Après plusieurs carnages sanglants, particulièrement vicieux car s’en prenant toujours à des personnes civiles, voici celui -appréhendé depuis plusieurs mois par les autorités britanniques- faisant près d’une quarantaine de victimes londoniennes, quelques centaines de blessés -dont plusieurs handicapés pour le restant de leurs vies- et plusieurs milliers de familles meurtries.
Bilan dramatique dû à des barbares -peut on les nommer autrement- sujets à une interprétation extrémiste du Coran et n’ayant rien à envier à l’idéologie du régime nazi du III éme Reich qui fit plus de cinquante millions de morts lors de la deuxième guerre mondiale dans le seul but d’étendre son hégémonie sur le restant de la planète et les ‘’races’’ survivantes à l’épuration ethnique industrialisée.
Objectif partagé par les nazislamistes d’Al-Quaïda et ses affiliés ( tels le Hezbollah, Hamas, FPLP, FDLP, …) ou encore par les dirigeants de certains pays solidaires comme l’Iran, la Syrie ou l’Arabie Saoudite souhaitant le choc de civilisation tant redouté par les pays occidentaux si peu enclins à ne former qu’un pour pouvoir leur opposer un front uni jusqu’à la victoire finale.
De ce fait, le quidam empruntant hier les transports collectifs madrilènes, aujourd’hui londoniens, ou demain berlinois et/ou romains, est amené -contre son gré- à voir dans tout musulman -au mieux- un sympathisant ou -au pire- un terroriste en puissance, et donc un danger imminent à sa propre sécurité et celle des siens.
Est ce donc le but recherché par les gouvernements européens ? Autorités qui s’empressent d’augmenter, en leur pays respectif, le niveau d’alerte sans, pour autant, prendre des initiatives de politique étrangère qui conforteront leurs concitoyens dans le sentiment d’une bonne gouvernance et éviteront, ainsi, toutes chasses au faciès musulman -religieux ou non- sur le territoire national.
Risque sérieux s’accroissant lentement, mais sûrement, à chaque communiqué de ‘’victoire’’ des nazislamistes sur l’occident alors que nulle guerre n’est déclarée ; à chaque prêche d’un SS, travesti en imam, diffusé dans des mosquées situées en Europe, voire en terre ‘’ennemie’’ aux valeurs occidentales ; à chaque discours d’un ‘’intellectuel’’ musulman exigeant une modification des lois européennes pour permettre une pratique religieuse et/ou politique islamiste ; à chaque manifestation de rue sommant les autorités publiques à choisir une politique opposé aux intérêts démocratiques et nationaux ; à chaque demande d’interdiction de films et de livres contraires à la défense de l’islamisme ; etc. etc.
Dangers palpables par tout un chacun, contraint malgré lui de ne plus pouvoir différencier -comme lors de la deuxième guerre mondiale le nazi de l’allemand- le terrorislamiste du musulman, croyant ou laïque, respectueux des lois du pays hôte, voire défenseur du système qui le régit.
Il est donc urgent que les différents gouvernement européens prennent conscience du risque de ‘’guerre civile’’ encourue par cette politique qui se refuse -par des sanctions fermes, embargos efficaces, et/ou frappes militaires précises- à mettre un point final à la propagation de cette idéologie fétide qui n’apportera, finalement, que des malheurs à notre planète.
Si Winston Churchill avait promis, alors, le « déshonneur aux munichois », nul doute que les responsables politiques européens d’aujourd’hui seront tenus complices de tous drames découlant de leurs hésitations à assumer leurs mandats.
Voire, dès maintenant, des tragédies de Madrid et de Londres.
Bilan dramatique dû à des barbares -peut on les nommer autrement- sujets à une interprétation extrémiste du Coran et n’ayant rien à envier à l’idéologie du régime nazi du III éme Reich qui fit plus de cinquante millions de morts lors de la deuxième guerre mondiale dans le seul but d’étendre son hégémonie sur le restant de la planète et les ‘’races’’ survivantes à l’épuration ethnique industrialisée.
Objectif partagé par les nazislamistes d’Al-Quaïda et ses affiliés ( tels le Hezbollah, Hamas, FPLP, FDLP, …) ou encore par les dirigeants de certains pays solidaires comme l’Iran, la Syrie ou l’Arabie Saoudite souhaitant le choc de civilisation tant redouté par les pays occidentaux si peu enclins à ne former qu’un pour pouvoir leur opposer un front uni jusqu’à la victoire finale.
De ce fait, le quidam empruntant hier les transports collectifs madrilènes, aujourd’hui londoniens, ou demain berlinois et/ou romains, est amené -contre son gré- à voir dans tout musulman -au mieux- un sympathisant ou -au pire- un terroriste en puissance, et donc un danger imminent à sa propre sécurité et celle des siens.
Est ce donc le but recherché par les gouvernements européens ? Autorités qui s’empressent d’augmenter, en leur pays respectif, le niveau d’alerte sans, pour autant, prendre des initiatives de politique étrangère qui conforteront leurs concitoyens dans le sentiment d’une bonne gouvernance et éviteront, ainsi, toutes chasses au faciès musulman -religieux ou non- sur le territoire national.
Risque sérieux s’accroissant lentement, mais sûrement, à chaque communiqué de ‘’victoire’’ des nazislamistes sur l’occident alors que nulle guerre n’est déclarée ; à chaque prêche d’un SS, travesti en imam, diffusé dans des mosquées situées en Europe, voire en terre ‘’ennemie’’ aux valeurs occidentales ; à chaque discours d’un ‘’intellectuel’’ musulman exigeant une modification des lois européennes pour permettre une pratique religieuse et/ou politique islamiste ; à chaque manifestation de rue sommant les autorités publiques à choisir une politique opposé aux intérêts démocratiques et nationaux ; à chaque demande d’interdiction de films et de livres contraires à la défense de l’islamisme ; etc. etc.
Dangers palpables par tout un chacun, contraint malgré lui de ne plus pouvoir différencier -comme lors de la deuxième guerre mondiale le nazi de l’allemand- le terrorislamiste du musulman, croyant ou laïque, respectueux des lois du pays hôte, voire défenseur du système qui le régit.
Il est donc urgent que les différents gouvernement européens prennent conscience du risque de ‘’guerre civile’’ encourue par cette politique qui se refuse -par des sanctions fermes, embargos efficaces, et/ou frappes militaires précises- à mettre un point final à la propagation de cette idéologie fétide qui n’apportera, finalement, que des malheurs à notre planète.
Si Winston Churchill avait promis, alors, le « déshonneur aux munichois », nul doute que les responsables politiques européens d’aujourd’hui seront tenus complices de tous drames découlant de leurs hésitations à assumer leurs mandats.
Voire, dès maintenant, des tragédies de Madrid et de Londres.