Qui peut croire encore,
dans le conflit proche-oriental, à la solution de deux états dont l’un sera,
indubitablement, judenrein, aura comme Capitale Jérusalem-est et dont ses
frontières internationales seront les « frontières de 1967 » ?
Réponse, la France !
Ce pays qui récemment, par une résolution infecte à l’UNESCO, a reconnu,
par la bande, que Jésus n’était pas Juif mais musulman.
Drapeau de
la Palestine mandataire avant la renaissance de l’Etat d’Israël
Cette ‘’amie’’ du
peuple juif compte même, dans cet objectif, organiser une grande réunion
internationale à Paris le 30 mai prochain. Celle-ci rassemblera les
membres du Quartet, de la Ligue arabe et du Conseil de
sécurité. Une vingtaine de pays au total, à l’exception des ‘’Palestiniens’’,
mais surtout des Israéliens, principale intéressés !
« Il n’y a pas
d’autre solution au conflit que l’établissement de deux Etats, israélien et
palestinien, vivant côte à côte en paix et en sécurité avec Jérusalem pour
capitale partagée » assure Jean-Marc Ayrault le ministre des
Affaires étrangères français. Celui-ci voyant dans ce conflit un sujet qui « alimente
les tensions régionales et nourrit la propagande de Daech ».
Toutes choses
qui menacent la sécurité et l’économie de la France ! Charité bien ordonnée
commence par soi-même dit l’adage !
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Qui peut donc croire,
que le peuple israélien, quelque soit le gouvernement en place alors, acceptera
de nouveau, et suite au retrait de la bande de Gaza, que des centaines de milliers d’israéliens, vivant
actuellement en Judée et en Samarie, soient expulsés de leur
maison mais aussi qu’un trait définitif soit tiré sur le berceau historique du Judaïsme
au profit d’un peuple que nul ne peut, à ce jour, conter son passé avant
1967 ?
Qui peut supposer que
les Israéliens accepteront que Jérusalem ne soit plus, un jour, leur
Capitale une et indivisible ?
Qui peut conjecturer
que les Israéliens accepteront que les frontières internationales de leur pays
deviennent, peu ou prou, la ligne d’armistice de 1949, que beaucoup nomment « frontières
de 1967 » ? Tracé qui permettra, du haut des collines de Judée
et de Samarie, le tir aux pigeons israéliens ayant cru à la paix !
Réponse : la France,
encore, qui organise sa conférence de la ‘’Paix’’ pour, dans les faits et
aidée de ses alliés, contraindre l’Etat d’Israël à ce plan si ‘’merveilleux’’ !
Une Paix qui s’apparente à celle des cimetières.
Dans les faits, disons
le, cette solution est morte et enterrée avec les illusions des « Accords
d’Oslo » ! D’une part, pour la simple raison que le monde
musulman n’est toujours pas réconcilié avec l’idée d’un état pour le peuple
juif, et, d’autre part, parce que l’Etat d’Israël ne peut être lui-même l’enjeu
d’un dénouement final. Seules la Judée et la Samarie sont des
territoires disputés et doivent donc être seules concernées par un règlement
politique.
Un règlement qui ne
pourra valider le projet hitlérien d’un territoire sans juifs, ou des
frontières non gardées par Tsahal, seule à même de garantir une Paix
digne de ce nom.