Le ‘’réfugié politique’’ -devenu français par la grâce de la nationalité de sa femme- et ancien président du parlement israélien ne sait décidément plus quoi faire pour prouver qu’il existe encore. Après avoir écrit un livre où il somme les Juifs de « Vaincre Hitler » (façon moderne de dénoncer la mémoire de ce peuple), et signé la pétition de la honte intitulée « Pour Charles Enderlin » (autre façon de dénoncer toute exigence de justice et de vérité pour Israël) le voilà qu’il se permet de faire aux israéliens une proposition sur leur devenir lors d’un colloque auquel il participait dans la ville arabe de Baqa El Garbia.
Selon ses dires, la formule « deux Etats pour deux peuples » n’est plus du tout d’actualité et seule une « fédération israélo-palestinienne » qui comprendrait « les deux entités nationales » serait encore de mise car « il n’y a pas assez de place pour deux pays distincts » (sic ! devinez lequel doit disparaître suite à cette proposition ?).
Après s’être ‘’réfugié’’ en France et s’être retrouvé en compagnie d’autres tristes alter-juifs comme Rony Baumann, Eyal Sivan, Esther Benbassa et autre Théo Klein le voici réclamant subrepticement pour les sionistes le même sort d’apatride qu’il s’est librement choisi. Car tout autre choix qu’un état juif pour le peuple juif équivaudrait à un retour à un avenir semblable au triste passé.
Que l’on en juge ! Pour la construction de cette fédération, Burg propose que l’état hébreu renonce « à sa souveraineté sur le mont du Temple », et les Palestiniens, à « la mise en pratique du droit au retour des réfugiés ». Comme si les deux demandes s’équivalaient ! L’une exigeant un renoncement de ce qui fut le ciment de tout un peuple à travers les millénaires, l’autre à une revendication que même le droit internationale ne reconnaît pas explicitement.
Mais admettons ! La fédération israélo-palestinienne -dénommée pourquoi pas Isratine- crée, que deviennent les demandes des Juifs (en danger ou non) de diaspora pour une immigration en cette fédération ?
Qui peut réellement croire que la loi de retour sera encore en vigueur alors ? Sauf, évidemment à reconnaître un même droit aux millions de ‘’réfugiés palestiniens’’ non seulement en ‘’Palestine’’ mais au cœur même de ce qui est actuellement l’état d’Israël.
Il sera alors aisé de comprendre que sous le nombre des musulmans et des bulletins de vote, Isratine se transformera lentement mais sûrement en ‘’Palestine’’ et les Juifs israéliens en apatrides où en dhimmis rejoignant, en cela, le sort de leurs frères Juifs de diaspora ne pouvant plus compter sur Israël pour les défendre en cas de nécessité.
Bref ! Si l’on voulait encore une preuve de la haine de soi des alter-juifs, la proposition d’Avraham Burg en est l’expression par excellence.
Selon ses dires, la formule « deux Etats pour deux peuples » n’est plus du tout d’actualité et seule une « fédération israélo-palestinienne » qui comprendrait « les deux entités nationales » serait encore de mise car « il n’y a pas assez de place pour deux pays distincts » (sic ! devinez lequel doit disparaître suite à cette proposition ?).
Après s’être ‘’réfugié’’ en France et s’être retrouvé en compagnie d’autres tristes alter-juifs comme Rony Baumann, Eyal Sivan, Esther Benbassa et autre Théo Klein le voici réclamant subrepticement pour les sionistes le même sort d’apatride qu’il s’est librement choisi. Car tout autre choix qu’un état juif pour le peuple juif équivaudrait à un retour à un avenir semblable au triste passé.
Que l’on en juge ! Pour la construction de cette fédération, Burg propose que l’état hébreu renonce « à sa souveraineté sur le mont du Temple », et les Palestiniens, à « la mise en pratique du droit au retour des réfugiés ». Comme si les deux demandes s’équivalaient ! L’une exigeant un renoncement de ce qui fut le ciment de tout un peuple à travers les millénaires, l’autre à une revendication que même le droit internationale ne reconnaît pas explicitement.
Mais admettons ! La fédération israélo-palestinienne -dénommée pourquoi pas Isratine- crée, que deviennent les demandes des Juifs (en danger ou non) de diaspora pour une immigration en cette fédération ?
Qui peut réellement croire que la loi de retour sera encore en vigueur alors ? Sauf, évidemment à reconnaître un même droit aux millions de ‘’réfugiés palestiniens’’ non seulement en ‘’Palestine’’ mais au cœur même de ce qui est actuellement l’état d’Israël.
Il sera alors aisé de comprendre que sous le nombre des musulmans et des bulletins de vote, Isratine se transformera lentement mais sûrement en ‘’Palestine’’ et les Juifs israéliens en apatrides où en dhimmis rejoignant, en cela, le sort de leurs frères Juifs de diaspora ne pouvant plus compter sur Israël pour les défendre en cas de nécessité.
Bref ! Si l’on voulait encore une preuve de la haine de soi des alter-juifs, la proposition d’Avraham Burg en est l’expression par excellence.