jeudi 27 décembre 2012
Les Israéliens pour une « Palestine », Gilles Paris contre !
On peut tromper une partie du
peuple tout le temps et tout le peuple une partie du temps, mais on ne peut pas
tromper tout le peuple tout le temps. Il est des moments où la vérité est
tellement forte qu’elle finit par échapper à la surveillance des gardiens du
politiquement correct anti-israélien. Gilles Paris, l’un des rédacteurs
du quotidien Le Monde, tient un blog consacré au conflit proche-oriental
dénommé « Guerre ou Paix ». Dans celui-ci, il se « propose
de rendre cette actualité plus lisible » en « décryptant
régulièrement une actualité éclairée par les documents de références, qu’il
s’agisse des textes, des portraits des principaux acteurs ou des dates clefs ».
Le lecteur est donc pris à témoin
de sa ‘’bonne foi’’ !
Dans un article intitulé « Et
si les Israéliens étaient plus ouverts que leurs partis politiques sur la
Palestine ? » il nous démontre par deux sondages de deux
instituts différents que la composante juive du peuple israélien, en sa très
grande majorité, accepte à 50% l'Initiative arabe de 2002 comme base de
négociation, 58.1 % se dit être en faveur de négociations entre l’Etat
d’Israël et l’Autorité palestinienne malgré que 78% ne croit pas que
celles-ci mèneront à la paix.
Institut Anwar Sadat
chair for peace and development de l'université du Maryland
Peace index de Israel democracy institute
jeudi 20 décembre 2012
Le désert de la ‘’pensée’’ de gauche
On savait la gauche atteinte,
mais à lire les analyses ‘’d’observateurs’’ de ce camp, on ne peut douter plus
longtemps que celle-ci est sur une voie fatale à sa survie, voire même pour les
pays qu’elle dirige ou tente de mener. En ce qui concerne le conflit
proche-oriental, le lecteur est plus que gâté. Les ‘’gauchistes’’, israéliens
notamment, se bousculent pour ‘’l’informer’’. A tel point que celui-ci n’arrive
plus à trouver la part du vrai dans le galimatias énoncé.
S’il est une ‘’vérité’’ pour
cette gauche déclinante, elle se trouve évidemment dans la responsabilité total
du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou par qui le conflit
perdure. Toutes ses décisions seront donc analysées sous ce prisme car celui-ci
gouvernerait grâce à un ‘’amalgame de partis d’extrême droite’’. Les quidams
assurant le contraire seront aussitôt dépeints comme sympathisants et donc immédiatement
déconsidérés, la droite ayant tout simplement disparu de ce pays aux yeux
de ces brillants ‘’analystes’’ !
Ce qui navre, semble t-il, ces ‘’observateurs’’
israéliens est le ‘’tort’’ que causerait ce gouvernement à l’Etat d’Israël
et non pas, assurément, à leur idéologie morbide !
Ainsi, lorsque celui-ci a pris la
décision de construire dans la zone E1, ils se sont élevés en contre car ces
constructions couperont, assurent-ils, la ‘’Cisjordanie en deux’’ et supprimerait, de
la sorte, toute chance de paix. Allégation qu’ils continuent de tenir, malgré
que chacun peut facilement mesurer ce mensonge qui dessert dorénavant toutes les extensions de la Capitale. Ainsi, outre de
voir exigées les « frontières de 1967 » par l’Assemblée
générale de l’Onu le 29 novembre dernier, les Israéliens verront désormais chaque
construction à Jérusalem examinée par la communauté internationale
comme une ‘’provocation’’ et un ‘’obstacle’’ à la paix si ‘’chère’’ à l’Autorité
palestinienne !
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Un autre des reproches entendus
est celui que Benjamin Netanyahou n’a nul projet en ce qui concerne les
territoires. Outre, bien sûr, celui qui lui est collé d’office au fil des besoins
propagandistes. Si, par hasard, est rappelé à l’auditoire sa déclaration faite en
2009 à l’université de Bar-Ilan en faveur de la solution de DEUX
états pour DEUX peuples distincts ou sa décision de geler, en signe de
bonne volonté, les constructions dans les implantations sur une période de dix
mois, il lui sera reproché tout de même de ne pas être « sincère ».
Position gauchiste qui exonère de
facto l’Autorité palestinienne pour sa pose des conditions préalables à
toutes négociations !
Pour consolider cette description
exécrable du Premier ministre israélien, l’astuce revient à lui attribuer
également, quoi qu’il fasse, un calcul purement électoraliste qui, incontestablement,
fera subir au pays des ‘’dommages profonds et durables’’. Israël serait de
ce fait vu comme ‘’extrémiste, arrogant, insensible et pas intéressé par la
paix’’. Image qui justifierait, selon ces ‘’observateurs aiguisés’’ quelques
sanctions à venir, européennes notamment, sur l’industrie, la high-tech,
les universités voire l’armement si essentiel à sa défense. Sans oublier l’isolement
diplomatique qui en découlerait automatiquement !
vendredi 14 décembre 2012
Ne laissez pas l'Onu obscurcir la Vérité
Ci-dessous une chanson engagée, אמת עקובה מדם - Bloody Truth, revenant sur le vote de l'Onu concernant le statut de "l'Etat observateur de la Palestine" et interprétée par Yedida Freilich.
Ci-dessous version sous-titrée en français. Merci à Danilette Guez pour cela. Son blog est incontournable.
mercredi 12 décembre 2012
Quel ‘’Droit international’’ ?
Chacun ‘’sait’’ à travers la
planète que la « colonisation » israélienne des « territoires
palestiniens » est la cause de la poursuite du conflit
proche-oriental ! Il suffit, en effet, de lire les médias, d’entendre les
hommes politiques, de lire les différents programmes des partis et examiner les
rapports des ongs internationales pour comprendre que le ‘’mal’’ est là et non
ailleurs. Une certitude étayée par, disent-ils, le « Droit
international ».
Quel est donc ce ‘’droit’’ qui
met en position de paria l’Etat d’Israël, véritable démocratie dont sa Cour
suprême est l’une de ses plus belles parures ?
Certains se prévaudront de la résolution
242 du Conseil de Sécurité de 1967 pour certifier une « occupation »
israélienne et par conséquent, a contrario la pleine propriété ‘’palestinienne’’
de ces territoires. Pour ce faire, ils présentent la traduction française de
cette résolution contraignante exigeant le « retrait des forces armées
israéliennes des territoires occupés au cours du conflit ». En omettant toutefois de
préciser que la loi originelle en anglais exige un « retrait DE
territoires ». Cela afin de permettre à l’état juif de négocier des
frontières « sures » lui garantissant sa pérennité. Ce que n’offrait
nullement la ligne d’armistice de 1949 appelée abusivement « frontières
de 1967 ».
Comme on le voit, ce n’est donc
pas cette résolution contraignante qui confirmera la propriété ‘’palestinienne’’ de
ces territoires, de surcroît ayant comme frontières celles de « 1967 ».
Tant que des frontières internationales ne seront pas agréées par les deux
parties il sera difficile de parler de « colonisation » de
terres pouvant, par ailleurs, devenir israéliennes.
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D’autres ‘’juristes’’ s’appuieront,
quant à eux, sur la Convention de Genève de 1949 pour confirmer évidemment
« l’occupation » israélienne et dénoncer d’un même mouvement
la « colonisation ». En omettant, encore une fois, de préciser
qu’il s’agit uniquement de droit international humanitaire définissant les
règles de protection des personnes et de leurs biens lors d’un conflit armé. Une
convention qui n’atteste, là encore, nulles propriétés ‘’palestiniennes’’ de
ces territoires conquis par l’Etat d’Israël suite à une guerre imposée, entre
autres, par le précédent occupant, à savoir la Jordanie, Un pays qui renonça
officiellement à toutes prétentions sur cette région en juillet 1988.
