mardi 29 avril 2014

Les ‘’petits mensonges’’ d’Avaaz

Avaaz est un réseau mondial, se voulant citoyen, qui mène des campagnes visant à ce que « les opinions et les valeurs des peuples influent sur les décisions mondiales ». Pour préserver l’appui de ses millions de membres, « Ricken et toute l'équipe d'Avaaz » leur ont envoyé un émail intitulé « Que s'est-il passé après mon don? ».

Un courriel dans lequel trois exemples sont censés démontrer le bienfondé de leur geste généreux.

Inscrivez-vous pour recevoir par courriel les nouvelles publications du blog.

L’un des trois exemples choisi concerne Gaby Lasky « une israélienne qui travaille aux côtés d'une infatigable équipe de juristes qui, en lien avec les leaders du mouvement non-violent palestinien, défend les militants non-violents accusés à tort. La contribution de notre communauté a été telle que nous avons pu faire un don de 225 000 dollars pour soutenir les efforts de Gaby ! ».

Gaby Lasky, au premier rang et deuxième 
à partir de la gauche

Il y aurait donc un ‘’mouvement non-violent palestinien’’, lequel verrait ses ‘’militants non-violents accusés à tort’’ par, indubitablement, l’Etat d’Israël !

Tout quidam, pourtant très éclairé sur la situation de la région, aura beau cherché le nom de ce mouvement pacifique il ne trouvera rien. Tout comme le réseau mondial Avaaz qui n’a pu le citer nommément !

Gaby Lasky aurait-elle inventé celui-ci pour les besoins de sa cause ?

Ce même quidam éclairé aura beau cherché par ailleurs les ‘’militants accusés à tort’’ et malgré tout poursuivis par la justice israélienne, il n’en trouvera pas, sauf erreur judiciaire !

lundi 28 avril 2014

La mascarade de Mahmoud Abbas

Le Président de l’Autorité palestinienne (AP) a sorti une nouvelle carte de sa manche. L’union avec le Hamas, qui permettra des élections présidentielles et législatives. Dans cette attente, un gouvernement de consensus national composé de personnalités indépendantes sera formé sous cinq semaines.

« Le prochain gouvernement obéira à ma politique », assure Mahmoud Abbas. « Je reconnais l'Etat Israël, je rejette la violence et le terrorisme et je respecte les engagements internationaux», a-t-il assuré dans un discours de plus d'une heure depuis la Mouqata’a à Ramallah.

Inscrivez-vous pour recevoir par courriel les nouvelles publications du blog.

Un gouvernement qui cédera cependant sa place à l’OLP dans les négociations avec l’Etat d’Israël car, selon lui, elle « représente l'ensemble du peuple palestinien ». Ainsi, pense t-il, seront satisfaites les exigences du Quartette pour le Proche-Orient 

Sauf que le Quartette et la communauté internationale ne seront pas appelés à mettre en œuvre les éventuels accords de paix mais le peuple ‘’palestinien’’ directement concerné.

Chacun s’interrogera donc sur la représentativité réelle de l’OLP devant, suite à cette union, incorporer le Hamas dont chacun connaît sa contribution à la paix ?

Face à cet impair sont rappelés les partis israéliens refusant toute création d’une ‘’Palestine’’. Excepté que l’Etat d’Israël étant un état de droit, nul n’imaginera un parti israélien quelconque prendre les armes contre cette création décidée par le gouvernement légitime en place.

Personne sauf les ‘’Palestiniens’’ ayant une doctrine à faire gober évidemment !

Dans ce même discours, Mahmoud Abbas a laissé planer la menace d'une auto-dissolution de l'Autorité palestinienne, qu'il dirige. Cette entité politique administrant seul les zones autonomes de la Judée et la Samarie, la zone A selon les accords d’Oslo, on imagine mal l’Etat d’Israël reconquérir ces territoires afin d’advenir aux besoins de cette population abandonnée.

Pour exemple, si le Hamas se dissout, nul gouvernement israélien ne sera contraint d’envahir la bande de Gaza pour survenir aux nécessités des habitants s’y trouvant.

jeudi 24 avril 2014

La ‘’beauté’’ de l’Islam

Il faut côtoyer l’Islam pour sentir le ‘’doux’’ parfum de cette religion. Un arôme d’où se dégage la ‘’douceur, l’amour et la bonté’’. Une fragrance si forte que chaque croyant ne peut qu’attester qu’« Allah est grand » ! 


Si ‘’grand’’ qu’il a fait pleurer des enfants. Certes Juifs et se promenant sur le Mont du Temple débaptisé depuis 1967 en « esplanade des mosquées » dont l’une dénommée Al-Aqsa aurait vu monter Mahomet vers les cieux alors qu’elle n’existait pas encore. 

