Un journaliste est censé être un individu doté d’un esprit de curiosité et d’un QI supérieur à la moyenne. A lire la plupart des dépêches sur l’actualité du Proche-Orient, (mais pas seulement), il est évident que les critères d’embauche ne sont plus ce qu’ils furent. Qu’en est-il alors des lecteurs qui avalent ces mêmes dépêches sur cette région du globe, en payant leur journal et redevance sans manifester leurs mécontentements, déceptions et autres dégoûts aux directions des médias censés les informer correctement ? Après réflexion, on ne peut douter que les ‘’déficiences’’ des uns contentent ‘’l’intellect’’ des autres dès lors qu’Israël est pris en ‘’défaut’’. Suite à ce petit jeu de souris-journaliste que le chat-lecteur n’attrapera pas, une norme s’est instituée. L’homme politique, au QI élevé dès lors que son siège est mis en jeu, a vite compris la règle et participe à la diabolisation d’Israël. Pour le ‘’bien’’, évidemment, de la collectivité générale.
Dans une dépêche AFP (diffusée entre autre et telle quelle par France 24) et intitulée « David Cameron exhorte Israël à lever le blocus imposé à la bande de Gaza » cette alliance saute aux yeux.
Pour preuve, l’appel du Premier ministre britannique David Cameron, à Israël, de ‘’lever le blocus qu'il impose à la bande de Gaza’’, qualifiant l'enclave palestinienne de « prison à ciel ouvert ». « Soyons clairs : la situation à Gaza doit changer (...). On ne peut et ne doit pas permettre que Gaza reste une prison à ciel ouvert ».
Tout quidam un tant soi peu doté d’intelligence, au fait de cette alliance peu ragoutante, se rappellera de l’existence d’une frontière entre Gaza et l’Egypte et ne s’étonnera pas du silence du journaliste quant à sa fermeture, ni de l’ignorance feinte de l’homme politique anglais à ce sujet. D’autant plus lorsque ce dernier confirmera que « Cela fait longtemps que nous soutenons une levée du blocus de Gaza ». Ce qui transformera inévitablement cette bande de terre ‘’palestinienne’’ en porte-avion iranien menaçant l'état juif mais aussi, plus largement, l’Europe.
Détail qui a probablement échappé à la sagacité de ce nouveau Premier ministre.
Il est vrai que ce dernier a rappelé, selon l’AFP, « que la sécurité d'Israël était aussi en jeu avec les attaques à la roquette perpétrées depuis Gaza contre son territoire par le groupe palestinien radical Hamas ». Sans, pour autant, indiquer quels moyens utiliser aux fins d’empêcher les missiles iraniens d’arriver au port de Gaza si, tel qu’il le souhaite, le blocus israélien disparaissait. Hormis l’espérance de négociations directes tant attendues par le gouvernement israélien et émise auprès de son homologue turc Recep Tayyip Erdogan : « Nous partageons tous deux l'opinion que des pourparlers directs (entre Israéliens et Palestiniens) sont la bonne réponse ». Le seul hic à ce vœu n’est autre que la préférence du Hamas à l’éradication de « l’entité sioniste » plutôt qu’à l’instauration d’un dialogue menant à la paix.
Second petit détail ayant échappé à la perspicacité de David Cameron.
Dans le jeu de cette alliance nauséeuse, la part du rédacteur de cette dépêche se contente d’arrondir les angles anti-israéliens aux fins de confiner le lecteur à la haine de l’Israélien : « M. Cameron a également appelé la Turquie à se réconcilier avec Israël après le raid meurtrier de commandos israéliens, le 31 mai, contre une flottille d'aide humanitaire pour Gaza, au cours duquel avaient péri neuf Turcs ». Des ‘’humanitaires’’ cependant armés de couteaux, haches, chaîne et barres de fer, et autre volontés d’en découdre avec les ‘’Yehoud’’ devant « retournez à Auschwitz » selon leurs derniers souhaits.
Petits détails ayant échappé à la sagacité, cette fois-ci, du journaleux.
