Le ‘’ plan de paix saoudien ’’ est de retour sur la table. Il ‘’réaffirme’’ la volonté du monde arabo-musulman de reconnaître l’existence d’Israël si ce dernier se retire de tous les territoires conquis en 1967 -y compris évidemment la vielle ville de Jérusalem- et octroie aux « réfugiés palestiniens » le « droit au retour » dans les lieux ayant appartenu à leur aïeux. Vu leur nombre qui s’est accru en près de 60 années, le plan ne dit pas s’il devront se partager les mètres carrés récupérés ou en réclamer d’autres en dédommagements à leur futur gouvernement israélien !!!
Les pro-palestiniens français (parmi d’autres) affirment que cela amènera, par ce biais, la fin des hostilités et donc la paix mondiale. Tous, cependant, se refusent à imaginer le danger pour les Juifs israéliens à redevenir une minorité. Péril très sérieux si l’on analyse le sort fait aux minorités se trouvant actuellement en terre d’Islam. Chrétiens, Coptes, Kurdes, Chiites, ... Des communautés en souffrance et en perpétuel départ vers des cieux plus apaisants.
Aucun de ces mêmes pro-palestiniens, peu économes pourtant de leurs soutiens aux « réfugiés », n’exigent un comportement simplement humain des autorités arabes à l’égard de ces derniers. Comme, par exemple, l’obtention de la nationalité du pays par application de la loi du droit du sol qu’ils revendiquent, si fort, en France, ou, encore, suite à la scolarisation d’un enfant dans l’école de la république. Les lois universelles exigées en faveur des clandestins en France ne sont pas faites, à priori, pour ceux nés et vivants depuis plusieurs générations en terre arabo-musulmane.
Ce qui confirment et complète l’opinion très négative que l’on peut se faire de ces pro-palestiniens est leur silence total sur les agissements de la oumma à l’égard des « réfugiés palestiniens ». Comme, par exemple, le désir exprimé de Kadhafi d’expulser ceux résidants en Libye vers Gaza afin de créer un problème humanitaire qui, selon ses dires, participera à la résolution du conflit ; ou encore les quelques soixante-dix interdictions ‘’ légales ’’faites par le Liban afin d’empêcher leur installation définitive dans ce qui n’est rien d’autre que leur pays de naissance.
Bref ! L’on peut aisément se demander si les pro-palestiniens ne sont pas, tout simplement, des anti-israéliens, voire des antisémites. Ils sont, pour le moins, de très bons relais de la propagande malsaine arabo-musulmane et islamiste.
D’autres attitudes de même acabit interpellent la raison de ceux rêvant réellement à une paix juste et durable. Ces anti-israéliens répètent à souhait l’exigence d’un état de Palestine sur les « 22% restant de la Palestine historique ». Chiffre que l’on peut très difficilement vérifier mais qui sous-entend très fermement la « colonisation » israélienne. Ce que ces mêmes propagandistes se garderont, en revanche, d’indiquer publiquement est le pourcentage énorme représenté par le territoire jordanien attribué au peuple arabe palestinien. Ces 22% ne sont donc que l’expression de la partie soustraite des territoires devant devenir l’état des Juifs dans la Palestine historique, qui se nommait il y a 2000 années Israël.
La ville de Jérusalem est un autre de leur combat. Voire renaître de ses cendres le Mont du Temple, et donc l’emblème du Judaïsme, est pour eux un vrai calvaire. Le monde musulman n’ayant nul lien religieux vers cette ville, s’est inventer la sainteté de la mosquée Al-Aqsa en affirmant que le prophète Mahomed est monté aux cieux de cet endroit. Ce qui détruit immanquablement cette allégation farfelue est que cette mosquée jérusalemite n’existait pas du temps du prophète. Pourtant, les anti-israéliens, les antisémites, mais aussi les idiots utiles, répètent à toutes occasions que ce lieu est le troisième lieu saint de l’Islam. (sic).
Ces quelques réflexions sur leurs postures partisanes démontrent que la paix attendue et espérée n’est pas imminente. Ils militent tous, et chacun à sa manière, pour la fin de la religion, de l’état nation, des valeurs démocratiques et de libertés que représente dans son ensemble l’Etat d’Israël.