Un endroit si ‘’saint’’ et pourtant ignoré par le Coran !

Bref ! Une visite que ces enfants n’oublieront pas de sitôt au vu de la haine qui suinte des musulmans les insultant le long de leur périple. Une hargne que l’on imagine aisément accompagner tout pogrom.

vendredi 18 avril 2014

‘’L’innocence’’ idéologique de la gauche israélienne

Le Dr Alon Liel fut diplomate en poste à Ankara dans les années 80 avant de devenir, en 2000, directeur général du ministère des Affaires étrangères israélien. De gauche et impatient d’une paix qui se fait attendre, il propose dans un article diffusé par I24news d’« Aller à La Haye pour résoudre le conflit israélo-palestinien » car « Netanyahou ne convient pas à cette tâche » et « Abbas (…) semble vouloir faire la paix » mais ne le peut pas.

Ce même Mahmoud Abbas, Président de l’Autorité palestinienne, qui refuse de débattre d’une reconnaissance du pays d’Alon Liel comme étant la nation du peuple juif ! 

Autrement énoncé, Abbou Mazen de son nom de guerre rejette totalement la solution de deux états pour DEUX peuples !

Inscrivez-vous pour recevoir par courriel les nouvelles publications du blog.

Mais imaginons, pour l’analyse, cette Cour de Justice internationale, « organe professionnel et objectif » selon ce politique devenu éditorialiste, en arriver à débattre du « droit de retour » de centaines de milliers de « réfugiés » au sein même de l’état du peuple juif.

Une exigence du monde musulman au nom d’une « paix juste ».

La seule résolution permettant à ce tribunal d’aborder le sujet est la résolution 194 non contraignante de l’Assemblée générale de l’ONU du onze décembre 1948 assurant « qu’il y a lieu de permettre aux réfugiés qui le désirent, de rentrer dans leurs foyers le plus tôt possible et de vivre en paix avec leurs voisins ».

Chacun pourra concevoir que dans un geste humanitaire, au nom de la Paix et au vu du nombre restreint de « réfugiés » de 1948 encore vivants, la Cour décide que ceux-ci, seuls, pourront retourner en Israël même. Ce qui ne modifiera en rien la démographie du pays.

Si cela mènera à une paix véritable, peu d’Israéliens, au final, s’y opposeront !

Mais la Cour pourra t-elle se permettre ce même verdict, voire partiel, dans la mesure où la descendance ‘’palestinienne’’ hérite de père en fils de ce même statut, multipliant ainsi le nombre de « réfugiés » devant ‘’rentrer chez eux’’ ? Plus prosaïquement dit, condamnera t-elle le refuge du peuple juif à disparaître, créant de la sorte de nouveaux réfugiés au nom d’une paix qui porte mal son nom ?

Quand bien même, les Israéliens se plieront-ils à cette sentence mortelle pour leur avenir ? Bien sûr que non !

Si par contre la Cour s’oppose à cette exigence, le monde musulman acceptera t-il, enfin, l’évidence d’une nation pour le peuple juif ? Peu l’affirmerait !

jeudi 10 avril 2014

Les ‘’erreurs’’ de Benjamin Barthe

Benjamin Barthe est le chef du desk Moyen-Orient pour le quotidien Le Monde. Il s’agit d’un service chargé de la collecte, de l'édition et du contrôle des dépêches provenant, notamment, du conflit israélo-arabe. Ce qui n’en fait pas, pour autant, un journaliste flirtant avec l’honnêteté intellectuelle. 

Lire ses articles revient à parcourir les feuilles d’un petit propagandiste lequel récite les poncifs habituels anti-israéliens prenant son lectorat pour un imbécile.

Inscrivez-vous pour recevoir par courriel les nouvelles publications du blog.

Dans un article intitulé « Israël-Palestine : les quatre erreurs de John Kerry », il n’hésite pas à affirmer dans un chapitre sous-titré « Le droit international éclipsé » (tout un programme) que les ‘’frontières de 1967’’ sont « consacrées par la résolution 242 des Nations unies ».

Quand bien même la traduction française de cette résolution, celle réclamant le retrait israélien de « tous les territoires », serait celle qui doit servir à régler le conflit, nul ne peut faire fi de l’exigence qui s’y trouve quant à donner des « frontières sûres » à l’Etat d’Israël. Ce que n’assurait pas jusqu’alors la ligne d’armistice de 1949 que beaucoup nomment « frontières de 1967 ». Des frontières qui garantiraient aux israéliens les moyens de repousser toutes les nombreuses tentatives de leur nuire.