Ainsi va l’alliance entre des hommes politiques -devant conquérir des électeurs sympathisants de l’Islam mais aussi tenir compte du poids des pétrodollars et du pétrole- et les médias idéologiques devant, de surcroît, plaire à leur audience musulmane. Israël étant un parfait bouc émissaire pour ces objectifs.
Quant aux lecteurs, a voir leurs quêtes de telles dépêches et leur silence quant à cette alliance nauséeuse, on ne peut douter qu’ils en redemandent. De quoi assurer qu’il y a de plus en plus péril en la demeure de la démocratie et des valeurs universelles.
Dans une dépêche AFP (diffusée entre autre et telle quelle par France 24) et intitulée « David Cameron exhorte Israël à lever le blocus imposé à la bande de Gaza » cette alliance saute aux yeux.
Pour preuve, l’appel du Premier ministre britannique David Cameron, à Israël, de ‘’lever le blocus qu'il impose à la bande de Gaza’’, qualifiant l'enclave palestinienne de « prison à ciel ouvert ». « Soyons clairs : la situation à Gaza doit changer (...). On ne peut et ne doit pas permettre que Gaza reste une prison à ciel ouvert ».
Tout quidam un tant soi peu doté d’intelligence, au fait de cette alliance peu ragoutante, se rappellera de l’existence d’une frontière entre Gaza et l’Egypte et ne s’étonnera pas du silence du journaliste quant à sa fermeture, ni de l’ignorance feinte de l’homme politique anglais à ce sujet. D’autant plus lorsque ce dernier confirmera que « Cela fait longtemps que nous soutenons une levée du blocus de Gaza ». Ce qui transformera inévitablement cette bande de terre ‘’palestinienne’’ en porte-avion iranien menaçant l'état juif mais aussi, plus largement, l’Europe.
Détail qui a probablement échappé à la sagacité de ce nouveau Premier ministre.
Il est vrai que ce dernier a rappelé, selon l’AFP, « que la sécurité d'Israël était aussi en jeu avec les attaques à la roquette perpétrées depuis Gaza contre son territoire par le groupe palestinien radical Hamas ». Sans, pour autant, indiquer quels moyens utiliser aux fins d’empêcher les missiles iraniens d’arriver au port de Gaza si, tel qu’il le souhaite, le blocus israélien disparaissait. Hormis l’espérance de négociations directes tant attendues par le gouvernement israélien et émise auprès de son homologue turc Recep Tayyip Erdogan : « Nous partageons tous deux l'opinion que des pourparlers directs (entre Israéliens et Palestiniens) sont la bonne réponse ». Le seul hic à ce vœu n’est autre que la préférence du Hamas à l’éradication de « l’entité sioniste » plutôt qu’à l’instauration d’un dialogue menant à la paix.
Second petit détail ayant échappé à la perspicacité de David Cameron.
Dans le jeu de cette alliance nauséeuse, la part du rédacteur de cette dépêche se contente d’arrondir les angles anti-israéliens aux fins de confiner le lecteur à la haine de l’Israélien : « M. Cameron a également appelé la Turquie à se réconcilier avec Israël après le raid meurtrier de commandos israéliens, le 31 mai, contre une flottille d'aide humanitaire pour Gaza, au cours duquel avaient péri neuf Turcs ». Des ‘’humanitaires’’ cependant armés de couteaux, haches, chaîne et barres de fer, et autre volontés d’en découdre avec les ‘’Yehoud’’ devant « retournez à Auschwitz » selon leurs derniers souhaits.
Petits détails ayant échappé à la sagacité, cette fois-ci, du journaleux.
Ainsi va l’alliance entre des hommes politiques -devant conquérir des électeurs sympathisants de l’Islam mais aussi tenir compte du poids des pétrodollars et du pétrole- et les médias idéologiques devant, de surcroît, plaire à leur audience musulmane. Israël étant un parfait bouc émissaire pour ces objectifs.
Quant aux lecteurs, a voir leurs quêtes de telles dépêches et leur silence quant à cette alliance nauséeuse, on ne peut douter qu’ils en redemandent. De quoi assurer qu’il y a de plus en plus péril en la demeure de la démocratie et des valeurs universelles.