Ils oublient tous cependant que le peuple juif, malgré ses malheurs nombreux tout au long des années passées, a survécu à ses bourreaux qui ont, eux, disparu bien souvent corps et âmes. Il en sera de même pour ses ennemis actuels.
On ne dit pas, sans raison, am Israël haï.
Les pro-palestiniens français (parmi d’autres) affirment que cela amènera, par ce biais, la fin des hostilités et donc la paix mondiale. Tous, cependant, se refusent à imaginer le danger pour les Juifs israéliens à redevenir une minorité. Péril très sérieux si l’on analyse le sort fait aux minorités se trouvant actuellement en terre d’Islam. Chrétiens, Coptes, Kurdes, Chiites, ... Des communautés en souffrance et en perpétuel départ vers des cieux plus apaisants.
Aucun de ces mêmes pro-palestiniens, peu économes pourtant de leurs soutiens aux « réfugiés », n’exigent un comportement simplement humain des autorités arabes à l’égard de ces derniers. Comme, par exemple, l’obtention de la nationalité du pays par application de la loi du droit du sol qu’ils revendiquent, si fort, en France, ou, encore, suite à la scolarisation d’un enfant dans l’école de la république. Les lois universelles exigées en faveur des clandestins en France ne sont pas faites, à priori, pour ceux nés et vivants depuis plusieurs générations en terre arabo-musulmane.
Ce qui confirment et complète l’opinion très négative que l’on peut se faire de ces pro-palestiniens est leur silence total sur les agissements de la oumma à l’égard des « réfugiés palestiniens ». Comme, par exemple, le désir exprimé de Kadhafi d’expulser ceux résidants en Libye vers Gaza afin de créer un problème humanitaire qui, selon ses dires, participera à la résolution du conflit ; ou encore les quelques soixante-dix interdictions ‘’ légales ’’faites par le Liban afin d’empêcher leur installation définitive dans ce qui n’est rien d’autre que leur pays de naissance.
Bref ! L’on peut aisément se demander si les pro-palestiniens ne sont pas, tout simplement, des anti-israéliens, voire des antisémites. Ils sont, pour le moins, de très bons relais de la propagande malsaine arabo-musulmane et islamiste.
D’autres attitudes de même acabit interpellent la raison de ceux rêvant réellement à une paix juste et durable. Ces anti-israéliens répètent à souhait l’exigence d’un état de Palestine sur les « 22% restant de la Palestine historique ». Chiffre que l’on peut très difficilement vérifier mais qui sous-entend très fermement la « colonisation » israélienne. Ce que ces mêmes propagandistes se garderont, en revanche, d’indiquer publiquement est le pourcentage énorme représenté par le territoire jordanien attribué au peuple arabe palestinien. Ces 22% ne sont donc que l’expression de la partie soustraite des territoires devant devenir l’état des Juifs dans la Palestine historique, qui se nommait il y a 2000 années Israël.
La ville de Jérusalem est un autre de leur combat. Voire renaître de ses cendres le Mont du Temple, et donc l’emblème du Judaïsme, est pour eux un vrai calvaire. Le monde musulman n’ayant nul lien religieux vers cette ville, s’est inventer la sainteté de la mosquée Al-Aqsa en affirmant que le prophète Mahomed est monté aux cieux de cet endroit. Ce qui détruit immanquablement cette allégation farfelue est que cette mosquée jérusalemite n’existait pas du temps du prophète. Pourtant, les anti-israéliens, les antisémites, mais aussi les idiots utiles, répètent à toutes occasions que ce lieu est le troisième lieu saint de l’Islam. (sic).
Ces quelques réflexions sur leurs postures partisanes démontrent que la paix attendue et espérée n’est pas imminente. Ils militent tous, et chacun à sa manière, pour la fin de la religion, de l’état nation, des valeurs démocratiques et de libertés que représente dans son ensemble l’Etat d’Israël.
Ils oublient tous cependant que le peuple juif, malgré ses malheurs nombreux tout au long des années passées, a survécu à ses bourreaux qui ont, eux, disparu bien souvent corps et âmes. Il en sera de même pour ses ennemis actuels.
On ne dit pas, sans raison, am Israël haï.