Se retirer de tous les territoires conquis en 1967 empêcherait donc la réalisation du besoin sécuritaire vital israélien indiqué dans cette résolution. Il y a donc bien contradiction dans cette traduction qui est loin de l’esprit de ceux qui l’ont écrite. Les « frontières de 1967 » ne sont donc pas « consacrées » et le retrait israélien ne doit se faire que « de territoires ».

Erreur de la part de Benjamin Barthe ? Seuls les naïfs l’affirmeront ! Mais alors, quel est l’objectif recherché par icelui ?

Toujours dans ce même chapitre, le chef du desk écrit que « M. Kerry s'est laissé enfermer par M. Netanyahou dans une discussion stérile, sur deux points inacceptables pour les Palestiniens : la reconnaissance d'Israël comme un Etat juif et le maintien de troupes israéliennes dans la vallée du Jourdain. »

Sans revenir sur le besoin des Israéliens d’assurer par eux-mêmes leur sécurité en exigeant le maintien, le temps nécessaire, de leur armée à la frontière jordano-‘’ palestinienne’’, le refus de l’Autorité palestinienne de la reconnaissance d’Israël comme un « Etat juif » est incompréhensible. Sauf évidemment pour l’auteur.

Que veut donc dire « état juif » ? Le peuple israélien aurait-il besoin d’une quelconque autorisation pour s’adonner au Judaïsme dans son propre pays ? Nullement !

Est-ce à dire, alors, « qu’état juif » indique l’acceptation, par la partie musulmane, que l’Etat d’Israël soit l’état destiné au peuple juif ? Dit plus sobrement, que la solution de deux états pour Deux peuples serve de dénouement au conflit ? Evidemment !

Apparemment, Benjamin Barthe, qui se fait le porte-parole de l’intransigeance ‘’palestinienne’’, est également contre. Il s’agit là d’une erreur au bon sens de sa part !

Quel est donc l’objectif qu’il recherche ? Il ne faut pas être très malin pour le deviner !

mercredi 9 avril 2014

Israël, évidemment, responsable de l’arrêt des négociations !

« John Kerry accuse Israël d'avoir entravé le processus de paix », « John Kerry reproche à Israël de nuire aux discussions de paix », « John Kerry, exaspéré, s'en prend à Israël », « Négociations au Proche-Orient : Kerry accuse Israël ». Ce sont quelques titres de la presse du jour suite aux déclarations du Secrétaire d’état américain face à la Commission des Affaires étrangères du Sénat : « Malheureusement, les prisonniers n'ont pas été libérés le samedi où ils devaient l'être. Puis, un jour, deux jours, trois jours sont passés et dans l'après-midi, quand ils pouvaient peut-être le faire, 700 logements de colonisation étaient annoncés à Jérusalem et pouf, voilà où nous en sommes ».

Selon cette présentation succincte, nul ne peut, en effet, en déduire autre chose qu’une responsabilité israélienne. C’est ce que font tous les médias, systématiquement habitués à pointer l’état du peuple juif, la réflexion leur étant devenue totalement étrangère !

Est-ce le cas réellement ? Bien sûr que non !


Inscrivez-vous pour recevoir par courriel les nouvelles publications du blog.

Ce que John Kerry ne dit pas au Sénat américain est la raison qui a poussé le Premier ministre israélien à refuser la libération du dernier contingent de terroristes. Celle-ci est due au refus de l’Autorité palestinienne (AP) d’accepter une prolongation des négociations, au moins jusqu’à la fin de l’année 2014. Une libération qui n’aurait eu comme gain unique que celui de raviver la douleur de familles des victimes.

Pas même celui d’avoir obtenu, lors de ces négociations, l’aval de l’AP  quant à la solution de deux états pour DEUX peuples. L’un d’eux étant le peuple juif.

Le plus ‘’comique’’ de cette situation étant qu’est reconnu comme responsable celui qui souhaite et agit en faveur de la poursuite des pourparlers !

Le monde à l’envers !

L’autre grief attesté par John Kerry est : « 700 logements de colonisation étaient annoncés à Jérusalem ». Plus précisément dans le quartier de Gilo, au sud-ouest de Jérusalem et peuplé, actuellement, par plus de quarante mille israéliens.

L’imagination est-elle si fertile dans ce conflit qu’elle permet d’imaginer son démantèlement futur ? Quel gouvernement et quel parti politique israéliens -hormis d’extrême gauche- permettraient une telle chose, autrement dit la division de la capitale Jérusalem ?