Ce n’est donc pas, là encore, cette
convention qui pourra se targuer de définir la « colonisation »
de ces territoires au statut juridique indéfini. Sauf à confirmer la même
accusation à l’encontre des ‘’Palestiniens’’. Ce que se gardent de faire ces
même ‘’juristes’’ !
jeudi 6 décembre 2012
Lorsque la propagande ‘’palestinienne’’ remplace la réflexion
Chacun a en mémoire le ‘’scandale’’
international causé par le Premier ministre israélien lorsqu’il a décidé de
construire, dans la zone East one dite E1, près de trois milles
logements. Zone située entre l’Est de Jérusalem et Ma’ale Adumim
et décision prise à l’unanimité par le cabinet de sécurité suite à celle de l’Autorité
Palestinienne de se présenter à l’ONU pour modifier unilatéralement sont statut.
Illico, la France et l’Angleterre, dignes de leurs ancêtres ayant
contraint la Tchécoslovaquie à céder les Sudètes au nazisme, ont
donné le la et convoqué les ambassadeurs israéliens en poste à Paris et Londres,
après avoir laissé entendre qu’un rappel de leurs propres ambassadeurs en poste
en Israël était envisageable.
Si ce scénario catastrophe n’a
mené et ne mènera à rien de concret, sauf à retarder les négociations devant
aboutir à une solution à DEUX pays pour DEUX peuples distincts, il nous permet
pour le moins de mesurer la puissance de la propagande ‘’palestinienne’’ nocive
à la paix mais aussi à l’intelligence de chacun.
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Voici donc ce que l’on peut lire sur
les sites des publications nationales tel Le Point ou encore la Libre
Belgique.
« Au lendemain de la
reconnaissance implicite à l'ONU d'un État palestinien, Israël a confirmé
vendredi l'existence de projets portant sur la construction de 3 000 logements
en Cisjordanie, notamment dans un secteur baptisé E1 et jugé particulièrement
sensible, entre Maale Adumim et Jérusalem. Ces projets auraient pour
conséquence de couper la Cisjordanie en deux et d'hypothéquer davantage
la continuité territoriale qu'espèrent les Palestiniens ».
« En particulier, la
construction de logements dans le secteur E1, en lisière de Jérusalem-Est,
suscite l’inquiétude. Cette zone fait le lien entre la colonie de Maaleh Adumim
et celles qui ceinturent Jérusalem-Est. C’est le dernier maillon du lien entre
la ville sainte et la mer Morte. Par ce lien, Israël couperait la
Cisjordanie en deux, affectant un peu plus encore le principe de continuité
territoriale. Pour le négociateur palestinien Saëb Erekat, ce projet-là
"détruit la solution à deux Etats ainsi que l’idée de faire de
Jérusalem-Est la capitale de la Palestine, et dans la pratique met fin au
processus de paix" ».
Si l’on en croit donc ‘’l’information’’
donnée par des journaux censés la vérifier avant de la publier, la continuité
territoriale de la ‘’Cisjordanie’’ ne serait plus de mise par cette
construction !
mardi 4 décembre 2012
Hanoucca sameah - bonnes fêtes des lumières
Comment allume t-on la menora de Hanoucca au Technion ?
Hag saméah
lundi 3 décembre 2012
La Grande-Bretagne et la France égales à elles-mêmes !
La France et la Grande-Bretagne,
selon le quotidien Haaretz, ont été choquées, semble t-il, par la décision
du gouvernement israélien de construire trois milles logements entre Ma’ale
Adumim et Jérusalem. Une décision prise en réponse à l’action
unilatérale du Président de l’Autorité palestinienne, rompant à l’Onu,
de fait, les ‘’Accords d’Oslo’’ alors parrainés en 1993 par ces mêmes
puissances aujourd’hui ‘’choquées’’. Comme mesures concrètes, le rappel de
leurs ambassadeurs respectifs postés en Israël serait envisageable. Le grotesque
étant que lorsque Mahmoud Abbas a annoncé son intention de se présenter
à l’Assemblée générale onusienne et, ainsi, violer les accords signés,
ces deux pays ont oublié de prendre des mesures de rétorsions évitant, de la
sorte, l’évidente riposte israélienne à venir.
Si Israël est donc sommé
de construire là où on l’y autorise seulement, alors que nulles lois
internationales ne peut démontrer la propriété ‘’palestinienne’’ de ces terrains,
il lui est enjoint également de ne pas être ingrat envers ces mêmes puissances
pour leurs « soutiens apportés à l’opération Pilier de Défense ».
Des soutiens à une légitime autodéfense qui viennent après leurs silences assourdissants
sur les centaines de missiles lancés précédemment sur la population civile
israélienne. Là encore, nulles mesures concrètes contre l’Autorité
palestinienne, si désireuse de gouverner un état, n’ont été préalablement prises
ni même contre le Hamas, pourtant organisation terroriste reconnue comme
telle.
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Deux attitudes, parmi tant d’autres,
qui donnent largement l’impression que l’état juif est mis d’office sous protectorat.
Ses droits régaliens lui étant systématiquement refusés, condamnés ou accordés
parcimonieusement quand bien même il s’agit à chaque foi de sa propre défense. Deux
postures qui encouragent évidemment les ennemis à persévérer dans leur combat
au seul objectif d’éradication de cet état et demandant, l’air de rien, la participation
à leur affaire des ‘’amis’’ d’Israël.
Quelles seront donc les prochaines
contributions à la ‘’paix juste et durable’’ prises par ces pays se disant ‘’choqués’’ ?
- Un boycott généralisé des
produits israéliens ?
- Une interdiction de transit sur
leurs territoires de tous voyageurs porteurs de passeports israéliens ? Les
‘’Palestiniens’’ de 1948, forcément non Juifs, seront-ils exemptés de celle-ci ?
- Un embargo sur toutes pièces ou
machines nécessaires à l’armée et donc à la défense du pays ?
Etc. Etc.
dimanche 2 décembre 2012
Appel à un arrêt israélien total des négociations
Le texte ci-dessous, à lire et à
diffuser au plus grand nombre, est un appel au Premier ministre israélien afin
qu’il cesse toute négociation tant que l’Etat d’Israël ne sera pas
reconnu officiellement et au préalable comme nation du peuple juif.
Nous devons donc, chacun en ses
moyens, écrire aux différents ministres du gouvernement israélien, aux
parlementaires de la majorité et de l’opposition de la Knesset, aux différents
ambassadeurs israéliens de par le monde et toutes autres personnes concernées
par la survie de l'état juif afin que la pression du nombre démontre un soutien
sans faille à cette décision voire contraigne le Premier ministre israélien à
l’adopter.
Ce combat sera sans doute long.
Mais, au vu de l’isolement d’Israël au sein de la communauté internationale, c’est
à mon sens la seule alternative qui permettra de montrer la fausseté des intentions
du monde musulman et ainsi de desserrer l’étau qui l’emprisonne actuellement.
**********
Appel à un arrêt israélien total des
négociations
Beaucoup ne doute plus que la
raison de la poursuite du conflit proche-oriental est la « colonisation »
israélienne et le corollaire imaginaire qui s’y associe. La planète, ou presque,
est persuadée que si l’état hébreu se retire totalement des ‘’territoires
palestiniens’’ la paix adviendra, enfin, dans cette région. C’est ce que le
discours du Président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas du 29
novembre dernier lors de l’Assemblée générale onusienne laisse également entendre.
Pour ceux qui savent lire entre les lignes, pour les observateurs aiguisés et
honnêtes la réalité est toute différente. Le conflit ne s’arrêtera pas tant,
dixit Abou Mazen, qu’une « solution juste et convenue à la
question des réfugiés palestiniens conformément à la résolution 194 »
ne sera trouvée puis appliquée par l’état juif.
Plus doctement, tant que de
centaines de milliers de ‘’palestiniens’’ ne rentreront pas « chez eux »,
sur la terre de leurs aïeux, les poches remplies d’un dédommagement financier ainsi
que de la ‘’responsabilité morale’’ d’Israël dans l’origine du conflit.
