La couleur verte a empli l’espace de ce que l’on nomme communément de nos jours les « territoires palestiniens ». Un vert qui dans nos régions laïques symbolise l’espoir mais qui, brandit par l’Islam radical prôné par des Imams rigoristes et fondamentalistes, matérialise pour d’autres une déconvenue complète.
C’est le cas, par exemple, de Marwane Barghouti -dépeint par les journaux francophones ‘’impartiaux et objectifs’’ ( tels Le Monde, Libération ou encore Le Nouvel Obs ) comme le ‘’Nelson Mandela palestinien’’ incontournable pour toute discussion de paix- qui se voit, du fait de l’élection du 25 janvier et par la volonté du peuple qu’il s’imaginait gouverner dès sa libération forcée, jeté aux oubliettes des prisons israéliennes et condamné à purger les cinq peines de prisons à perpétuité méritées pour les crimes de guerre et contre l’humanité qu’il commandita contre des civils innocents.
Autre espoir anéanti également, celui des Israéliens qui se trouveront face à un partenaire ‘’palestinien’’ dûment mandaté, non pas pour négocier une paix définitive, ou tout au moins pour ramener un calme qui évitera toute victime de part et d’autre, mais plutôt pour exécuter un programme depuis si longtemps inscrit dans une charte mais non réalisé à ce jour.
Désespoir pour les uns, Démocrates rêvant en une fin pacifique et définitive du conflit, mais espoirs comblés pour les autres. Islamistes, antisionistes, antisémites et autres ‘’Palestiniens’’ aux cerveaux lobotomisés par la propagande arafatienne. Espoir déçu lorsque l’on imagine le Hamas, groupe terroriste répertorié comme tel dans le monde civilisé, recevoir les clefs du ministère des finances de l’Autorité palestinienne et des coffres-forts qui s’y trouvent. Fonds qui, certes, lui permettront de parfaire ses œuvres charitables en faveur de sa clientèle, mais aussi de pouvoir disposer d’un budget annuel pour équiper ses propres forces d’un matériel de guerre qu’il ne disposait pas jusqu’à présent.
Pour continuer à rire (jaune) de la situation caricaturale qui s’impose en cette région, il suffit encore d’imaginer ce groupe de ‘’résistances à l’occupation’’ recevoir les clefs du Ministère de l’Intérieur, et donc le commandement des 50.000 hommes en armes, chargés, selon les accords d’Oslo, de la sécurité de la population. Un endoctrinement aux ‘’vérités’’ du Hamas, complété par un encouragement financier conséquent, bien appréciable en ces temps difficiles, annihileront les maigres espoirs de paix qui pouvaient faire encore illusion.
Le comique de la situation s’accroît, lorsque l’on conçoit la nomination des nouveaux représentants de la ‘’Palestine’’ dans les chancelleries occidentales, et particulièrement les européennes. Des délégués ayant comme mission relationnelle de défendre, certes, les intérêts à l’étranger du ‘’peuple palestinien’’ mais surtout d’explication du programme du gouvernement démocratiquement élu, de surcroît, sous la surveillance d’observateurs internationaux. Projet hamassien contenant, ni plus ni moins, l’éradication d’Israël et la déjudaïsation du Proche-Orient. Le cocasse de cette situation étant de voir Leila Shahid défendant publiquement, enfin, un programme si difficilement camouflé pendant toutes ces années de délégation, ou alors de la voir rentrer au pays afin de vêtir l’habit destiné aux femmes par un tel régime. A savoir la burkha.
Il est inutile, sauf à assombrir le tableau, de décrire l’espoir comblé des « activistes » hamassiens lors de la prochaine réception du Ministère de l’Education et des Sports. Ministère que l’on peut rebaptiser immédiatement, sans se tromper, Ministère des Martyrs, chapeautant du même coup, pourquoi pas, celui des vices et des vertus.
Vertus que ne possède plus, apparemment, le système démocratique qui a permit un tel viol de ses valeurs. Car, aurait on imaginer, partout ailleurs, une quelconque pression politique pour qu’un quelconque Hitler, d’âme et de cœur avec l’ancien Adolphe et de surcroît secondé par une armé de S.A., puisse faire valoir un programme qui a comme objectif la guerre et le malheur des peuples alentours ? Bien sûr que non.
Si donc, reste un seul espoir de voir une conclusion intelligente à ce qui s’avère être désormais une nouvelle tragédie malheureuse pour cette région, c’est celui de percevoir les démocraties ne plus jamais faire pression pour une candidature à des élections libres de groupes, ou d’individus, n’ayant pas la mesure des valeurs communes à notre civilisation, mais, au contraire, pour leur en interdire l’accès.
