Ca y est ! Les manifestations de rue, en mémoire d’Ilan Halimi et contre l’antisémitisme, ont eu lieu un peu partout en France. Les politiques ont fait acte de présence, les extrêmes ont été exclus, les médias en ont rendu compte avec la mine et la plume de circonstance, et l’excellente émission de Serge Moatti, « Riposte », en a fait son sujet hebdomadaire. La barbarie, « plus jamais ça » ! L’antisémitisme non plus ! Maintenant, l’on peut passer à autre chose et laisser la justice suivre son cours. Ce qui signifie poursuivre les assassins pour coups et blessures ayant entraîné la mort sans intention de la donner, et les condamner à quelques années d’emprisonnement, non déduites évidemment les remises de peines pour bonnes conduites !!! (sic).
Ilan, lui, a été condamné à perpétuité. Sa famille et ses proches un peu moins. C’est le bilan de cette triste semaine, qui a vu, également, l’isolement de la communauté juive de France. Car, même si l’on retient le chiffre de la participation annoncé par les organisateurs, les 200.000 manifestants sont, pour la plus part, membres de la communauté. Deux cent milles mécontents, envers un acte de pure sauvagerie qui rappelle celle exercée -à plus grande échelle- par le nazisme, à accoler au chiffre des opposants à l’arrivée de Jean Marie Le Pen au second tour de la présidentielle de 2002. Plusieurs millions d’individus, durant plusieurs jours, agissant, alors, comme des anticorps salutaires en dénonçant les dérives de la société française vers une idéologie nauséeuse.
Tandis que cette semaine a observé les uns réfléchir et jauger leurs intérêts à une participation, les autres rappeler qu’il existe aussi du racisme, et les troisièmes bouder un cortège pour cause de soutiens de quelques personnalités politiques ayant dénoncé l’islamisation de leur société. Sans compter ceux qui refusaient d’authentifier l’antisémitisme du « gang des barbares » jusqu’à confirmation pleine et entière de la justice. C’est à dire dans quelques années. Ces derniers étaient, en revanche, les premiers à se hâter de descendre dans la rue pour garantir le racisme du FN lorsque des sympathisants jetèrent un musulman dans la Seine (re sic).
Deux poids et deux mesures qui prouvent, si besoin était, d’une part l’isolement de la communauté juive qui s’accroche à un espoir de sursaut de la population française, et d’autre part l’islamisation des esprits qui empêche tout débat sur l’Islam et ses travers. Une islamisation qui interdit d’affirmer l’antisémitisme vérifié et vérifiable de musulmans, mais aussi le racisme anti-blanc qui augmente jour après jour ; qui conseille au plus grand nombre de se tenir à l’écart du bouc émissaire juif afin d’éviter toutes conséquences négatives ; qui contredit la défense de nos valeurs occidentales, les droits de l’homme et de la femme ; ou qui oblige encore, et sans que cette liste soit exhaustive, à une politique pro-arabe extérieure désastreuse.
Des signes qui démontrent, à coup sûr, une islamisation rampante des esprits qui, si l’on n’y prend garde, s’imposera au fil du temps de plus en plus ouvertement jusqu’à dicter l’ordre du jour aux élus de la nation, voire leurs nominations.
Si, à contrario, la communauté juive française -mais aussi toutes les autres se situant dans ce monde occidental en péril- a une porte de sortie grâce à l’existence de l’Etat d’Israël, il n’en est pas de même pour le reste de la population qui devra subir cette épreuve, s’expatrier vers un point d’accueil qui reste à trouver, ou combattre ce danger avec les armes de la démocratie avant celles, probablement, militaires.
La mort d’Ilan Halimi (z’’l), aussi horrible soit elle, a permit aux démocrates la prise de conscience de la gravité du mal qui sévit, et qui n’a d’autre équivalence que la « Lepenisation » de la société sans, toutefois, ses anticorps et les thérapeutes prêts à guérir ce nouveau mal.
Il est à craindre, malheureusement, que ces derniers ne soient, déjà, inutiles.
Ilan, lui, a été condamné à perpétuité. Sa famille et ses proches un peu moins. C’est le bilan de cette triste semaine, qui a vu, également, l’isolement de la communauté juive de France. Car, même si l’on retient le chiffre de la participation annoncé par les organisateurs, les 200.000 manifestants sont, pour la plus part, membres de la communauté. Deux cent milles mécontents, envers un acte de pure sauvagerie qui rappelle celle exercée -à plus grande échelle- par le nazisme, à accoler au chiffre des opposants à l’arrivée de Jean Marie Le Pen au second tour de la présidentielle de 2002. Plusieurs millions d’individus, durant plusieurs jours, agissant, alors, comme des anticorps salutaires en dénonçant les dérives de la société française vers une idéologie nauséeuse.
Tandis que cette semaine a observé les uns réfléchir et jauger leurs intérêts à une participation, les autres rappeler qu’il existe aussi du racisme, et les troisièmes bouder un cortège pour cause de soutiens de quelques personnalités politiques ayant dénoncé l’islamisation de leur société. Sans compter ceux qui refusaient d’authentifier l’antisémitisme du « gang des barbares » jusqu’à confirmation pleine et entière de la justice. C’est à dire dans quelques années. Ces derniers étaient, en revanche, les premiers à se hâter de descendre dans la rue pour garantir le racisme du FN lorsque des sympathisants jetèrent un musulman dans la Seine (re sic).
Deux poids et deux mesures qui prouvent, si besoin était, d’une part l’isolement de la communauté juive qui s’accroche à un espoir de sursaut de la population française, et d’autre part l’islamisation des esprits qui empêche tout débat sur l’Islam et ses travers. Une islamisation qui interdit d’affirmer l’antisémitisme vérifié et vérifiable de musulmans, mais aussi le racisme anti-blanc qui augmente jour après jour ; qui conseille au plus grand nombre de se tenir à l’écart du bouc émissaire juif afin d’éviter toutes conséquences négatives ; qui contredit la défense de nos valeurs occidentales, les droits de l’homme et de la femme ; ou qui oblige encore, et sans que cette liste soit exhaustive, à une politique pro-arabe extérieure désastreuse.
Des signes qui démontrent, à coup sûr, une islamisation rampante des esprits qui, si l’on n’y prend garde, s’imposera au fil du temps de plus en plus ouvertement jusqu’à dicter l’ordre du jour aux élus de la nation, voire leurs nominations.
Si, à contrario, la communauté juive française -mais aussi toutes les autres se situant dans ce monde occidental en péril- a une porte de sortie grâce à l’existence de l’Etat d’Israël, il n’en est pas de même pour le reste de la population qui devra subir cette épreuve, s’expatrier vers un point d’accueil qui reste à trouver, ou combattre ce danger avec les armes de la démocratie avant celles, probablement, militaires.
La mort d’Ilan Halimi (z’’l), aussi horrible soit elle, a permit aux démocrates la prise de conscience de la gravité du mal qui sévit, et qui n’a d’autre équivalence que la « Lepenisation » de la société sans, toutefois, ses anticorps et les thérapeutes prêts à guérir ce nouveau mal.
Il est à craindre, malheureusement, que ces derniers ne soient, déjà, inutiles.