Oury Wesoly, tenant de l’idéologie
de cette gauche fétide éloignée de tout bon sens et des valeurs universelles, est-il
entrain de comprendre son erreur de lecture sur le conflit proche-oriental
? Rien n’est moins sûr ! Dans un article intitulé « Pourquoi Israël a bien fait de rompre
avec le Conseil des Droits de l’Homme » celui-ci en vient à applaudir le gouvernement haï de droite de Benjamin
Netanyahou : « (…) on ne peut, une fois n’est pas coutume,
qu’être en accord avec la décision du gouvernement israélien de rompre avec ce
« bidule » qui est une insulte aux Droits qu’il prétend protéger ».
« Bidule » serait
le Conseil des Droits de l’Homme, organisme de l’Organisation des
Nations Unies ? Ce machin qui, tire plus vite sur Israël qu’il
ne rédige la moindre résolution sur la Syrie, l’Iran, le
Soudan, l’Arabie Saoudite, etc. ? Cette qualification n’est-elle pas,
habituellement, l’apanage exclusif de l’Onu attribué par cette droite,
forcément ‘’extrémiste’’, que Wesoly exècre ?
Une caractéristique octroyée quasiment
depuis que l’Onu est, et qu’il semble découvrir au coin d’un énième
abus !
Ce journaliste file t-il donc un
mauvais coton ? Pas du tout ! Son problème est que sa logique ne lui
permet point d’adopter totalement, sauf à perdre définitivement sa crédibilité,
l’optique des antisémites que regorgent ces instituts.
Bien que mis devant l’évidence par
la décision du CDH de commettre une nouvelle mission d’enquête devant blâmer
au final l’état juif, il n’en continuera pas moins, dans le même article,
à dénommer les villes et villages de Judée et Samarie « colonies »,
à qualifier les habitants de « colons » et parlera de Tel-Aviv,
plutôt que Jérusalem, comme le centre décisionnaire politique israélien !
« L’an passé, le Conseil n’a jugé devoir s’exprimer la Libye, pourtant
en pleine guerre civile. Il n’a pas cru nécessaire de condamner la répression
en Iran. Mais il a voté six résolutions condamnant Tel-Aviv »
(sic).
Pas de doute pour Wesoly !
La ‘’Cisjordanie’’ doit être judenrein, Jérusalem une ville à diviser et
Jérusalem-Ouest pas même la capitale de l’état qu’il dit aimer !
A se demander ce qui l’a conduit de
façon subliminale à voir ainsi tout règlement pacifique de ce conflit ? N’est-ce
pas, un peu, ce Conseil des droits de l'homme de l'ONU disqualifié,
selon lui, « pour mener une enquête sur les territoires occupés »
? Ce conseil qui « semble suivre les traces de la Commission »
l’ayant précédé et où «ce sont les dictatures, surtout moyen-orientales, qui
y font la loi. Et l’OCI, l'Organisation de Coopération Islamique (…) y jouit
d’un pouvoir exorbitant ».
Comment s’étonner, nous dit-il ingénument
ensuite, «que ce Conseil soit guidé par un tropisme anti-israélien ? ».
N’est-ce pas, cependant, les mêmes pays antisémites qui mènent à la dérive le
bateau onusien ? N’est-ce pas ces mêmes cinquante-sept états islamistes,
mais pas seulement, qui déversent leurs énergies dans la diffamation
continuelle de la seule véritable démocratie de la région proche-orientale ?
N’est-ce pas ceux-ci qui ont inoculé dans nos mémoires «Israël nazi», «apartheid»,
«criminel de guerre», «criminel contre l’humanité», «colonisateur»,
voire l’antisionisme, cette plaie qui voit en tout juif un complice de ceux qui
ont, évidemment, « volé la terre des Palestiniens » ? Ce
peuple dont nul ne connaît son histoire ni les frontières de son pays avant
1948 si ce n’est 1967 !