Barak Obama exige de l’état d’Israël qu’il gèle définitivement « la colonisation des territoires occupés » et, par ce fait, l’accroissement naturelle des implantations existantes. La première interrogation qui vient à l’esprit, est de savoir ce que deviendront les milliers d’habitants qui devront attendre un supposé traité de paix avant de voir leur ville s’épanouir à nouveau ? Auront-ils la patience d’attendre le bon vouloir des ennemis d’Israël ou, ce qui est probablement souhaité par la communauté internationale, devront-ils déménager dans les « frontières de 1967 » pour avoir une vie décente ?
La deuxième question est de s’apercevoir si ces « colonies » bloquent réellement la progression d’un quelconque processus de paix sachant que l’état d’Israël, quelque soit son gouvernement, n’a guère hésité à les détruire dans l’objectif d’une paix, quelle soit réelle ou, malheureusement, imaginaire ?
La troisième question, de loin la plus importante, est de savoir si ce gel fera avancer sincèrement la paix dans la région, voire au-delà ? Pour cela, il suffit d’établir une petite liste d’attentes israéliennes irrévocables et d’analyser leurs réponses
a) La communauté musulmane est-elle prête à reconnaître, tôt ou tard, l’état d’Israël comme la nation du peuple juif ?
b) La communauté musulmane est-elle prête à abandonner son exigence d’un « droit de retour » d’individus n’ayant jamais habité, pour la très grande majorité d’entre eux, « l’entité sioniste » ?
c) La communauté musulmane est-elle prête à cesser toutes violences et terreurs ainsi que l’enseignement de la haine à l’encontre de l’état d’Israël ?
A ces trois petites revendications somme toute très logiques, la seule réponse obtenue est NON, malgré qu’Israël gèlerait, selon la demande US, toutes expansions des implantations existantes.
Quel peut donc être l’intérêt des Israéliens à céder sur ce point ?
Au vu de ces réponses négatives, Benjamin Netanyahou se doit de poser ces exigences publiquement afin que le débat soit lancé sur la volonté des uns et des autres, que la pression soit également sur le monde musulman et que Barak Hussein Obama n’évacue pas, tout simplement le 04 juin prochain lors de son discours au Caire, ce qui assurera l’avenir d’Israël sur sa terre ancestrale.
Sur un tout autre plan, on peut méditer sur l’action du Président américain exigeant d’un allié indéfectible de son pays une concession sans exiger une contrepartie de ses innombrables ennemis ! Au vu du nombre de ses conseillers, il est plus qu’étonnant de le voir agir en ce sens sans imposer, pour le moins, une reconnaissance formelle et définitive d’Israël comme état juif ou le simple arrêt de la violence !
Certains Israéliens n’ayant pas voté par le cœur Obama, en viennent à supposer que Barak a disparu, englouti par Hussein. Ce qui serait une réponse rationnelle à cette politique à sens unique.
Ce qui est sûr, c’est que l’amitié entre les deux peuples risque d’en prendre un sacré coup si cette politique américaine devrait se poursuivre et si Israël serait désigné comme fauteur de guerres.
Les Juifs américains, dans leur très grande majorité, devront, dans cette hypothèse, se questionner quant à leur appui à leur Président, alors que leurs frères israéliens avaient choisi son opposant.
La deuxième question est de s’apercevoir si ces « colonies » bloquent réellement la progression d’un quelconque processus de paix sachant que l’état d’Israël, quelque soit son gouvernement, n’a guère hésité à les détruire dans l’objectif d’une paix, quelle soit réelle ou, malheureusement, imaginaire ?
La troisième question, de loin la plus importante, est de savoir si ce gel fera avancer sincèrement la paix dans la région, voire au-delà ? Pour cela, il suffit d’établir une petite liste d’attentes israéliennes irrévocables et d’analyser leurs réponses
a) La communauté musulmane est-elle prête à reconnaître, tôt ou tard, l’état d’Israël comme la nation du peuple juif ?
b) La communauté musulmane est-elle prête à abandonner son exigence d’un « droit de retour » d’individus n’ayant jamais habité, pour la très grande majorité d’entre eux, « l’entité sioniste » ?
c) La communauté musulmane est-elle prête à cesser toutes violences et terreurs ainsi que l’enseignement de la haine à l’encontre de l’état d’Israël ?
A ces trois petites revendications somme toute très logiques, la seule réponse obtenue est NON, malgré qu’Israël gèlerait, selon la demande US, toutes expansions des implantations existantes.
Quel peut donc être l’intérêt des Israéliens à céder sur ce point ?
Au vu de ces réponses négatives, Benjamin Netanyahou se doit de poser ces exigences publiquement afin que le débat soit lancé sur la volonté des uns et des autres, que la pression soit également sur le monde musulman et que Barak Hussein Obama n’évacue pas, tout simplement le 04 juin prochain lors de son discours au Caire, ce qui assurera l’avenir d’Israël sur sa terre ancestrale.
Sur un tout autre plan, on peut méditer sur l’action du Président américain exigeant d’un allié indéfectible de son pays une concession sans exiger une contrepartie de ses innombrables ennemis ! Au vu du nombre de ses conseillers, il est plus qu’étonnant de le voir agir en ce sens sans imposer, pour le moins, une reconnaissance formelle et définitive d’Israël comme état juif ou le simple arrêt de la violence !
Certains Israéliens n’ayant pas voté par le cœur Obama, en viennent à supposer que Barak a disparu, englouti par Hussein. Ce qui serait une réponse rationnelle à cette politique à sens unique.
Ce qui est sûr, c’est que l’amitié entre les deux peuples risque d’en prendre un sacré coup si cette politique américaine devrait se poursuivre et si Israël serait désigné comme fauteur de guerres.
Les Juifs américains, dans leur très grande majorité, devront, dans cette hypothèse, se questionner quant à leur appui à leur Président, alors que leurs frères israéliens avaient choisi son opposant.