Des « militants pro-palestiniens » (définis comme tels par les organes médiatiques) ont pris leur courage à deux mains (!!!), et décidé de casser le blocus marin imposé au territoire de la bande de Gaza. Une quarantaine décidé par le gouvernement de l’Etat d’Israël depuis que cette région aux mains du Hamas fut déclaré « entité hostile ».
A l’aide de deux embarcations -baptisées « Liberty et Free Gaza » et battant pavillon grec- les 44 individus, en majorité de nationalités britanniques et américaines, débarquèrent à Gaza sans avoir aperçu le moindre pavillon de la marine israélienne. Un télescopage espéré, attendu et préparé par ces militants aux seules fins d’attirer l'attention médiatique de la communauté internationale sur ‘’ l’inhumanité israélienne ’’.
Dans cet objectif, ils n’avaient pas hésité à affirmer, avant leur départ de Chypre, qu’ils avaient reçu des menaces de mort pour les dissuader de prendre part à l'expédition, puis que leurs systèmes de communications avaient été brouillés…. Tout cela sans succès médiatiques car Israël n’a pas, volontairement, tenu le rôle qu’on lui prêtait.
Bref ! Tout ce petit monde est arrivé sain et sauf au port de Gaza, afin de livrer (sic), cela ne s’invente pas, 200 prothèses auditives et 5.000 ballons destinés aux enfants de Gaza. Des appareils auditifs que ces militants auraient dû utiliser personnellement aux fins d’entendre la stricte réalité du conflit israélo-arabe. Une réalité qui confirme que pas un seul militaire, ni ‘’colon’’ ne se trouve dans la bande de Gaza depuis septembre 2005. Pas même une synagogue.
Ils auraient pu entendre, ces militants antisionistes, que l’Egypte participe aussi au blocus de peur que le Hamas ne déteigne sur les frères musulmans et n’occasionne, ainsi, des dommages à la sécurité intérieure.
Ils auraient pu entendre, provenant de ce territoire, les cris des chrétiens qu’on assassine, et de leurs lieux saints et librairies que l’on dynamite.
Ils auraient du entendre les cris d’effrois poussés par les ‘’Palestiniens’’ pensant autrement que le Hamas et allant se réfugier au sein de l’ennemi Juif de peur d’être tué par leurs ‘’frères’’.
Ils auraient dû essayer d’écouter les cris du soldat Guilad Shalit, du fond de sa cellule, bardé d’explosifs afin de décourager toute tentative de libération de l’armée israélienne.
Ils auraient pu, s’ils n’étaient sourds à la réalité et tenaillés par la haine d’Israël, entendre enfin, et sans que la liste ne soit exhaustive, les sirènes aigües -dénommées « couleur rouge »- annonçant l’arrivée de roquettes « artisanales » et d’obus de mortiers sur des villes et villages israéliens frontaliers de ce territoire aux mains de criminels sans fois ni lois.
Ces militants auraient dû en conclure que la bande de Gaza aurait pu devenir un lieu de villégiature et de prospérité pour ses habitants si le désir de détruire leur voisin n’était si élevé dans la population. Ils auraient pu passer pour des véritables défenseurs des droits de l’homme s’ils avaient choisi d’amarrer leurs deux embarcations au port de Poti en Géorgie afin de dénoncer l’occupation russe en lieu et place de ce non événement qui démontre qu’ils sont d’abord antisionistes avant d’être pro-palestiniens. Mais être antisioniste ne signifie pas forcément être fou. Gageons donc que la Géorgie attendra avant que l’un de ces militants ne vienne à son secours.
A l’aide de deux embarcations -baptisées « Liberty et Free Gaza » et battant pavillon grec- les 44 individus, en majorité de nationalités britanniques et américaines, débarquèrent à Gaza sans avoir aperçu le moindre pavillon de la marine israélienne. Un télescopage espéré, attendu et préparé par ces militants aux seules fins d’attirer l'attention médiatique de la communauté internationale sur ‘’ l’inhumanité israélienne ’’.
Dans cet objectif, ils n’avaient pas hésité à affirmer, avant leur départ de Chypre, qu’ils avaient reçu des menaces de mort pour les dissuader de prendre part à l'expédition, puis que leurs systèmes de communications avaient été brouillés…. Tout cela sans succès médiatiques car Israël n’a pas, volontairement, tenu le rôle qu’on lui prêtait.
Bref ! Tout ce petit monde est arrivé sain et sauf au port de Gaza, afin de livrer (sic), cela ne s’invente pas, 200 prothèses auditives et 5.000 ballons destinés aux enfants de Gaza. Des appareils auditifs que ces militants auraient dû utiliser personnellement aux fins d’entendre la stricte réalité du conflit israélo-arabe. Une réalité qui confirme que pas un seul militaire, ni ‘’colon’’ ne se trouve dans la bande de Gaza depuis septembre 2005. Pas même une synagogue.
Ils auraient pu entendre, ces militants antisionistes, que l’Egypte participe aussi au blocus de peur que le Hamas ne déteigne sur les frères musulmans et n’occasionne, ainsi, des dommages à la sécurité intérieure.
Ils auraient pu entendre, provenant de ce territoire, les cris des chrétiens qu’on assassine, et de leurs lieux saints et librairies que l’on dynamite.
Ils auraient du entendre les cris d’effrois poussés par les ‘’Palestiniens’’ pensant autrement que le Hamas et allant se réfugier au sein de l’ennemi Juif de peur d’être tué par leurs ‘’frères’’.
Ils auraient dû essayer d’écouter les cris du soldat Guilad Shalit, du fond de sa cellule, bardé d’explosifs afin de décourager toute tentative de libération de l’armée israélienne.
Ils auraient pu, s’ils n’étaient sourds à la réalité et tenaillés par la haine d’Israël, entendre enfin, et sans que la liste ne soit exhaustive, les sirènes aigües -dénommées « couleur rouge »- annonçant l’arrivée de roquettes « artisanales » et d’obus de mortiers sur des villes et villages israéliens frontaliers de ce territoire aux mains de criminels sans fois ni lois.
Ces militants auraient dû en conclure que la bande de Gaza aurait pu devenir un lieu de villégiature et de prospérité pour ses habitants si le désir de détruire leur voisin n’était si élevé dans la population. Ils auraient pu passer pour des véritables défenseurs des droits de l’homme s’ils avaient choisi d’amarrer leurs deux embarcations au port de Poti en Géorgie afin de dénoncer l’occupation russe en lieu et place de ce non événement qui démontre qu’ils sont d’abord antisionistes avant d’être pro-palestiniens. Mais être antisioniste ne signifie pas forcément être fou. Gageons donc que la Géorgie attendra avant que l’un de ces militants ne vienne à son secours.