Dans un article intitulé « Enquête » et diffusé sur son blog, Charles Enderlin affirme que le président du CRIF, Richard Prasquier, a fait une excellente proposition : « une commission d’enquête internationale sur la mort du petit Mohammed A Dura. J’approuve des deux mains, d’autant plus que France 2 a toujours répété que nous accepterons de participer à une enquête selon les standards internationaux ». Sauf, que « L’ARMEE ISRAELIENNE NE VEUT PAS D’ENQUETE EXTERNE » (sic).
Arlette Chabot, lors d’une interview sur RCJ et au micro de Shlomo Malka a assuré les auditeurs, elle aussi, de sa volonté de coopérer à une commission d’enquête internationale et que le père Jamal Al-Dura est prêt à se soumettre à un examen médical. Sauf, là encore, qu’à ses yeux le CRIF s’est disqualifié en soutenant la thèse des accusateurs de France 2 (re sic) et ne peut donc participer à la mise en place de la dite commission.
Sentant l’esquive à plein nez, j’ai donc écrit un article proposant une « commission d’enquête internationale à minima » (2) dont la simplicité de mise en œuvre et ses conclusions peuvent être difficilement repoussées. C’était sans compter sur la ténacité de Scoopy dans le refus de toute commission ayant pour finalité la véracité, ou non, de son reportage.
Dans un article intitulé « Le Crif » (3), et se servant de ma demande afin de répondre indirectement à tous ceux qui l’assaillent à ce propos, il m’invite à contacter Jamal Al-Dura, puis « avec (ma) commission médicale, en coordination avec Tsahal, (de me) rendre à Gaza en toute sécurité rencontrer Jamal, (ainsi que) les médecins qui l'ont soigné... Puis à Amman interviewer les chirurgiens qui l'on opéré ». Tout cela, évidemment, sans la présence d’officiels désignés par France 2 afin de corroborer les conclusions de cette commission (re re sic). Par une telle posture, on est donc légitimé dans la persistance de nos réquisitoires à son encontre.
Charles Enderlin qui ne traîne pas à saisir les tribunaux pour se laver de toutes ‘’diffamations’’, ne ‘’voit’’ pas l’intérêt d’une commission d’enquête qui aurait pour objectif de le blanchir définitivement de l’accusation de « mise en scène », quand bien même il gagnerait tous les procès intentés. Par ailleurs, cette attitude qu’une autruche ne lui envierait point met en danger la vie de Jamal Al-Dura. Car en repoussant l’expertise médicale aux calendes grecques, il permet aux ‘’Palestiniens’’ de comprendre tout l’enjeu perdu si cette commission se tenait.
Devant ce refus obstiné, la solution ne peut être à l’avenir que politique. Richard Prasquier, Président du Crif, devra, lors du prochain dîner officiel de son association et de son discours, réclamer la création de cette commission. Il devra pour convaincre la Présidence Française se servir des doutes sévères émis par le tribunal d’appel de Paris, mais également des excuses sans fin du duo Chabot-Enderlin qui n’ont pour dessein que l’annulation de cette demande de vérité.
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D'autres articles sur Charles Enderlin au moyen du module de recherche de Google sur la page d'acceuil de ce blog.
Arlette Chabot, lors d’une interview sur RCJ et au micro de Shlomo Malka a assuré les auditeurs, elle aussi, de sa volonté de coopérer à une commission d’enquête internationale et que le père Jamal Al-Dura est prêt à se soumettre à un examen médical. Sauf, là encore, qu’à ses yeux le CRIF s’est disqualifié en soutenant la thèse des accusateurs de France 2 (re sic) et ne peut donc participer à la mise en place de la dite commission.
Sentant l’esquive à plein nez, j’ai donc écrit un article proposant une « commission d’enquête internationale à minima » (2) dont la simplicité de mise en œuvre et ses conclusions peuvent être difficilement repoussées. C’était sans compter sur la ténacité de Scoopy dans le refus de toute commission ayant pour finalité la véracité, ou non, de son reportage.
Dans un article intitulé « Le Crif » (3), et se servant de ma demande afin de répondre indirectement à tous ceux qui l’assaillent à ce propos, il m’invite à contacter Jamal Al-Dura, puis « avec (ma) commission médicale, en coordination avec Tsahal, (de me) rendre à Gaza en toute sécurité rencontrer Jamal, (ainsi que) les médecins qui l'ont soigné... Puis à Amman interviewer les chirurgiens qui l'on opéré ». Tout cela, évidemment, sans la présence d’officiels désignés par France 2 afin de corroborer les conclusions de cette commission (re re sic). Par une telle posture, on est donc légitimé dans la persistance de nos réquisitoires à son encontre.
Charles Enderlin qui ne traîne pas à saisir les tribunaux pour se laver de toutes ‘’diffamations’’, ne ‘’voit’’ pas l’intérêt d’une commission d’enquête qui aurait pour objectif de le blanchir définitivement de l’accusation de « mise en scène », quand bien même il gagnerait tous les procès intentés. Par ailleurs, cette attitude qu’une autruche ne lui envierait point met en danger la vie de Jamal Al-Dura. Car en repoussant l’expertise médicale aux calendes grecques, il permet aux ‘’Palestiniens’’ de comprendre tout l’enjeu perdu si cette commission se tenait.
Devant ce refus obstiné, la solution ne peut être à l’avenir que politique. Richard Prasquier, Président du Crif, devra, lors du prochain dîner officiel de son association et de son discours, réclamer la création de cette commission. Il devra pour convaincre la Présidence Française se servir des doutes sévères émis par le tribunal d’appel de Paris, mais également des excuses sans fin du duo Chabot-Enderlin qui n’ont pour dessein que l’annulation de cette demande de vérité.
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