C’est le cas, par exemple, de Marwane Barghouti -dépeint par les journaux francophones ‘’impartiaux et objectifs’’ ( tels Le Monde, Libération ou encore Le Nouvel Obs ) comme le ‘’Nelson Mandela palestinien’’ incontournable pour toute discussion de paix- qui se voit, du fait de l’élection du 25 janvier et par la volonté du peuple qu’il s’imaginait gouverner dès sa libération forcée, jeté aux oubliettes des prisons israéliennes et condamné à purger les cinq peines de prisons à perpétuité méritées pour les crimes de guerre et contre l’humanité qu’il commandita contre des civils innocents.
Autre espoir anéanti également, celui des Israéliens qui se trouveront face à un partenaire ‘’palestinien’’ dûment mandaté, non pas pour négocier une paix définitive, ou tout au moins pour ramener un calme qui évitera toute victime de part et d’autre, mais plutôt pour exécuter un programme depuis si longtemps inscrit dans une charte mais non réalisé à ce jour.
Désespoir pour les uns, Démocrates rêvant en une fin pacifique et définitive du conflit, mais espoirs comblés pour les autres. Islamistes, antisionistes, antisémites et autres ‘’Palestiniens’’ aux cerveaux lobotomisés par la propagande arafatienne. Espoir déçu lorsque l’on imagine le Hamas, groupe terroriste répertorié comme tel dans le monde civilisé, recevoir les clefs du ministère des finances de l’Autorité palestinienne et des coffres-forts qui s’y trouvent. Fonds qui, certes, lui permettront de parfaire ses œuvres charitables en faveur de sa clientèle, mais aussi de pouvoir disposer d’un budget annuel pour équiper ses propres forces d’un matériel de guerre qu’il ne disposait pas jusqu’à présent.
Pour continuer à rire (jaune) de la situation caricaturale qui s’impose en cette région, il suffit encore d’imaginer ce groupe de ‘’résistances à l’occupation’’ recevoir les clefs du Ministère de l’Intérieur, et donc le commandement des 50.000 hommes en armes, chargés, selon les accords d’Oslo, de la sécurité de la population. Un endoctrinement aux ‘’vérités’’ du Hamas, complété par un encouragement financier conséquent, bien appréciable en ces temps difficiles, annihileront les maigres espoirs de paix qui pouvaient faire encore illusion.
Le comique de la situation s’accroît, lorsque l’on conçoit la nomination des nouveaux représentants de la ‘’Palestine’’ dans les chancelleries occidentales, et particulièrement les européennes. Des délégués ayant comme mission relationnelle de défendre, certes, les intérêts à l’étranger du ‘’peuple palestinien’’ mais surtout d’explication du programme du gouvernement démocratiquement élu, de surcroît, sous la surveillance d’observateurs internationaux. Projet hamassien contenant, ni plus ni moins, l’éradication d’Israël et la déjudaïsation du Proche-Orient. Le cocasse de cette situation étant de voir Leila Shahid défendant publiquement, enfin, un programme si difficilement camouflé pendant toutes ces années de délégation, ou alors de la voir rentrer au pays afin de vêtir l’habit destiné aux femmes par un tel régime. A savoir la burkha.
Il est inutile, sauf à assombrir le tableau, de décrire l’espoir comblé des « activistes » hamassiens lors de la prochaine réception du Ministère de l’Education et des Sports. Ministère que l’on peut rebaptiser immédiatement, sans se tromper, Ministère des Martyrs, chapeautant du même coup, pourquoi pas, celui des vices et des vertus.
Vertus que ne possède plus, apparemment, le système démocratique qui a permit un tel viol de ses valeurs. Car, aurait on imaginer, partout ailleurs, une quelconque pression politique pour qu’un quelconque Hitler, d’âme et de cœur avec l’ancien Adolphe et de surcroît secondé par une armé de S.A., puisse faire valoir un programme qui a comme objectif la guerre et le malheur des peuples alentours ? Bien sûr que non.
Si donc, reste un seul espoir de voir une conclusion intelligente à ce qui s’avère être désormais une nouvelle tragédie malheureuse pour cette région, c’est celui de percevoir les démocraties ne plus jamais faire pression pour une candidature à des élections libres de groupes, ou d’individus, n’ayant pas la mesure des valeurs communes à notre civilisation, mais, au contraire, pour leur en interdire l’accès.