Selon l’administration US, mais d’autres aussi de par le monde occidental, ce qui bloque l’arrivée définitive d’une paix juste et durable dans la région proche-orientale est principalement la « colonisation des territoires occupés ». Barak Hussein Obama a obtenu, pour partie, que Benjamin Netanyahou plie en ce qui concerne la construction dans les implantations. Grâce à ce gel partiel, le processus est donc logiquement en ‘’bonne voie’’ ! Du moins l’espère t-on encore à la Maison Blanche. Même si Mahmoud Abbas fait, à l’heure actuelle, encore la fine bouche.
Aux dernières nouvelles, d’autres exigences de concessions sans négociations, territoriales cette fois-ci, de la part d’Israël sont à l’étude.
Selon cette facture, pourquoi ne pas exiger aussi de l’état juif une délégation de son pouvoir régalien de signer la paix à un tiers choisi ? D’autant plus, si le négociateur désigné serait mondialement reconnu comme ‘’faiseur de Paix’’, récompensé prématurément d’un prix Nobel, et se disant garant de la sécurité de ce pays ? Une procuration cédée et qui serait alors accolée à quelques garde-fous minimaux relevant d’un consensus général au sein du peuple israélien et que nul ne saurait contester. Sauf, bien sûr, à démontrer clairement de l’hostilité envers le peuple israélien et/ou avoir d’autres projets que l’installation d’une paix juste et durable pour la région.
-Telle la reconnaissance publique du caractère juif irrévocable et intrinsèque de l’état d’Israël.
-Tel le renoncement définitif au ‘’droit de retour’’ de « réfugiés » au sein même de cet état.
-La reconnaissance du lien ancestral entre le peuple juif et ce que d’aucuns nomment encore la terre de « l’entité sioniste ».
-Idem pour ce qui concerne le lien entre le Judaïsme et le Mont du Temple.
-Des frontières sûres incluant les grands blocs des implantations, quitte pour cela mettre en place un échange de terrain équivalent.
-Un état de ‘’Palestine’’ démilitarisé sans possibilité d’accords stratégiques avec des pays tiers.
-Et évidemment la fin du conflit et le renoncement à toutes revendications ultérieures.
Des requêtes minimales qui satisferaient amplement les Israéliens et permettraient, à coup sûr, la venue de cette paix tant attendue. Des exigences qui, à contrario, ne contrarierait plus la création d’un état de ‘’Palestine’’.
Pour tout observateur objectif, si Barak Obama obtenait la paix en incluant ces exigences minimales, l’état d’Israël serait, de toute évidence, forcé de lui ériger des monuments à sa gloire.
En revanche, s’il essuyait un échec -ce qui serait plus que prévisible- cela lèverait toute suspicion quant au désir réel de paix du peuple israélien et changerait radicalement son image internationale ternie par la propagande ennemie.
Nonobstant ce côté farfelu d’un tel transfert de pouvoir régalien, ni le Président US ni tout autre médiateur impartial n’accepteront jamais une telle délégation de pouvoir. Car les élections à venir et les intérêts supranationaux qui ont pour noms pétrole et pétrodollars ne peuvent subir d’échecs aussi retentissants suite à de sérieuses confrontations avec les possesseurs de tant de biens.
Exiger des renoncements d’un pays allié, de surcroît ami et fidèle, le pressuriser et le culpabiliser est une chose. En revanche, obtenir des concessions de la communauté musulmane en faveur de la Paix est une autre paire de manche. Barak Obama ne devait il pas, dès l’après discours de Benjamin Netanyahou à l’université de Bar-Ilan, obtenir des gestes d’ouvertures des pays arabes pour favoriser la paix ?
Où sont-ils ? Loin, très loin de la voie de la Paix.
Aux dernières nouvelles, d’autres exigences de concessions sans négociations, territoriales cette fois-ci, de la part d’Israël sont à l’étude.
Selon cette facture, pourquoi ne pas exiger aussi de l’état juif une délégation de son pouvoir régalien de signer la paix à un tiers choisi ? D’autant plus, si le négociateur désigné serait mondialement reconnu comme ‘’faiseur de Paix’’, récompensé prématurément d’un prix Nobel, et se disant garant de la sécurité de ce pays ? Une procuration cédée et qui serait alors accolée à quelques garde-fous minimaux relevant d’un consensus général au sein du peuple israélien et que nul ne saurait contester. Sauf, bien sûr, à démontrer clairement de l’hostilité envers le peuple israélien et/ou avoir d’autres projets que l’installation d’une paix juste et durable pour la région.
-Telle la reconnaissance publique du caractère juif irrévocable et intrinsèque de l’état d’Israël.
-Tel le renoncement définitif au ‘’droit de retour’’ de « réfugiés » au sein même de cet état.
-La reconnaissance du lien ancestral entre le peuple juif et ce que d’aucuns nomment encore la terre de « l’entité sioniste ».
-Idem pour ce qui concerne le lien entre le Judaïsme et le Mont du Temple.
-Des frontières sûres incluant les grands blocs des implantations, quitte pour cela mettre en place un échange de terrain équivalent.
-Un état de ‘’Palestine’’ démilitarisé sans possibilité d’accords stratégiques avec des pays tiers.
-Et évidemment la fin du conflit et le renoncement à toutes revendications ultérieures.
Des requêtes minimales qui satisferaient amplement les Israéliens et permettraient, à coup sûr, la venue de cette paix tant attendue. Des exigences qui, à contrario, ne contrarierait plus la création d’un état de ‘’Palestine’’.
Pour tout observateur objectif, si Barak Obama obtenait la paix en incluant ces exigences minimales, l’état d’Israël serait, de toute évidence, forcé de lui ériger des monuments à sa gloire.
En revanche, s’il essuyait un échec -ce qui serait plus que prévisible- cela lèverait toute suspicion quant au désir réel de paix du peuple israélien et changerait radicalement son image internationale ternie par la propagande ennemie.
Nonobstant ce côté farfelu d’un tel transfert de pouvoir régalien, ni le Président US ni tout autre médiateur impartial n’accepteront jamais une telle délégation de pouvoir. Car les élections à venir et les intérêts supranationaux qui ont pour noms pétrole et pétrodollars ne peuvent subir d’échecs aussi retentissants suite à de sérieuses confrontations avec les possesseurs de tant de biens.
Exiger des renoncements d’un pays allié, de surcroît ami et fidèle, le pressuriser et le culpabiliser est une chose. En revanche, obtenir des concessions de la communauté musulmane en faveur de la Paix est une autre paire de manche. Barak Obama ne devait il pas, dès l’après discours de Benjamin Netanyahou à l’université de Bar-Ilan, obtenir des gestes d’ouvertures des pays arabes pour favoriser la paix ?
Où sont-ils ? Loin, très loin de la voie de la Paix.