Il n’y a donc pas photo !
L’idée même de l’existence d’un état juif est insupportable au monde musulman !
Le Premier ministre Benjamin
Netanyahou avait, au début de son deuxième mandat en 2009, exigé que l’Etat
d’Israël soit, lors des négociations, reconnu comme état du peuple juif. Ce
qui allait dans le sens d’une solution à deux états pour deux peuples
distincts. Condition évidemment refusée par l’ensemble des islamogauchistes et
ignorée par toutes les ‘’ bonnes consciences’’ occidentales n’y voyant que ‘’ruse’’
israélienne pour esquiver toute paix.
Devant le geste unilatéral de l’AP
rompant les ‘’Accords d’Oslo’’, et les soutiens obtenus lors du vote, Israël
ne peut plus tergiverser sur cette question. Benjamin Netanyahou, suivi
par son gouvernement et sa majorité parlementaire, doit annoncer publiquement
que les négociations ne reprendront que suite à une reconnaissance préalable, formelle,
explicite, en anglais, en arabe et en hébreu, de l’Etat d’Israël comme
Etat nation du peuple juif par les dirigeants musulmans, ‘’palestiniens’’
en tête.
Ceci pour satisfaire à la solution
de DEUX états pour DEUX peuples ! Une solution pas même
prononcée dans l’enceinte onusienne par Mahmoud Abbas lors de son
dernier discours.
Si des pressions politiques s’exerceront
alors sur les dirigeants israéliens afin qu’ils renoncent à cette requête et redeviennent
‘’conciliants’’, leur intransigeance à ce sujet amènera les peuples, au bout du
compte, à s’interroger sur le fond de cette question, et leurs gouvernements ne
pourront plus se dérober à l’exigence de la solution de paix recherchée, sauf à
devenir complice de l’éradication de l’état juif par moyen déguisé. Une
intransigeance qui pousserait de l’avant l’arrivée de la Paix, et non celle des
cimetières, par la fin de toutes pressions sur l’état juif tant que celui-ci ne
serait pas reconnu pour ce qu’il est !
Une campagne internationale doit donc
se mettre en marche afin de démontrer que cette préoccupation est partagée par
l’ensemble du peuple juif, refusant ainsi de se laisser déposséder de son pays refuge
car ayant son mot à dire dans le devenir de cet état, et n’est pas une lubie
d’un gouvernement recherchant une ‘’vengeance’’ quelconque suite au nouveau
statut obtenu par les ‘’palestiniens’’ à l’ONU.
Les gens de plume, ceux disposant
des fréquences hertziennes, les hommes et femmes politiques israéliens et
d’autres nationalités ainsi que les associations doivent servir de caisses de
résonances au droit basique du peuple juif de s’autodéterminer librement sur sa
terre ancestrale.
Ainsi, et seulement ainsi, se
dénouera, lentement mais surement, la corde tressée par les ‘’Accords d’Oslo’’
autour de la survie d’Israël pays du peuple juif, pour aller se poser
sur les exigences ‘’palestiniennes’’ assassinant toute velléités de paix
réelle.
vendredi 30 novembre 2012
Analyse du discours de Mahmoud Abbas
Il y aurait trop à redire sur le discours du 29 novembre à l’Assemblée générale de l’Onu du Président de
l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas pour perdre son temps ici à le
décortiquer. Mensonges, omissions et mauvaise foi y paradent librement. Il est
en revanche intéressant de s’arrêter sur sa profession de foi quant aux
négociations et à la paix qu’il propose.
« Nous adhérons à la
possibilité de négocier une solution durable au conflit, conformément aux
résolutions de la légitimité internationale. Ici, je déclare que l'OLP est
prête à retourner immédiatement à la table des négociations sur la base des
termes de référence adoptés basés sur la légitimité internationale et une
cessation complète des activités de colonisation ».
En clair, les pourparlers devront
tourner autour d’un retrait aux lignes d’armistice de 1949 dénommée abusivement
« frontières de 1967 » et d’un arrêt total du développement
des implantions existantes qui, au final, deviendront israéliennes sur le
papier. Ceci sans oublier l’exigence d’un abandon de la ville sainte de Jérusalem,
renoncement inimaginable aux yeux du peuple juif dans sa quasi totalité.
Seuls les plus naïfs attendront donc
la reprise de ces négociations !
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Le plus grotesque n’est pourtant pas
sur ce point.
« L'objectif du peuple
palestinien est la réalisation de ses droits nationaux inaliénables dans son
État indépendant de Palestine, avec Jérusalem-Est comme capitale, sur tout le
territoire de la Cisjordanie, y compris Jérusalem-Est, et la bande de Gaza,
occupée par Israël pendant la guerre de juin 1967, en conformité avec les
résolutions de la légitimité internationale ainsi que la réalisation d'une solution
juste et convenue à la question des réfugiés palestiniens conformément à la
résolution 194, tel que stipulé dans l'Initiative de paix arabe, qui a présenté
la vision consensuelle arabe pour résoudre le cœur du conflit israélo-arabe et
de parvenir à une paix juste et globale ».
Non content de réclamer « la
réalisation des droits nationaux inaliénables dans l’état de Palestine »,
il lui faut également une « solution juste sur la question des réfugiés »
basée sur une résolution onusienne non contraignante et, de surcroît, ne
mentionnant nullement le terme ‘’palestinien’’. Chacun comprendra, par cette
exigence, que l’Etat du peuple juif devra, au nom de cette ‘’Paix’’,
solutionner ce ‘’problème’’ à ses dépens. Un problème qui n’en serait pas un
s’il ne s’agissait pas d’incorporer, non pas les véritables réfugiés de 1948
maintenant quasiment disparus, mais des centaines de milliers de leurs descendants.
Un problème consciencieusement entretenu par le monde musulman (et la
communauté internationale) dans l’objectif unique de submerger l’état juif par
la démographie et, ainsi, obtenir ce qu’il n’a pu obtenir par les moyens de la
guerre.
A savoir la fin d’Israël transformé
en un énième état musulman.
mercredi 28 novembre 2012
La France en faveur…de la poursuite du conflit proche-oriental !
La France, par la bouche
de son Ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius, a déclaré être
favorable à la demande de l’Autorité palestinienne de se voir octroyer
le statut de membre observateur à l’ONU. Une demande unilatérale en complète
contradiction des Accords d’Oslo parrainés alors par les grandes
puissances. Une requête qui, au vu de la majorité automatique de l’Assemblée
générale onusienne, autorisera logiquement le gouvernement israélien à
prendre des mesures, elles aussi, unilatérales. Ce qui permet à tout un chacun
d’en conclure que les dits Accords d’Oslo ne sont plus d’actualité, ou
presque.
Est-ce l’objectif recherché par
la France, mais aussi par d’autres pays européens qui, par leurs
poids politiques dans la communauté internationale, entérinent ce décès ? C’est
ce que craint Daphna POZNANSKI-BENHAMOU, députée des Français de
l'étranger de la 8ème circonscription comprenant l’Etat d’Israël. Un
objectif, nous dit-elle, « qui réduirait à néant tout effort futur
de négociations directes entre les parties ».
Mais ce qu’elle appréhende le
plus, entant qu’israélienne probablement, ce sont évidemment les « mesures
de rétorsions » qui pourraient être prises par le gouvernement
israélien de droite et qui, selon elle, « entraîneraient une sévère
détérioration de l'économie palestinienne avec pour résultat la désapprobation
de la communauté internationale qui pourrait assimiler ces mesures à une
punition collective. Il s'ensuivrait l'isolement d'Israël. Par ailleurs,
le mécontentement de la population palestinienne appellera à une internationalisation
des problèmes dont le seul bénéficiaire sera le Hamas. Un Hamas qui saura
instrumentaliser ce mécontentement à son profit pour canaliser des actes de
violence et s'assurer une victoire totale aux prochaines élections palestiniennes.
