Le haut représentant de l’UE pour la politique étrangère, Javier Solana, a estimé que les élections législatives dans l’État Hébreu avaient été marquées par “la défaite du camp de la paix“.
Pour tout individu pourvu d’un minimum d’intelligence, cette analyse largement partagée en Europe, contraint, par antithèse, à regrouper tous les autres électeurs israéliens dans le camp du refus de la paix ou dans celui du camp de la guerre.
Il est évident que la majorité israélienne a exprimé surtout un refus des propositions du parti Travailliste et du Meretz, qui se proposaient, ni plus ni moins, d’accorder les plus belles primes, jamais offertes, au terrorisme.
Il est patent également, de constater que les électeurs d’Ariel Sharon ont une analyse, qui peut se résumer comme suit: la paix dans la sécurité.
Retrait unilatéral: non
État palestinien: oui sous condition
M. Javier Solana et ses pairs se refusent à considérer la nécessité des Palestiniens de retrouver la confiance des Israéliens, et non le contraire, car on ne peut affirmer sérieusement que ces derniers ne sont pas les agressés.
Ce n’est pas le nombre de chars ou d’avions de combat qui déterminent forcement le camp belliqueux.
Lors de Camp David, les votants d’aujourd’hui ont espérés un accord définitive, et si Ariel SHARON a été élu, ce n’est pas par renoncement à la paix mais comme défense envers un partenaire trompeur.
Que Yasser ARAFAT ordonne un arrêt complet des hostilités, remplisse son rôle dans la sécurité d‘Israël, et les électeurs changeront de bulletin de vote, si Ariel SHARON et le Likoud ne les mènent pas vers une séparation définitive d’avec les Palestiniens, et donc vers la création de la Palestine.
Ce qui implique que le camp de la paix n’a pas subi de défaite, mais est en attente d’un partenaire qui lui reconnaisse le droit de vivre et non de survivre, comme en atteste tous les sondages de l’opinion israélienne.
L’analyse du haut représentant pour la politique étrangère de l’UE, préfigure tout à fait l’opinion volontairement erronée et mauvaise de l’Union Européenne vis à vis du peuple Israélien.
Pour tout individu pourvu d’un minimum d’intelligence, cette analyse largement partagée en Europe, contraint, par antithèse, à regrouper tous les autres électeurs israéliens dans le camp du refus de la paix ou dans celui du camp de la guerre.
Il est évident que la majorité israélienne a exprimé surtout un refus des propositions du parti Travailliste et du Meretz, qui se proposaient, ni plus ni moins, d’accorder les plus belles primes, jamais offertes, au terrorisme.
Il est patent également, de constater que les électeurs d’Ariel Sharon ont une analyse, qui peut se résumer comme suit: la paix dans la sécurité.
Retrait unilatéral: non
État palestinien: oui sous condition
M. Javier Solana et ses pairs se refusent à considérer la nécessité des Palestiniens de retrouver la confiance des Israéliens, et non le contraire, car on ne peut affirmer sérieusement que ces derniers ne sont pas les agressés.
Ce n’est pas le nombre de chars ou d’avions de combat qui déterminent forcement le camp belliqueux.
Lors de Camp David, les votants d’aujourd’hui ont espérés un accord définitive, et si Ariel SHARON a été élu, ce n’est pas par renoncement à la paix mais comme défense envers un partenaire trompeur.
Que Yasser ARAFAT ordonne un arrêt complet des hostilités, remplisse son rôle dans la sécurité d‘Israël, et les électeurs changeront de bulletin de vote, si Ariel SHARON et le Likoud ne les mènent pas vers une séparation définitive d’avec les Palestiniens, et donc vers la création de la Palestine.
Ce qui implique que le camp de la paix n’a pas subi de défaite, mais est en attente d’un partenaire qui lui reconnaisse le droit de vivre et non de survivre, comme en atteste tous les sondages de l’opinion israélienne.
L’analyse du haut représentant pour la politique étrangère de l’UE, préfigure tout à fait l’opinion volontairement erronée et mauvaise de l’Union Européenne vis à vis du peuple Israélien.