Quelle peut être, pour tout véritable démocrate, la réponse à la question posée dans le titre ? L’Islam est il compatible, voire soluble dans nos modes de pensées et de vies ? Les droits de l’homme, bases de nos sociétés, nous permettent ils d’accepter que d’autres, venus de contrées éloignées s’établir à nos côtés, aient des lois, des coutumes et des mœurs en opposition aux valeurs qui fondent nos communautés ? A la lumière de toute réflexion, il semble bien que l’harmonie entre le démocrate et le musulman religieux est impossible et que pour qu’elle existe le premier se doit soit de disparaître corps et biens au nom, justement, des valeurs qu’il défend, soit de se convertir à la religion du second. Dans le cas contraire il se devra d’assumer le qualificatif d’islamophobe que toute association ‘’antiraciste’’, fidèle à la ligne du politiquement correct, lui attribuera d’office systématiquement.
Sauf à se renier, en effet, et abjurer toutes les valeurs inculquées depuis l'enfance, peut on faire autrement que de condamner les versets du Coran qui appellent aux meurtres de tous les infidèles ? Peut on accepter le refus de toute apostasie ? l’exercice libre de l’excision ? le châtiment corporel des femmes ? le mariage forcé ? la polygamie ? la lapidation ? le sectionnement de la main du voleur ? le port obligatoire du voile quand ce n’est pas celui de la burkha ce linceul qui fait le deuil des droits de la femme qui le porte ? etc.
Sommes nous vraiment libres, si nous tenons à sauvegarder nos libertés et nos droits, de refuser ce combat qui s’engage sournoisement aujourd’hui dans nos différents pays mais aux modes de vies si proches ? Sommes nous vraiment libres de ne pas être islamophobes quitte, pour cela, ressembler à ces populations d’alors qui ne s’opposèrent guère aux croisades du christianisme, à ses inquisitions et aux meurtres qui en découlèrent ? Autres temps, autres mœurs certes, mais il y a des rapprochements qui nous déshonoreraient.
Être, ou ne pas être islamophobe n’est donc plus véritablement un choix. Soit l’on tient aux lumières acquises difficilement à travers les siècles, et en conséquence l’opposition frontale à tout ce qui les obscurcit un tant soit peu est évidente, soit ‘’l’apaisement’’ obtenu par des droits de l’hommistes corrupteurs contentera dans l’immédiat nos égoïsmes et les valeurs rigoristes de l’Islam finiront par devenir l’assise de nos sociétés occidentales.
Il nous faut donc exiger des diverses autorités de nos pays occidentaux un aggiornamento de l’Islam tel que l’ont fait le Judaïsme et le Christianisme. En cas de refus des autorités ecclésiastiques, l’interdiction de toute pratiques religieuses incompatibles avec nos modes de vies devra être instaurée et vérifiée. A l’instar, pourquoi pas, des lois ordonnées par l’Arabie Saoudite envers toutes les autres religions.
Sauf à se renier, en effet, et abjurer toutes les valeurs inculquées depuis l'enfance, peut on faire autrement que de condamner les versets du Coran qui appellent aux meurtres de tous les infidèles ? Peut on accepter le refus de toute apostasie ? l’exercice libre de l’excision ? le châtiment corporel des femmes ? le mariage forcé ? la polygamie ? la lapidation ? le sectionnement de la main du voleur ? le port obligatoire du voile quand ce n’est pas celui de la burkha ce linceul qui fait le deuil des droits de la femme qui le porte ? etc.
Sommes nous vraiment libres, si nous tenons à sauvegarder nos libertés et nos droits, de refuser ce combat qui s’engage sournoisement aujourd’hui dans nos différents pays mais aux modes de vies si proches ? Sommes nous vraiment libres de ne pas être islamophobes quitte, pour cela, ressembler à ces populations d’alors qui ne s’opposèrent guère aux croisades du christianisme, à ses inquisitions et aux meurtres qui en découlèrent ? Autres temps, autres mœurs certes, mais il y a des rapprochements qui nous déshonoreraient.
Être, ou ne pas être islamophobe n’est donc plus véritablement un choix. Soit l’on tient aux lumières acquises difficilement à travers les siècles, et en conséquence l’opposition frontale à tout ce qui les obscurcit un tant soit peu est évidente, soit ‘’l’apaisement’’ obtenu par des droits de l’hommistes corrupteurs contentera dans l’immédiat nos égoïsmes et les valeurs rigoristes de l’Islam finiront par devenir l’assise de nos sociétés occidentales.
Il nous faut donc exiger des diverses autorités de nos pays occidentaux un aggiornamento de l’Islam tel que l’ont fait le Judaïsme et le Christianisme. En cas de refus des autorités ecclésiastiques, l’interdiction de toute pratiques religieuses incompatibles avec nos modes de vies devra être instaurée et vérifiée. A l’instar, pourquoi pas, des lois ordonnées par l’Arabie Saoudite envers toutes les autres religions.