Un Hamas généreusement approvisionné en armes et financé par l'Iran, un Hamas
dont la Charte proclame toujours pour objectif principal "la destruction
de l'Etat d'Israël" ».
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Il faut lire ceci pour bien comprendre
la mentalité actuelle de la gauche. On s’appellerait donc Benjamin
Netanyahou on se hâterait, pour éviter ce futur ‘’chaos’’, de ne rien entreprendre,
voire pourquoi pas de soutenir le bras français, et de tant d’autres pays
occidentaux, dans cette dernière chance, paraît-il selon quelques dignitaires ‘’palestiniens’’,
de sauver la solution de « deux états pour deux peuples » !
Un geste politique français, cependant,
qui évite soigneusement d’aborder le problème des « réfugiés »
afin de ne pas indisposer et contraindre le monde musulman d’abandonner l’utopie
de les voir s’installer un jour dans l’état juif. La décision française, pour
ne parler que de ce pays, est donc tout sauf celui de sauvegarder l’Etat d’Israël
comme étant le refuge du peuple juif. Au vu de l’antisémitisme qui galope en
Europe, en France en particulier, ce n’est pas un pays superflu !
dimanche 25 novembre 2012
Le droit international selon les gauchistes
Pour certains, le conflit
proche-oriental est d’une simplicité enfantine ! Il n’y a qu’à… ! Il faut
que… ! « La
France doit dire oui à l'admission de la Palestine à l'ONU ».
C’est le cri qu’une poignée d’anti-israéliens primaires ont lancé dans le
quotidien qui leur sert de référence. Pascal Boniface, Rony Brauman,
Jean-Paul Chagnollaud, Gisèle Halimi, Stéphane Hessel ou
encore, parmi d’autres, Marcel-Francis Kahn et Edgard Morin sont
de cette liste et leur appel nauséeux n’étonne donc pas.
Leur démarche vise, disent- ils, « (…)
à surmonter l'impasse du "processus de paix" initié à Oslo et de
"négociations" menées sans référence aux paramètres du droit
international. Elle répond à une question simple : oui ou non, l'Etat de
Palestine a-t-il vocation à exister et à être reconnu dans les frontières de
1967 avec Jérusalem-Est comme capitale, conformément au droit international,
et donc admis au sein de la communauté des nations ? Cette demande place les
Etats membres devant leurs responsabilités : oui ou non, vont-ils enfin choisir
de faire un acte politique pour imposer le droit ? ».
Chacun tentera évidemment de
rechercher dans les textes de loi ce ‘’droit international’’, cité par ces
signataires, qui s’impose donc à tous, n’est pas encore appliqué et qui
détermine d’emblée ce que seront les frontières israéliennes mais aussi la
Capitale du futur état de « Palestine » ?
Cela, on s’en doute, sans que l’Etat
d’Israël ait son mot à dire !
Toutefois, bien malin celui parmi
les signataires qui pourrait indiquer de quel droit parle t-ils ?
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Ils invoqueront certainement la
résolution onusienne 242 en se basant sur une traduction française tronquée qui
stipule un « retrait DES territoires occupés » alors
que la loi originale votée en langue anglaise n’évoque que « le retrait
DE territoire » afin que les futures frontières internationales
deviennent « sûres » et ne soient plus celles que la ligne d’armistice
de 1949 a tracé d’office.
Ils présenteront, bien sûr, les Conventions
de Genève de 1949 lesquelles interdisent la colonisation, sans pouvoir
démontrer que les territoires de Judée, Samarie et de Gaza
sont propriétés pleines et entières des ‘’Palestiniens’’. Un ‘’peuple’’ ayant
usurpé la nationalité commune aux Jordaniens d’avant 1946 et aux Israéliens d’avant
1948 dans l’objectif d’imposer, dans l’imaginaire collectif, l’idée qu’il a été
dépossédé de ‘’son pays’’ !
Ils citeront, peut-être, des paramètres
Clinton en oubliant de rappeler que ceux-ci ont été refusés par Yasser
Arafat lors des négociations de Camp David en l’an 2000 car n’intégrant
pas l’exigence d’un « droit de retour », au sein même de l’état
juif, de nationaux arabes d’origine ‘’palestinienne’’ désignés par la
propagande islamogauchiste comme « réfugiés palestiniens ». Un
« droit de retour » ayant comme seul objectif l’éradication de
l’état juif par le jeu de la démographie.
Ils mentionneront probablement aussi
les « Accords de Genève » de 2003. Des ‘’accords’’ cependant réalisés
entre particuliers et n’ayant donc aucune valeur juridique.
Mais ils seront dans l’incapacité
TOTALE de citer UNE SEULE LOI INTERNATIONALE impliquant un
retrait israélien sur la ligne d’armistice de 1949, qu’ils nomment abusivement « frontières de
1967 », et un renoncement à la ville sainte de Jérusalem.
vendredi 23 novembre 2012
Coupable, forcément coupable le Juif !
Imposer un « ‘’plan
de paix’’ implicite de plus en plus clair », s’apparentant à
une paix des cimetières, au peuple israélien n’est pas suffisant pour la ‘’bien-pensance’’
française mais aussi occidentale. Pour celle-ci, mettre ce peuple au ban des
nations pour ‘’refus de paix’’ est une nécessité afin de parvenir à l’objectif
recherché, encore franchement inavouable à l’heure actuelle.
Pierre Haski, cofondateur
du site en ligne Rue89, n’est pas à sa première pige sur le conflit
proche-oriental. C’est un vieux routier du métier et ne peut donc bénéficier de
l’innocence ou l’inexpérience des nouveaux venus dans la profession. On ne peut
donc que s’étonner de sa vision développée dans un article intitulé « Au
Proche-Orient, les cimetières sont peuplés d’optimistes ».
Un regard biaisé désignant, sans
aucune hésitation, LE coupable. A savoir l’Etat juif !
Il est inutile, là encore, de s’arrêter
sur l’ensemble du texte. Une seule citation suffira.
« Israël s’apprête à
voter, dans des élections anticipées en janvier, pour une liste commune du
Likoud de Benyamin Netanyahou et de l’extrême droite d’Avigdor Lieberman, une
alliance qui condamne par avance les moindres chances d’avancées sur la
question palestinienne ».
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Si l’on passe sur le qualificatif
coutumier « d’extrême droite » attribué d’office et jamais
démontré par les gauchistes à Avigdor Lieberman, on ne peut être qu’interloqué
par l’affirmation abusive désignant le gouvernement actuel et probable
vainqueur des élections à venir comme le responsable de la poursuite du conflit.
D’autant plus si l’on se remémore l’acceptation, à l’université de Bar-Ilan,
par Benjamin Netanyahou de la solution « deux états pour deux
peuples » puis du gel de toutes nouvelles constructions en Judée
et en Samarie sur une période de dix mois. Gel, jamais accepté par les
précédents gouvernements israéliens, et déclaration n’ayant toutefois pas
convaincu le Président de l’Autorité palestinienne de s’assoir à la
table des négociations et encore moins de reconnaître Israël comme étant
l’état du peuple juif.
Mais le plus écœurant de la
position politique de Pierre Haski, mais aussi de tous ses confrères idéologues,
est son oubli, évidemment volontaire, de l’accord constant de la majorité du
peuple israélien dans la création d’un deuxième état de « Palestine »,
après celui de la Jordanie, vivant aux côtés de l’état juif. Chaque
sondage effectué sur cette question, et quelle que soit l’année, le prouve.
