De plus en plus d’individus de par le monde s’affichent ouvertement de nos jours antisionistes. D’autres, pour coller à l’air du temps, leur apportent directement ou indirectement leurs soutiens. C’est ainsi, pour l’exemple, que l’on a vu récemment les médias francophones (hormis l’AFP et Le Point), tel un corps unique, ignorer la manifestation pacifique en faveur de Gilad Shalit réunissant plusieurs milliers de personnes et organisée par la communauté juive française sur le parvis des Droits de l’homme à Paris le 22 juin dernier.
Des médias qui, aussi, permettent généralement aux antisionistes de s’exprimer librement dans leurs colonnes et sur leurs ondes, sans toutefois autoriser la plupart du temps un quelconque droit de réponse !
Être antisioniste c’est donc combattre le Sionisme. Cette valeur étant largement partagée par l’ensemble de la classe politique israélienne -mais aussi autre-, l’antisioniste s’oppose en conséquence aux Sionistes de droite du centre et de gauche, mais aussi d’extrême droite et d’extrême gauche. Aucune ligne politique ne trouve grâce aux yeux de celui-ci.
Si l’on se base sur l’étymologie du terme, le Sionisme est un mouvement politique et religieux né de la nostalgie de Sion -permanente dans les consciences juives depuis l'exil et la dispersion- provoqué au XIXe siècle par l'antisémitisme russe et polonais, activé par l'affaire Dreyfus, et qui, visant à l'instauration d'un Foyer national juif sur la terre ancestrale, aboutit en 1948 à la création de l'État d'Israël.
Aux yeux de l’antisioniste, en revanche, le Sionisme est une idéologie nauséeuse dont la mule est chargée de tous les maux inimaginables. « Colonisation, génocides, apartheid » sont les principales justifications exposées comme observations à leurs combats. Accusations jamais mises en perspectives ni démontrées mais qui, cependant, répétées à l’envie, deviennent ‘’vérités’’ et permettent à tout bon antisémite d’avoir son paravent.
Mais l’antisioniste est-il, à son tour, antisémite ou tout simplement un combattant d’une ‘’idéologie hideuse’’ ?
Pour l’exercice, comparons l’engagement des opposants au nazisme et au communisme à celui de l’antisioniste.
Le monde libre s’est engagé à la chute du nazisme et du communisme. Dès leurs capitulations acquises, une restauration économique, politique, et sociale fut mise en œuvre et les pays libérés de ces carcans sont devenus des pays libres et reconnus par l’ensemble de la planète. Nul ne songe plus à guerroyer contre ces peuples, sinon économiquement et politiquement.
Si le Sionisme de l’état d’Israël est, à l’avenir, vaincu, peut-on attendre que les cinquante sept pays musulmans de l’OCI, soutenus par tous leurs nombreux soutiens à travers la planète, se réunissent aux fins que le peuple juif puisse vivre sur la terre ancestrale dans des frontières sûres et reconnues mais libérés du Sionisme ?
Seul l’idiot utile, de surcroît stupide, répondra oui. Tous les autres confirmeront le désir ardent de l’Umma de jeter les Juifs au-delà des mers, si ce n’est, tout bêtement, à la mer. Quant au Juif qui s’accrochera à la terre de ses ancêtres, il vivra comme un dhimmi redevable à l’Islam de l’avoir épargné.
Pour s’être défini comme pro-palestinien et faire corps avec la communauté musulmane internationale sous couvert de ‘’justice’’, l’antisioniste partage, en connaissance de cause ou non, l’objectif de détruire l’état d’Israël comme refuge du peuple juif.
Il est donc aisé de conclure que l’antisioniste qui s’affiche est un ANTISEMITE. Au mieux, un antisémite qui s’ignore, au pire un antisémite lâche refusant d’assumer son combat ignoble.