Ce secteur est donc appelé à rester dans le giron israélien. Les constructions en son sein ne peuvent donc être considérés comme un frein au processus de paix qui, jour après jour, se transforme en farce. Il est donc grand temps que celle-ci se termine et avec elle les accusations illogiques telles celles ci-dessus qui conduisent à installer le peuple israélien, et à travers lui le peuple juif, aux prises grandissantes de l’antisémitisme.

Des condamnations qui font la joie de l’Autorité palestinienne mais qui entravent voire reculent la venue de la Paix réelle tant désirée par la majorité du peuple d’Israël prête à la solution de deux états pour DEUX peuples.

jeudi 3 avril 2014

L’échec des négociations analysé par Charles Enderlin

Le processus de ‘’paix’’ entre l’Etat d’Israël et le monde arabe au travers des ‘’Palestiniens’’ est au point mort. Pour Charles Enderlin, ‘’professionnel’’ du Proche-Orient, il est à « l’agonie ». Si sur le titre de son article il ne peut y avoir de divergences profondes, on ne peut en dire de même sur le corps de son texte. L’analyser méticuleusement permet de s’apercevoir combien sa réflexion sur ce conflit est manichéenne et l’idéologie de gauche envahissante.

Celles-ci devant conclure, bien évidemment, à la responsabilité unique de l’administration israélienne !

Inscrivez-vous pour recevoir par courriel les nouvelles publications du blog.

Dès le début, il nous est rappelé que le Secrétaire d’état John Kerry « a obtenu l’accord de Benjamin Netanyahu et de Mahmoud Abbas de reprendre les négociations pendant neuf mois ».

Serait-il possible que la paix recherchée, lors de ces négociations, ne comprenne point la reconnaissance du droit du peuple juif à détenir son propre état sur une partie de la terre ancestrale et, de surcroît, que les Israéliens l’acceptent ? Qui pourrait le croire ? Pourtant, pour l’auteur oublieux de ce point, il semblerait que cela soit un détail alors que Mahmoud Abbas et la Ligue arabe ont indiqué clairement et publiquement leur refus total.

Le processus pour cette ‘’paix’’ pourrait-il alors être autrement qu’à l’agonie ?

Une morte lente qui incite les adeptes du palestianisme à utiliser le poncif de la menace d’une saisine de la Cour internationale de Justice si Israël ne plie pas !

« La direction palestinienne s’est engagée à suspendre l’adhésion de la Palestine à 63 agences et organisations onusiennes et surtout à ne pas porter le problème de l’occupation des territoires devant la Cour internationale de La Haye ».

Sur quel droit international cette cour pourra t-elle s’appuyer ? Très difficile à savoir !

Pourra t-elle confirmer les « frontières de 1967 » comme frontières internationales ? Non ! Aucune résolution n’en fait mention. Comment, par ailleurs, définir une « occupation » si la résolution contraignante 242 établit clairement le retrait DE territoires, et non DE TOUS les territoires conquis en juin 1967, afin que des « frontières sûres », mentionnées dans cette loi onusienne, soient attribuées à l’état du peuple juif ?

La ville de Jérusalem sera-t-elle hors des limites israéliennes ? Qui pourrait l’imposer ?

Un sacré cassement de tête en perspective pour l’Autorité palestinienne ! Au final, devra t-elle saisir cette Cour ? Tout avocat sérieux le lui déconseillerait !

Celle-ci donnera t-elle, par ailleurs, son consentement à une ‘’Palestine’’ Judenrein rappelant tristement le passé européen ? Chacun en doutera !

Ordonnera t-elle, de même, le ‘’droit de retour’’ de centaines de milliers de « réfugiés palestiniens » au sein même de l’Etat d’Israël, confirmant par cela leur statut générationnel hérité de père en fils et unique en son genre ? Qui pourrait le croire hormis ceux guidés par une doctrine anti-israélienne rappelant à tout propos la résolution non contraignante 194 ?

Une ‘’loi’’ n’indiquant pas même la nationalité ‘’palestinienne’’ des ‘’réfugiés’’.

Les débats, s’ils ont lieu, seront plus qu’intéressants. Sauf par une justice corrompue, nul ne peut imaginer une sentence ordonnant une paix des cimetières à l’Etat d’Israël !

Un autre cliché utilisé évoque les Conventions de Genève. Mahmoud Abbas a entériné « une quinzaine de conventions et traités internationaux. Notamment, les quatre conventions de Genève avec le premier protocole. Il s’agit en l’occurrence de la protection des populations civiles en temps de guerre. Tout un programme ! ».

Les civils israéliens étant régulièrement l’objectif guerrier des terroristes ‘’palestiniens’’, et Mahmoud Abbas étant le représentant légal de ces derniers, le programme annoncé par Charles Enderlin sera, à n’en pas douter, très demandé !