Suite à la visite de Vladimir Poutine à Téhéran, le Président Georges W. Bush a averti de la menace du déclenchement d’une guerre mondiale si la théocratie iranienne parvenait à posséder la technologie nucléaire aux fins de se doter d’une arme atomique. Cet avertissement s’adressait, évidemment, au chef du Kremlin qui prône un dialogue sans fin avec les autorités iraniennes, le tout agrémenté, bien sûr, d’un commerce juteux dans le domaine atomique, civil s’entend (sic).
A ceci, le porte-parole du gouvernement iranien, Muhammad Ali Husseini, a qualifié les propos du Président américain de « menace sécuritaire mondiale » et a ajouté que « La politique agressive des néo-conservateurs américains porte atteinte au calme et à la sécurité internationales et constitue un obstacle à la stabilité mondiale ». Rien de moins.
Certains se souviennent pourtant qu’Ahmadinejad, le Président iranien, a menacé ouvertement de « rayer Israël de la carte »; qu’il arme, via la Syrie, le Hezbollah qui pourra se retourner le moment opportun contre les autorités légales libanaises ; entraîne les « activistes et/ou résistants » (re sic) du Hamas ; livre des armes aux Djihadistes d’Afghanistan, et soutient les Chiites irakiens contre leurs ‘’frères’’ Sunnites et réciproquement. Tout cela, et plus, dans l’unique objectif de s’octroyer une suprématie politique et militaire totale sur la région gorgée de pétrole et de gaz, voire au delà.
Ce qui nous rappelle, à nous autres occidentaux, de tristes souvenirs et nous autorisent le parallèle entre le troisième Reich et cette théocratie musulmane. Un régime qui enferme tous ses opposants, pend les homosexuels, etc.…, signe des accords avec des gouvernements ayant peu de déférence pour les droits de l’homme -qui ne soit marxiste bien entendu- et, surprenant, reçoit avec tous les honneurs le Président du Soviet union, pardon, de la Russie.
On ne peut donc ignorer cette singulière ressemblance et fermer les yeux sur les tristes conséquences de la deuxième guerre mondiale qu'entraîna une politique internationale similaire. On ne peut donc négliger la comparaison, qui saute aux yeux de tout observateur sérieux, entre Adolphe Hitler, Mahmud Amadinedjad et ses clones. Rapprochement qui évoque, par opposition, le sursaut d’un homme anglais qui s’opposa à la politique d’apaisement du Premier ministre Arthur Neville Chamberlain envers le Führer. Winston Churchill incarna très tôt la méfiance puis la résistance du peuple britannique et permit de redresser l’honneur de son pays, perdu alors par des accommodements et des arrangements qui conduisirent, de fait, à la guerre mondiale.
De nos jours, le Président Georges W. Bush est décrié et caricaturé par les ‘’ biens-pensants du politiquement correct ’’, de la compromission et de la ‘’paix’’ dans le déshonneur. Le parallèle entre l’attitude de ces deux hommes est flagrant. Nul doute que si le prix Nobel de la Paix existait en 1945, W.Churchill l’aurait reçu avec tous le respect dû à ses mérites d’opposant puis de Premier Ministre. Georges W. Bush, quant à lui, ne le recevra pas prochainement, mais l’histoire se chargera très certainement de lui rendre, tôt ou tard -et peut être plus tôt que l’on y pense- un coup de chapeau mémorable dû à son courage politique.
Dans tous les cas, nul ne peut et ne pourra le comparer aux Chamberlain, Daladier et Staline qui, tous, signèrent des « pactes d’amitiés et de non-agressions » avec Adolphe Hitler.
C’est déjà une très belle récompense.
A ceci, le porte-parole du gouvernement iranien, Muhammad Ali Husseini, a qualifié les propos du Président américain de « menace sécuritaire mondiale » et a ajouté que « La politique agressive des néo-conservateurs américains porte atteinte au calme et à la sécurité internationales et constitue un obstacle à la stabilité mondiale ». Rien de moins.
Certains se souviennent pourtant qu’Ahmadinejad, le Président iranien, a menacé ouvertement de « rayer Israël de la carte »; qu’il arme, via la Syrie, le Hezbollah qui pourra se retourner le moment opportun contre les autorités légales libanaises ; entraîne les « activistes et/ou résistants » (re sic) du Hamas ; livre des armes aux Djihadistes d’Afghanistan, et soutient les Chiites irakiens contre leurs ‘’frères’’ Sunnites et réciproquement. Tout cela, et plus, dans l’unique objectif de s’octroyer une suprématie politique et militaire totale sur la région gorgée de pétrole et de gaz, voire au delà.
Ce qui nous rappelle, à nous autres occidentaux, de tristes souvenirs et nous autorisent le parallèle entre le troisième Reich et cette théocratie musulmane. Un régime qui enferme tous ses opposants, pend les homosexuels, etc.…, signe des accords avec des gouvernements ayant peu de déférence pour les droits de l’homme -qui ne soit marxiste bien entendu- et, surprenant, reçoit avec tous les honneurs le Président du Soviet union, pardon, de la Russie.
On ne peut donc ignorer cette singulière ressemblance et fermer les yeux sur les tristes conséquences de la deuxième guerre mondiale qu'entraîna une politique internationale similaire. On ne peut donc négliger la comparaison, qui saute aux yeux de tout observateur sérieux, entre Adolphe Hitler, Mahmud Amadinedjad et ses clones. Rapprochement qui évoque, par opposition, le sursaut d’un homme anglais qui s’opposa à la politique d’apaisement du Premier ministre Arthur Neville Chamberlain envers le Führer. Winston Churchill incarna très tôt la méfiance puis la résistance du peuple britannique et permit de redresser l’honneur de son pays, perdu alors par des accommodements et des arrangements qui conduisirent, de fait, à la guerre mondiale.
De nos jours, le Président Georges W. Bush est décrié et caricaturé par les ‘’ biens-pensants du politiquement correct ’’, de la compromission et de la ‘’paix’’ dans le déshonneur. Le parallèle entre l’attitude de ces deux hommes est flagrant. Nul doute que si le prix Nobel de la Paix existait en 1945, W.Churchill l’aurait reçu avec tous le respect dû à ses mérites d’opposant puis de Premier Ministre. Georges W. Bush, quant à lui, ne le recevra pas prochainement, mais l’histoire se chargera très certainement de lui rendre, tôt ou tard -et peut être plus tôt que l’on y pense- un coup de chapeau mémorable dû à son courage politique.
Dans tous les cas, nul ne peut et ne pourra le comparer aux Chamberlain, Daladier et Staline qui, tous, signèrent des « pactes d’amitiés et de non-agressions » avec Adolphe Hitler.
C’est déjà une très belle récompense.