Quant à ceux qui leur amènent leurs soutiens, tels les médias à travers l’exemple cité plus haut, ils méritent amplement l’étiquette de collaborateurs.
Additionner les uns et les autres, c’est déjà préfigurer un avenir noir européen non pas seulement pour les Juifs, Sionistes ou non, mais pour les adeptes des valeurs universelles.
Des médias qui, aussi, permettent généralement aux antisionistes de s’exprimer librement dans leurs colonnes et sur leurs ondes, sans toutefois autoriser la plupart du temps un quelconque droit de réponse !
Être antisioniste c’est donc combattre le Sionisme. Cette valeur étant largement partagée par l’ensemble de la classe politique israélienne -mais aussi autre-, l’antisioniste s’oppose en conséquence aux Sionistes de droite du centre et de gauche, mais aussi d’extrême droite et d’extrême gauche. Aucune ligne politique ne trouve grâce aux yeux de celui-ci.
Si l’on se base sur l’étymologie du terme, le Sionisme est un mouvement politique et religieux né de la nostalgie de Sion -permanente dans les consciences juives depuis l'exil et la dispersion- provoqué au XIXe siècle par l'antisémitisme russe et polonais, activé par l'affaire Dreyfus, et qui, visant à l'instauration d'un Foyer national juif sur la terre ancestrale, aboutit en 1948 à la création de l'État d'Israël.
Aux yeux de l’antisioniste, en revanche, le Sionisme est une idéologie nauséeuse dont la mule est chargée de tous les maux inimaginables. « Colonisation, génocides, apartheid » sont les principales justifications exposées comme observations à leurs combats. Accusations jamais mises en perspectives ni démontrées mais qui, cependant, répétées à l’envie, deviennent ‘’vérités’’ et permettent à tout bon antisémite d’avoir son paravent.
Mais l’antisioniste est-il, à son tour, antisémite ou tout simplement un combattant d’une ‘’idéologie hideuse’’ ?
Pour l’exercice, comparons l’engagement des opposants au nazisme et au communisme à celui de l’antisioniste.
Le monde libre s’est engagé à la chute du nazisme et du communisme. Dès leurs capitulations acquises, une restauration économique, politique, et sociale fut mise en œuvre et les pays libérés de ces carcans sont devenus des pays libres et reconnus par l’ensemble de la planète. Nul ne songe plus à guerroyer contre ces peuples, sinon économiquement et politiquement.
Si le Sionisme de l’état d’Israël est, à l’avenir, vaincu, peut-on attendre que les cinquante sept pays musulmans de l’OCI, soutenus par tous leurs nombreux soutiens à travers la planète, se réunissent aux fins que le peuple juif puisse vivre sur la terre ancestrale dans des frontières sûres et reconnues mais libérés du Sionisme ?
Seul l’idiot utile, de surcroît stupide, répondra oui. Tous les autres confirmeront le désir ardent de l’Umma de jeter les Juifs au-delà des mers, si ce n’est, tout bêtement, à la mer. Quant au Juif qui s’accrochera à la terre de ses ancêtres, il vivra comme un dhimmi redevable à l’Islam de l’avoir épargné.
Pour s’être défini comme pro-palestinien et faire corps avec la communauté musulmane internationale sous couvert de ‘’justice’’, l’antisioniste partage, en connaissance de cause ou non, l’objectif de détruire l’état d’Israël comme refuge du peuple juif.
Il est donc aisé de conclure que l’antisioniste qui s’affiche est un ANTISEMITE. Au mieux, un antisémite qui s’ignore, au pire un antisémite lâche refusant d’assumer son combat ignoble.
Quant à ceux qui leur amènent leurs soutiens, tels les médias à travers l’exemple cité plus haut, ils méritent amplement l’étiquette de collaborateurs.
Additionner les uns et les autres, c’est déjà préfigurer un avenir noir européen non pas seulement pour les Juifs, Sionistes ou non, mais pour les adeptes des valeurs universelles.