L’ami Google n’est pas
avare de réponses lorsqu’on l’interroge gentiment.
mercredi 21 novembre 2012
Un ‘’plan de paix’’ implicite de plus en plus clair
La rubrique ‘’idées’’ du
quotidien Le Monde, mais pas seulement, regorge de tribunes qui instruisent
sur l’état actuel du subconscient de la société française. Une collectivité,
par son silence, en parfaite phase avec ce journal mais aussi avec ses hommes politiques
qui, comme Laurent Fabius par exemple dans un entretien à France 2,
reconnaissent une « responsabilité
partagée » entre les
terroristes ‘’palestiniens’’ et l’état de droit israélien.
S’il est inutile de s’étaler sur
le texte intitulé, comme une lapalissade, « A
Gaza, la trêve ne remplacera jamais la paix », sa conclusion est en revanche pleine d’enseignements.
« Et le premier ministre
israélien ne ménage guère de perspectives au dialogue en campant sur trois
refus : celui du partage de Jérusalem, celui du retour aux frontières
de 1967 aménagé par des échanges de territoires, et celui d'une solution
acceptable pour la question des réfugiés de 1948.
Faut-il donc n'avoir pour
horizon que la trêve, et non la paix ? ».
De prime abord chacun s’étonnera
de voir dans ces quelques mots l’Etat d’Israël mis en demeure de céder
aux conditions de l’Ouma plutôt que de voir les parties belligérantes
invitées et incitées à négocier. En second, l’absence de la citation des
intérêts israéliens n’abêtira que les plus naïfs des lecteurs. Mais là n’est
pas l’essentiel du propos.
Si chacun se souviendra que lors
des négociations avec des Premiers ministres israéliens des plus ouverts aux
exigences ‘’palestiniennes’’ le retour aux « frontières de 1967 »
et un partage de Jérusalem furent proposés aux Présidents de l’Autorité
palestinienne Yasser Arafat et Mahmoud Abbas, on pourra convenir que c’est
la question du « droit au retour des réfugiés de 1948 »
qui bloque toutes possibilités de Paix.
Un « droit de retour »
concernant des nationaux de pays musulmans d’origine ‘’palestinienne’’ et non
pas des « réfugiés » car quasiment disparus depuis 1948, inexistant
dans le droit international, mais continuellement réclamé malgré la
revendication de cession de territoires pour la création d’un deuxième état de « Palestine »
après celui de la Jordanie.
Pour l’auteur anonyme de la
tribune une « solution acceptable » devra être trouvée pour
qu’enfin la Paix remplace les trêves successives.
lundi 19 novembre 2012
Lorsque Le Monde manipule un ‘’droit de réponse’’
Le quatre novembre dernier, le quotidien Le Monde,
référence d’un monde de plus en plus malsain, avait publié dans la rubrique ’’idées’’
une tribune d’Eva Illouz intitulé « Israël
: justice ou tribalisme ». Outre la polémique que ce pamphlet anti-israélien avait déclenchée, il s’avère,
de surcroît, que ce journal n’a pas publié telle qu’il l’a reçue la réaction
hostile de Yaël Perl Ruiz, arrière petite-fille du Capitaine Alfred
Dreyfus, que cet article a suscité ! Il a auparavant réorganisé le texte de
façon à atténuer sa portée négative mais l’a également raccourci de quelques
phrases, sans en avertir évidemment ni l’auteur ni ses lecteurs.
De tels procédés dénotent, pour le moins, un curieux respect de
la liberté d’expression et justifie pleinement qu’à ce tabloïd lui soi attribué
le surnom ‘’d’Immonde’’.
Ci-dessous la réponse originale envoyée au quotidien
accompagnée d’un mot explicatif de la part de Yaël Perl Ruiz puis la réaction
remodelée et publiée. En rouge les phrases censurées.
Lire au sujet de la tribune d’Eva Illouz : « Réponse
comparative à l’article d’Eva Illouz publié par le quotidien Le Monde ».
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********
Bonjour
Je vous envoie ci-joint l’article original que j’ai écrit et
envoyé au Monde.fr en réaction à l’article d’Eva ILLOUZ je crois
le 5 ou 6 novembre dernier.
Le Monde.fr a publié l’article en le remodelant, et
l’atténuant sans m’en avertir.
Je ne souhaite pas polémiquer, mais simplement si mon
article est repris, je préfère que ce soit mon original, auquel je m’identifie,
et non le modifié qui n’est plus tout à fait le même ni plus tout à fait écrit par moi-même…
Bien cordialement.
Yaël Perl Ruiz
mercredi 14 novembre 2012
Alima Boumédiene-Thierry, Michel Warschawski et la France des droits de l'homme
Alima Boumédiene-Thiery
était une sénatrice du parti Europe écologie les Verts jusqu’à la
dernière élection sénatoriale. Se retrouvant au chômage, lui vint alors à l’esprit
de se reconvertir dans le métier d’avocate, sans passer l’examen d’aptitude à
la profession, sur la base de ses différentes expériences parlementaires mais
aussi l’appui de ses diplômes universitaires. Possibilité prévue par la législation
pour les personnes pouvant justifier d’un minimum de huit années de
responsabilités publiques dans l’élaboration de la loi et remplissant les conditions
juridiques et de moralités nécessaires à la profession.
Selon l’Ordre des Avocats du
Barreau du Val D’Oise, Mme Boumédiene-Thierry ne satisfait pas aux principes
essentiels de la profession d’avocat car exerçant un « militantisme
(…) contraire à l’honneur, à la probité, aux bonnes mœurs et aux
respects des principes essentiels de probité, de désintéressement, de
modération et de confraternité ». « Si le militantisme
politique (…) est parfaitement compatible (…), il n’en est pas de même des opérations
de commando dans les centres commerciaux invitant les clients à boycotter
tous les produits venant d’Israël au nom de l’antisionisme ». « Ces
agissements peuvent être constitutifs de qualifications pénales ».
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Michel Warschawski est un
juif israélien s’affichant antisioniste et répandant de temps à autres, accompagné
de Leila Shahid la déléguée générale de l'Autorité palestinienne auprès
de l'Union européenne, sa vision du conflit dans les écoles de la République.
Pour faire court, il s’oppose à la constitution d'Israël comme État juif,
se prononce pour le « droit au retour des réfugiés palestiniens »
au sein même de l’Etat d’Israël, et juge la campagne B.D.S. (Boycott
- Désinvestissement – Sanctions) comme « la meilleure chose qui
soit arrivée au pays depuis longtemps car on ne se contente plus de dénoncer
des crimes : on passe à l'offensive ! ». Il appelle d’ailleurs le Président
de l’Autorité palestinienne à prendre la tête de cette campagne.
Pour résumer, Michel
Warschawski est favorable à un boycott militant jugé plus haut par l’Ordre
des Avocats du Barreau du Val-D’oise comme constitutif de qualifications
pénales et pour un « droit de retour » éradiquant par la
démographie le seul état juif de la planète, lequel selon lui n’a aucune légitimité
à se prévaloir du Judaïsme pour cause de discrimination envers la
minorité musulmane.
A suivre sa ‘’logique’’, la
disparition de l’Etat d’Israël ne serait que ‘’Justice’’.
samedi 10 novembre 2012
Réponse comparative à l’article d’Eva Illouz publié par le quotidien Le Monde
Dans la rubrique ‘’idées’’, le
quotidien français, que beaucoup surnomme L’Immonde, a publié un texte
d’un professeur de sociologie de l’Université Hébraïque de Jérusalem
intitulé « Israël
: justice ou tribalisme ». Suite à cet écrit blâmant, sans
circonstances atténuantes, tout un peuple grâce à une hypothèse de réflexion
des plus diffamantes, Daniel Horowitz, sur son blog, assura que l’auteure
« Eva
Illouz n’est pas antisémite…mais on s’y tromperait », et Jean-Pierre
Bensimon y observa que « Le
Monde accuse Israël et Israéliens de n'être pas régis par les normes morales
universelles ».
Seuls pays et peuple démocrates à être
condamnés pour ce ‘’manque’’ dans les colonnes de ce tabloïd.
