l’air d’une complainte qu’un cantique à l’espoir d’une victoire.
On s’est accoutumé, depuis près de trente mois, à ce que le sportif israélien soit un sportif ERRANT. Un juif n’ayant pas de patrie lui assurant une pleine expression de ses talents en toute sécurité.
C’est en tous les cas ce que veulent nous faire accroire les dirigeants mondiaux des différentes disciplines sportives. Israël se doit donc, de quémander l’autorisation à d’autres pays d’emprunter leurs stades et négocier les locations et les sécurités.
Quelle est cette dialectique qui veut installer notre pays dans l’interdiction de concourir normalement aux différents championnats internationaux?
Quelle est donc cette exemption qui permet de refuser de se rendre en Israël sans être déclaré forfait, voire de remporter les points si les rencontres ne sont pas organisées en d’autres lieux?
Quelle est donc cette accusation qui sous-entend que la sécurité des joueurs adverses n’est pas assurée, alors que jamais un attentat n’a pu être organisé au milieu d’un évènement sportif?
Quelle est donc cette contrainte qui nous oblige à reconnaître notre ‘’domicile’’ en maîtres et terres étrangers?
Il est temps de refuser cette exigence. Il est temps que les dirigeants israéliens, politiques et/ou sportifs, refusent cet état de fait. Il est temps d’affirmer notre droit sportif en notre patrie ISRAEL, et de refuser cet artifice politique qui nous obligent à nouveau d’être des juifs errants.
Que le sport en soit le perdant ne doit pas nous contraindre à toute sujétion !
En 1998, bien que circonspect au début du championnat, j’ai néanmoins défilé sur les Champs Elysées afin de fêter la réussite de la Dream team française; j’aurais volontiers voté Zizou président, en échange de notre triste jacquot.
En 2002, le coeur n’y étant plus, l’élimination de cette équipe m’a laissé distant, voire peut être même satisfait de ce cinglant échec pour ce pays qui est devenu, au fil du temps de sa politique, une réminiscence de la triste époque de Vichy.
Sans placer tous les Français dans le même sac, il est à noter, que les frontières de l’antisémitisme sont franchis de plus en plus allégrement, que les politiques se contentent de belles paroles, que les tribunaux culpabilisent les victimes...
En 2003, la France et Israël se défient à nouveau, sur le terrain sportif, pour une qualification à l’Euro 2004 qui se tiendra au Portugal. Le 02 avril à Palerme ( Italie ), Israël à reçu à ‘’DOMICILE’’les bleus français et à été dominé 2 à 1. IL leur manquait le 12 éme homme israélien, à savoir le public.
Seule une cinquantaine de juifs Français ont fait le déplacement. L’hymne national israélien, chanté par Noa dans ce stade presque vide, avait plutôt l’air d’une complainte qu’un cantique à l’espoir d’une victoire.
On s’est accoutumé, depuis près de trente mois, à ce que le sportif israélien soit un sportif ERRANT. Un juif n’ayant pas de patrie lui assurant une pleine expression de ses talents en toute sécurité.
C’est en tous les cas ce que veulent nous faire accroire les dirigeants mondiaux des différentes disciplines sportives. Israël se doit donc, de quémander l’autorisation à d’autres pays d’emprunter leurs stades et négocier les locations et les sécurités.
Quelle est cette dialectique qui veut installer notre pays dans l’interdiction de concourir normalement aux différents championnats internationaux?
Quelle est donc cette exemption qui permet de refuser de se rendre en Israël sans être déclaré forfait, voire de remporter les points si les rencontres ne sont pas organisées en d’autres lieux?
Quelle est donc cette accusation qui sous-entend que la sécurité des joueurs adverses n’est pas assurée, alors que jamais un attentat n’a pu être organisé au milieu d’un évènement sportif?
Quelle est donc cette contrainte qui nous oblige à reconnaître notre ‘’domicile’’ en maîtres et terres étrangers?
Il est temps de refuser cette exigence. Il est temps que les dirigeants israéliens, politiques et/ou sportifs, refusent cet état de fait. Il est temps d’affirmer notre droit sportif en notre patrie ISRAEL, et de refuser cet artifice politique qui nous obligent à nouveau d’être des juifs errants.
Que le sport en soit le perdant ne doit pas nous contraindre à toute sujétion !
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