A lire les dires de certains, on peut légitimement s’interroger quant à la rationalité qui nous entoure. Surtout lorsque ces dires touchent Israël et/ou le peuple juif.
Le Hamas, dont chacun sait que sa charte constituante a comme objectif ultime l’éradication de « l’entité sioniste », affirme, en réponse au rapport Golstone, que « Les groupes armés palestiniens respectent le droit humanitaire international. Ils n'ont cessé de déclarer dans la presse qu'ils visaient des cibles militaires et évitaient de frapper des civils » !
En plus de huit années et particulièrement depuis 2005, plusieurs milliers de « roquettes artisanales » atteignirent les villes frontalières israéliennes telle Sdérot, mais aussi des villes plus éloignées comme Beer-Shev’a ou Ashdod. L’armée israélienne a décompté près de huit cent de ces engins tirés contre son territoire entre le 27 décembre 2008 et le 18 janvier 2009. Exclusivement des biens civils ont été atteints. Des civils, femmes, enfants, vieillards, mais aussi des hommes non armés qui sont donc des civils, furent au mieux blessés, voir tués. Quelques très rares fois, ces roquettes atteignirent une base frontalière de la bande de Gaza. Quelques soldats, endormis, furent blessés. Décision fut prise de transférer cette base militaire hors de portée.
Les roquettes tirées sur des cibles civiles l'ont été par « erreur de pilotage », explique Mohammed al-Ghoul, un des responsables du Hamas. A quand donc une levée du blocus de Gaza afin que l’autorité démocratiquement élue de ce territoire puissent importer sans problème les pièces manquantes permettant aux missiles une meilleure précision ? Au nom des droits de l’homme -israélien évidement- Israël se doit à cette demande.
Autre illogisme devenu raison.
Le Président de l’Autorité palestinienne a réaffirmé que seule Jérusalem-est sera la capitale du futur état ‘’palestinien’’. Aucune autre ville ne sera acceptée. Si Mahmoud Abbas a expliqué que son souhait est de ne pas diviser la capitale israélienne physiquement par des murs et barbelés, il faudra cependant impérativement, dans la perspective de la paix, « définir quelle partie appartiendra aux ‘’Palestiniens’’ et quelle partie sera aux Israéliens ».
Outre les faits vérifiés et vérifiables que cette ville n’est pas citée une seule fois dans le livre sacré de l’Islam, que jamais cette foi n’organisa de pèlerinage en son sein et qu’elle ne fut jamais capitale ni même ville d’importance pour ceux qui la détenaient -comme la Transjordanie-, les ‘’Palestiniens’’ estiment avoir des droits légitimes sur la veille ville et principalement sur le Mont du Temple, premier lieu saint du Judaïsme. Cette religion qui a, à contrario, le nom de cette ville inscrite près de sept cent fois dans ses livres saints, des adeptes priant en sa direction, organisant des pèlerinages à toutes occasions religieuses, et ayant fait de ce territoire la capitale resplendissante de l’état d’Israël dès que l’occasion se fut présentée.
L’irrationalité de la légitimité ‘’palestinienne’’ ne se niche pas seulement dans ces éléments, mais dans l’oubli systématique que toute paix exige des concessions de part et d’autre. Ainsi, aux yeux de l’AP et de ses soutiens, et au nom de la « paix juste et durable » qu’ils appellent, Israël devra, comme compensation, se contenter de la partie ouest de la ville !
Où Israël doit il signer ?
Comme le démontre cette petite analyse, la confusion intellectuelle est sciemment utilisée par l’AP et ses nombreux soutiens pour saper les bases de toutes raisons et imposer leur paix des ‘’braves’’. Celle qui refuse, entre autre, d’admettre le caractère juif de l’état d’Israël et exige un ‘’droit au retour’’ en son sein de ‘’réfugiés’’ se multipliant au fil du temps contrairement au bon sens.
Un bon sens qui concède au final que la Paix s’éloigne.
Le Hamas, dont chacun sait que sa charte constituante a comme objectif ultime l’éradication de « l’entité sioniste », affirme, en réponse au rapport Golstone, que « Les groupes armés palestiniens respectent le droit humanitaire international. Ils n'ont cessé de déclarer dans la presse qu'ils visaient des cibles militaires et évitaient de frapper des civils » !
En plus de huit années et particulièrement depuis 2005, plusieurs milliers de « roquettes artisanales » atteignirent les villes frontalières israéliennes telle Sdérot, mais aussi des villes plus éloignées comme Beer-Shev’a ou Ashdod. L’armée israélienne a décompté près de huit cent de ces engins tirés contre son territoire entre le 27 décembre 2008 et le 18 janvier 2009. Exclusivement des biens civils ont été atteints. Des civils, femmes, enfants, vieillards, mais aussi des hommes non armés qui sont donc des civils, furent au mieux blessés, voir tués. Quelques très rares fois, ces roquettes atteignirent une base frontalière de la bande de Gaza. Quelques soldats, endormis, furent blessés. Décision fut prise de transférer cette base militaire hors de portée.
Les roquettes tirées sur des cibles civiles l'ont été par « erreur de pilotage », explique Mohammed al-Ghoul, un des responsables du Hamas. A quand donc une levée du blocus de Gaza afin que l’autorité démocratiquement élue de ce territoire puissent importer sans problème les pièces manquantes permettant aux missiles une meilleure précision ? Au nom des droits de l’homme -israélien évidement- Israël se doit à cette demande.
Autre illogisme devenu raison.
Le Président de l’Autorité palestinienne a réaffirmé que seule Jérusalem-est sera la capitale du futur état ‘’palestinien’’. Aucune autre ville ne sera acceptée. Si Mahmoud Abbas a expliqué que son souhait est de ne pas diviser la capitale israélienne physiquement par des murs et barbelés, il faudra cependant impérativement, dans la perspective de la paix, « définir quelle partie appartiendra aux ‘’Palestiniens’’ et quelle partie sera aux Israéliens ».
Outre les faits vérifiés et vérifiables que cette ville n’est pas citée une seule fois dans le livre sacré de l’Islam, que jamais cette foi n’organisa de pèlerinage en son sein et qu’elle ne fut jamais capitale ni même ville d’importance pour ceux qui la détenaient -comme la Transjordanie-, les ‘’Palestiniens’’ estiment avoir des droits légitimes sur la veille ville et principalement sur le Mont du Temple, premier lieu saint du Judaïsme. Cette religion qui a, à contrario, le nom de cette ville inscrite près de sept cent fois dans ses livres saints, des adeptes priant en sa direction, organisant des pèlerinages à toutes occasions religieuses, et ayant fait de ce territoire la capitale resplendissante de l’état d’Israël dès que l’occasion se fut présentée.
L’irrationalité de la légitimité ‘’palestinienne’’ ne se niche pas seulement dans ces éléments, mais dans l’oubli systématique que toute paix exige des concessions de part et d’autre. Ainsi, aux yeux de l’AP et de ses soutiens, et au nom de la « paix juste et durable » qu’ils appellent, Israël devra, comme compensation, se contenter de la partie ouest de la ville !
Où Israël doit il signer ?
Comme le démontre cette petite analyse, la confusion intellectuelle est sciemment utilisée par l’AP et ses nombreux soutiens pour saper les bases de toutes raisons et imposer leur paix des ‘’braves’’. Celle qui refuse, entre autre, d’admettre le caractère juif de l’état d’Israël et exige un ‘’droit au retour’’ en son sein de ‘’réfugiés’’ se multipliant au fil du temps contrairement au bon sens.
Un bon sens qui concède au final que la Paix s’éloigne.