La France étant par nature
le pays des droits de l’homme et évidemment celui des « normes morales
universelles » inspirant, probablement, les réflexions du journal, nul
ne se risquera à porter la même accusation sordide envers ce pays. Peut-on alors
oser confronter, entre autres, le quotidien des Arabes, Français ou non, avec la
minorité de celui qui réunit, à lui seul, la majorité des condamnations dans
les juridictions internationales ?
Osons !
Le peuple israélien, dans sa très
grande majorité, est prêt à se retirer de territoires pour faciliter la
création d’un deuxième état de « Palestine » dans le cadre
« deux états pour deux peuples ». Une solution cependant inconcevable
pour le peuple qui a accaparé la nationalité palestinienne. Refus qui est
dissimulé par tous les tenants de la presse française et de la politique pour
des raisons idéologiques et/ou mercantiles.
De son côté le peuple de France
s’est-il un jour mobilisé pour libérer la Corse et/ou rendre la Nouvelle
Calédonie aux Kanaks ? Est-il dans ses projets d’accorder une indépendance,
qui ne projette aucune éradication du ‘’colonisateur’’, à ces deux peuples
contraints, par la force, de rester dans le giron français ?
Qui osera l’affirmer ? N’est
donc pas plus ‘’colonisateur’’ celui éternellement désigné et accusé!
Autre comparaison. Israël
est souvent qualifié « d’état raciste » par ses nombreux ennemis. S’il
existe effectivement du racisme au sein de la population israélienne, nul n’a
pu démontrer que cet état a établi des lois discriminatoires envers ses
minorités. Cette assertion est donc aussi stupide que celle qui reconnaîtra la France
comme pays xénophobe et ségrégationniste parce que comprenant en son sein le
plus grand nombre d’associations antiracistes au m².
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A croire Eva Illouz et Le Monde, « L'appartenance des
Arabes israéliens à la société israélienne ressemble plus au statut des enclaves
ethniques de l'Empire ottoman ». S’il est inutile ici de rappeler
ces centaines de territoires perdus de la République française devenus depuis
des véritables ghettos où l’Islam a remplacé la loi du pays, il est en
revanche intéressant de préciser ici quelques acquis des Arabes israéliens.
Ceux-ci sont totalement libres de
vivre leur culture religieuse comme bon leur semble. Voile et Burqa ne
contreviennent pas à la loi et les mosquées sont pléthores en terre sainte. Nul,
en effet, ne songe à interdire leur construction tant est qu’elle respecte les
plans d’urbanismes.
La langue arabe est la deuxième
langue officielle du pays. La fréquence hertzienne Channel 33 diffuse
dans cette langue. Radios et journaux en langue arabe rivalisent librement. Leurs
partis politiques sont critiques envers le gouvernement en place et leurs
députés sont ouvertement antisionistes.
Pour l’anecdote, imagine t-on un
instant une Houria Bouteldja, députée d’un parti ‘’indigène’’ représenté
à l’Assemblée parlementaire, dénonçant du haut de la tribune les « souchiens »
néo-colonisateurs français pour avoir créé une « nouvelle
affaire Dreyfus » en interdisant le port du voile ? Triste
réalité en Israël avec une dizaine de députés de ce genre, mais fantasme
encore inimaginable en cette France de 2012 prétendant donner des leçons
au monde entier. Un pays qui affiche cependant, au fronton de toutes les
mairies, Liberté, Egalité, Fraternité. Des valeurs morales et universelles dont on
peine à distinguer la réalité lorsque l’on compare les acquis des Arabes
français et ceux des Arabes israéliens.
lundi 5 novembre 2012
Mahmoud Abbas remet le couvert
Le Président de l’Autorité
palestinienne a accordé le deux novembre dernier une interview à la
deuxième chaîne israélienne. Au micro du journaliste Udi Segal, Mahmoud
Abbas a assuré qu'il n'avait pas l'intention de revivre dans la maison de
son enfance à Tsfat. « Je veux voir Tsfat. C'est mon droit de
voir, mais pas de vivre là-bas » a-t-il déclaré en anglais. « Je
suis un réfugié, je vis à Ramallah, je crois que la Cisjordanie et Gaza sont la
Palestine et que les autres parties sont Israël ». « La Palestine
pour moi, maintenant, ce sont les frontières de 1967 avec Jérusalem-Est comme
capitale », a-t-il insisté.
Chacun conclura de ces quelques
mots que l’exigence d’un ‘’droit’’ de retour de quelques millions de « réfugiés palestiniens
» au sein de l’Etat d’Israël est abandonnée et que celui-ci sera le pays
du peuple juif.
Aussitôt la gauche israélienne,
avec le Président Shimon Pérès, à sa tête salua « Les mots
courageux d'Abou Mazen (qui) prouvent qu'Israël a un vrai partenaire pour la
paix ». « Ce sont des mots importants. Nous devons, tous, les
traiter avec le plus grand respect ». « Les positions de M.
Abbas sont parfaitement en ligne avec celles d'Israël et de la grande majorité
de la population, qui soutient la solution de deux Etats pour deux peuples »
a-t-il ajouté.
Le Premier ministre Benjamin
Netanyahou, sceptique, assura en conseil hebdomadaire des ministres que
« Ces propos montrent à quel point des pourparlers directs et sans
conditions préalables sont nécessaires ». « Seuls de tels
pourparlers montreront si Abou Mazen est vraiment sérieux », a-t-il
ajouté en se déclarant « prêt immédiatement à un tel dialogue ».
Le Hamas, en revanche, a
condamné les propos de Mahmoud Abbas qui ont provoqué des manifestations
de protestation dans la bande de Gaza. Plusieurs milliers de
Palestiniens ont manifesté et scandé « Dehors, dehors, Abou Mazen »
en brûlant des portraits du président de l'Autorité palestinienne.
Le Premier ministre Ismaël
Haniyeh, a affirmé que M. Abbas n'avait « pas le droit de
renoncer aux droits des réfugiés ». « Il ne parle pas en leur
nom ».
Devant ce tollé les ‘’belles
paroles’’ du Président de l’AP furent contredites par lui-même lors
d’une nouvelle interview accordée le trois novembre à une télévision
égyptienne. Celui-ci a précisé qu'il
n'avait pas abandonné la revendication du « droit de retour », que sa
déclaration précédente devait être considérée comme son point de vue sur sa
situation personnelle, et que « le droit du retour est sacré et que personne
ne peut l'enlever » aux ‘’palestiniens’’.
En un mot du vent pour pas
grand-chose.
mercredi 31 octobre 2012
Gideon Levy, le baron de l’industrie du mensonge
On ne présente plus le
journaliste Gideon Levy ni le quotidien Haaretz. Une paire israélienne
qui sert de référence à tous les antisionistes que compte la planète. Une
qualité qui sert de paravent à ceux qui ont la haine du Juif. Il y a peu, ce
couple indigeste avait diffusé un article étayé par un sondage assurant que « La
plupart des Israéliens sont favorables à un régime d’apartheid en
Israël ». Après le tollé causé par cette affirmation, un article correcteur
intitulé « Nous nous sommes trompés mais… » est venu tenter d’amender l’effet
négatif d’une lecture précipitée de cette enquête d’opinions mais non pas
désintéressée.
Gideon Levy a, en effet
reconnu que « Le titre de (son) article la semaine dernière était
trompeur. La plupart des Israéliens sont en faveur d’un régime d’apartheid, mais
seulement si les territoires occupés sont annexés ; toutefois, la plupart
des Israéliens s’opposent à l’annexion ». ‘’Erreur’’ ( ?) de
lecture cruciale escamotée par
l’idéologie nauséeuse qui traine dans ce milieu de gauche et qui a en sainte
horreur tout nationalisme forcément « raciste » dixit Lévy.
Un texte qui lui permet de persister et de signer son accusation de « racisme ».
Un ‘’racisme’’ anti-arabe qui
voit cependant une communauté musulmane d’environ vingt pourcent de la
population s’épanouir et jouir d’un régime politique que jalousent tous les
autres peuple arabes.
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Un ‘’racisme’’ dont les tenants
se voient confrontés depuis l’an 1948, voire auparavant, à une haine farouche et
une tentative d’éradication de leur pays. Toutes deux niées par ‘’l’humaniste’’
que se prétend être ce journaliste.
Peut-on en effet reprocher aux Israéliens
de vouloir protéger leur pays, leur culture et leur mode de vie ?
Peut-on les critiquer d’avoir
construit des clôtures de sécurité que d’autres idéologues nomment à dessein de
‘’séparation’’ ?
Peut-on oublier l’histoire qui a
vu les Juifs n’être que des citoyens de seconde zone en terre d’Islam mais
aussi ailleurs ?
Peut-on ignorer l’antisémitisme
actuel qui sévit un peu partout y compris au sein de l’occident et reprocher à
cette grosse minorité, apeurée, de vouloir protéger son lopin de terre de
l’Islam, lieu qui lui permettra de vivre dignement et en sécurité ?
En conclusion de son article
correcteur trompeur, Gideon Levy demande à ce qu’on lui apporte « un
autre sondage fiable qui prouve que la société israélienne n’est pas aussi
raciste et nationaliste que présentée dans cette enquête. Ce serait vraiment
bien faire les choses ».
L’exemple vérifié d’un nombre de
plus en plus croissant de ‘’Palestiniens’’ demeurant à Jérusalem,
demandant et obtenant la nationalité israélienne suffira t-il à contenter la
demande ? Comment sinon expliquer que ceux-ci désirent vivre au sein d’un
peuple souhaitant l’installation de « l’apartheid » en son
sein ?
La demande d’un sondage similaire
sur les Juifs au sein des populations frontalières ‘’palestinienne’’,
libanaise, syrienne, jordanienne ou encore égyptienne relativisera t-elle le
résultat de l’opinion israélienne ? Des populations arabes nationalistes
au possible et, faut-il le rappeler, nettoyées de toutes présences de Juifs depuis
plusieurs décennies et où règne l’antisémitisme d’état.
vendredi 26 octobre 2012
Le démon antisémite Houria Bouteldja
« Antisémitisme :
le retour des vieux démons ? » était le sujet de l’émission Ça
vous regarde, diffusée sur La Chaîne Parlementaire (LCP), laquelle recevait, entre autres invités, l’ancienne
porte-parole des Indigènes de la République Houria Bouteldja. Venue y ‘’dénoncer’’
l’antisémitisme elle n’y montra que celui qui l’habite profondément. Si la
forme pouvait faire illusion quant à sa participation à ce combat, le fond n’a
pu tromper ceux qui connaissent les maniements de langage de tels individus. Un
verbe qui n’a comme objectif que celui d’amener le téléspectateur à accuser le Juif,
toujours le Juif, rien que le Juif.
Sa première intervention fut pour
dénoncer les « tensions, hostilités et les haines intercommunautaires »
dues, entre autres, à « la création de l’état d’Israël ».
Chacun, évidemment, se questionnera quant à la part de responsabilité de la
communauté juive française dans la croissance de l’antagonisme « intercommunautaire ».
Si des femmes, hommes et enfants juifs, sans parler de leurs lieux de cultes et/ou
commerciaux sont de plus en plus pris à partie par des musulmans au nom de leur
sympathie pour l’Etat d’Israël, le contraire n’a jamais encore été
démontré. Ce qui ne gène guère ‘’l’indigène’’ Bouteldja pour le
certifier.
L’allégation suivante fut de
soutenir que pour lutter contre l’antisémitisme, « il faut lutter contre
le Sionisme, cette idéologie qui lie le sort de tous les juifs à Israël
qui est un pays colonial, raciste et qui commet des crimes de guerre ».
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Ainsi sont innocentés d’avance tous ceux qui s’en prennent aux Sionistes,
vrais ou supposés, et qui permettront, ‘’au nom des droits de l’homme’’, la
chute de ce pays ‘’maléfique’’. Un pays où la Cour de Justice punit
toutes formes de racisme, qui a été innocenté de l’accusation de crimes de
guerre par Richard Goldstone lui-même et qui gère un territoire disputé et
non occupé selon le rapport d’un ancien juge de la Haute Cour de Justice.
Des charges sans fondement mais qui permettent d’accuser ceux qui soutiennent
de près ou de loin le pays qui serait leur seul refuge dans le cas, de plus en
plus vraisemblable, d’une multiplication d’indigènes antisémites à l’image d’Houria
Bouteldja.
Son troisième point fut son refus
que l’on désigne les quartiers populaires comme le « terreau de
l’antisémitisme », malgré les rapports de police et de justice assurant,
tous, le contraire. Des quartiers qui sont, selon son avis, « les
premières victimes du racisme en France », qui « subissent un
racisme structurel » mais dans lesquels, cependant, nul n’est
assassiné ni agressé corporellement comme l’est actuellement la communauté
juive française.
lundi 22 octobre 2012
La France vue par la télé russe
Quel média télévisuel français osera diffuser ce reportage
vidéo russe ? Quel sera le quotidien, l’hebdomadaire ou le mensuel français
qui comprendra l’impérieuse nécessité d’informer les citoyens sur la situation
actuelle catastrophique de la France ? Quel homme et/ou parti politique
se risquera à rompre ce mutisme sur l’immigration musulmane, véritable poison
de la culture occidentale ?
La France de notre enfance a-t-elle disparu à jamais ?
jeudi 18 octobre 2012
Lorsque Gilles PARIS s’interroge sur Mahmoud ABBAS
L’ancien envoyé permanent en Israël
du quotidien Le Monde tient un blog intitulé Guerre ou Paix
consacré principalement au conflit israélo-arabe. Il est inutile ici de revenir
sur le nombre de fois où Gilles PARIS, à la suite de ses articles, s’est
fait "taper sur les doigts" pour cause de sa vision idéologique. En revanche, il
est intéressant de noter son nouveau questionnement sur la parole, selon sa
propre qualification, « déceptive » du Président de
l’Autorité palestinienne. Une parole propre à décevoir et à tromper les
attentes de seuls ceux qui refusèrent et refusent toujours de mal nommer les
choses.
Dans un article intitulé « Quand Mahmoud Abbas contredit
Mahmoud Abbas » Gilles
PARIS confronte les dires de celui-ci concernant la proposition de paix d’Ehud
Olmert. Le dirigeant de l’AP aurait, le quatorze octobre dernier,
revisité « l'histoire de ses négociations en 2008 avec Ehoud Olmert,
alors premier ministre israélien. Le dernier en date à avoir formalisé une
offre de paix à ses interlocuteurs palestiniens. Un accord était possible,
avec un peu plus de temps, assure M. Abbas. Sauf que... Sauf qu'en
fouillant dans les archives de ce blog, on trouve dans la bouche du même, en
juin 2009, une formule plus...déceptive ».
Voici ce qu’il déclara en 2009 selon
le journaliste:
« Dans notre réunion de
mercredi, M. Abbas a reconnu que M. Olmert lui avait montré une carte proposant
un Etat palestinien sur 97 pour cent de la Cisjordanie - mais il s'est
plaint que le dirigeant israélien a refusé de lui remettre une copie du plan.
Il a confirmé que M. Olmert a " accepté le principe du" droit au
retour " des réfugiés palestiniens - quelque chose qu'aucun précédent
premier ministre israélien n’avait fait - et a offert d’en réinstaller des
milliers en Israël. Dans l'ensemble, l'offre de paix d'Olmert était plus
généreuse envers les Palestiniens que celles de Bush ou Bill Clinton. Il est
presque impossible d'imaginer Obama ou tout gouvernement israélien aller plus
loin. Abbas a refusé " Les écarts étaient grands" a-t-il dit. »
Gilles PARIS est, selon
toute vraisemblance, déçu de ce double langage mais n’a toujours pas analysé l’objectif
de celui-ci. Dans quelque mois vont se tenir les élections législatives
israéliennes et Ehud Olmert est tenté de revenir en politique. Cette
carte connue, Mahmoud Abbas l’encourage en lui promettant, en quelque
sorte, de revoir, avec bienveillance, sa dernière offre.
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Dans les faits, ceux qui n’attendent
plus rien de l’AP et connaissent sa parole trompeuse savent pertinemment
que le seul objectif est de contraindre cet éventuel futur Premier ministre à
encore plus de concessions et notamment une ouverture plus large des frontières
envers les « réfugiés palestiniens ». Un nombre qui puisse,
par la démographie, changer la quintessence du seul état juif en cette planète
et non seulement cinq mille comme proposé alors.
mercredi 17 octobre 2012
Charles Enderlin s’ennuie
Rendez-vous compte ! « le
conflit israélo-palestinien a quasiment disparu des médias français ».
« A Jérusalem et à Tel Aviv, les bureaux des chaines internationales
ont littéralement fondu. ABC, CBS, ont fermé. ABC n’est plus représenté que par
un seul journaliste », nous dit Charles Enderlin sur son blog. Qu’en
est-il du bureau de France 2 à Jérusalem ? La direction de cette chaîne va-t-elle
rapatrier ce ‘’grand professionnel’’ qui a vu Mohamed Al-Dura ‘’mourir de
la main israélienne’’ sans pour autant qu’il soit sur place ? Nous n’en
saurons rien !
La peur étant mauvaise conseillère, Charles Enderlin
met donc son petit blog à la disposition de ce « conflit
oublié », probablement
pour tenter de le ressusciter.
Sans omettre, évidemment, de s’en
prendre d’abord aux « organisations pro-israéliennes à l’affut de
chaque reportage considéré comme pro-palestinien. Par exemple, le magazine « Un
œil sur la planète. Palestine », diffusé en octobre 2011, a suscité une
véritable tempête, avec des interventions du CRIF et de l’Ambassade d’Israël.
Même si les auteurs de l’émission ont eu le soutien du CSA et des sociétés de
journalistes, les rédactions savent à quoi s’attendre si elles remettent le
couvert recevant, à coup sur, critiques injustifiées, accusations
d’antisémitisme voir menaces. Pourquoi, en l’absence d’actualité
incontournable, prendre des risques et diffuser un sujet qui, aussi exact
soit-il, va immanquablement, créer la polémique ? ».
Des organisations qui sont
toutes, chacun l’aura compris, lobotomisées par ‘’l’idéologie colonialiste et
militariste’’ israélienne et prêtes à menacer verbalement et/ou physiquement tous
leurs contradicteurs. Toutes choses qui effraient ces si talentueux ‘’journalistes’’
de la trempe de notre envoyé permanent à Jérusalem. Un journaliste dont
on s’étonne cependant qu’il ne joint pas à sa diatribe le lien de la vidéo du Crif,
pourtant cité, afin que ses lecteurs soient juges par eux-mêmes : « Droit de regard, le film
réponse du Crif au magazine de France 2 "Un oeil sur la planète" ».
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Est-ce par peur que ceux-ci s’aperçoivent
que la critique était largement fondée et que l’appui du CSA et des Sociétés
des Journalistes n’est plus une garantie de moralité suffisante ?
Le côté risible de tout cela est
que Charles Enderlin aperçoit systématiquement la paille qui est dans l’œil
de tout pro-israélien mais pas la poutre ‘’palestinienne’’ qui l’aveugle et
dont chacun trouvera aisément trace dans sa dernière diatribe.
Une satire qui insinue qu’il
existe un seul conflit oublié par les médias alors qu’ils sont des dizaines et souvent
bien plus meurtriers que le conflit israélo-arabe.
Ainsi, on pourrait citer le
conflit oublié entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan concernant le Haut-Karabagh.
Ou celui entre les indépendantistes sahraouis du front Polisario et le Maroc
qui se disputent le Sahara occidental. Ou encore la République
démocratique du Congo où se trouvent de plus en plus de déplacés et de
blessés de guerre. Et pour clore cette petite liste non exhaustive celui du Sud
thaïlandais qui continue de se battre pour obtenir une autonomie.
Quels médias parlent de ces
conflits largement oubliés, notamment par l’opinion publique ?
mercredi 10 octobre 2012
Le côté hideux de Riposte Laïque
Pour quelles raisons certains
rédacteurs de Riposte Laïque se sentent de plus en plus obligés de
prévenir, dans le corps de leurs articles, toutes accusations d’antisémitisme à
leur encontre ? N’est-ce pas une façon détournée de reconnaître le bienfondé
d’une telle charge et de tenter, par ce subterfuge, de désarmer, d’avance,
leurs contradicteurs ?
Ainsi, Caroline Alamachère,
dans un article intitulé « MM.
Bernheim et Mergui, arrêtez d’accuser les Gaulois des crimes racistes commis
par des musulmans ! » s’était sentie contrainte d’indiquer en
post-scriptum: « afin de garantir toute tentative d’accusation déplacée
et inacceptable d’antisémitisme, je précise que mon compagnon est… juif ».
Sauf à rappeler que tout antisémite
a toujours son ‘’bon juif’’, l’article a le seul ‘’mérite’’ de réduire MM
Bernheim et Mergui, respectivement Grand Rabbin et Président du
Consistoire central israélite, à n’être d’abord que deux individus
emblématiques d’une communauté juive réclamant réparation, protection et
justice mais aussi ‘’oublieuse des devoirs et de la solidarité dus à la France’’.
Une communauté contestée dans ses revendications, dans un article ordurier, par
l’auteure qui se revendique « souchienne ». Une « gauloise »
qui refuse de reconnaître la part française de la collaboration vichyssoise avec
l’Allemagne nazie, mais qui, au moment opportun, se glorifiera sans l’ombre d’un
doute de la part belle offerte par ses Justes.
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Stéphane Bornat, autre
rédacteur de Riposte Laïque, a quant à lui écrit dans un style
approchant un article intitulé « Trop
de juifs français militent pour une immigration musulmane et pour l’islam ».
Si l’auteur précise en conclusion
« Je ne suis pas dans un délire antisémite car, étant laïc, je ne suis
pas entrain de critiquer cette religion mais les prises de position au nom de
cette religion dans l’espace public », rien n’empêchera le quidam d’être
heurté par l’adverbe « trop » du titre ! D’autant plus
lorsqu’il s’apercevra que les quelques rares juifs recensés par l’article, Dray,
Jacubowitz, Klugman, Fabius, Kouchner, le maire de
Toulouse M. Cohen, et pour terminer Valls, ne se distinguent pas particulièrement
par leur judaïsme, n’ont jamais parlé au nom de cette religion ni n’arborent
de ‘’particularités juives’’ telles les doigts crocus ou de nez prééminent qui
permettrait de les reconnaître parmi cent comme l’enseigna à une certaine
époque la propagandastaffel.
samedi 6 octobre 2012
La Gauche, Israël et les Juifs
Le chapitre X du livre de Jacques
Hermone, titré « La Gauche, Israël et les Juifs » et paru
en 1970, est intitulé « Le Monde se moque du monde ». Un
chapitre consacré au seul tabloïd Le Monde et à son hostilité
systématique envers l’état juif dans les années soixante. Des méthodes et des termes
choisis que chacun retrouve de nos jours, quatre décennies plus tard, sous la
plume des ‘’envoyés’’ spéciaux ou permanents en terre sainte et autres ‘’analystes’’
attitrés du journal.
Ci-dessous les pages scannées de
ce chapitre si lucide quant à l’idéologie fétide qui mène ce quotidien. Un
livre que chacun peut, encore aujourd’hui, commander
à la Fnac pour 6.37€ port compris.
Merci à Giora Hod de nous
l’avoir fait (re) découvrir.
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