Lundi 1er Décembre à Genève, ville symbole de Paix par sa neutralité (sic) et des Droits de l’homme, va se perpétrer un ‘’coup d’état pacifique’’ contre une démocratie digne de ce nom et dénommée Israël. Aux yeux du monde, le gouvernement d’Ariel Sharon -et au- delà le choix démocratique israélien- sera désigné comme principal ‘’fauteur de guerre’’ pour refus de négociations de paix.
A ce passage en force, ont contribué -par « l’Initiative de Genève »- les Israéliens Yossi Beilin, Avraham Burg et Amram Mitzna aidés en cela par les Palestiniens Yasser Abed Rabbo, Hicham Abdel Razek, et Nabil Qassis, les deux parties étant secondées et encouragées, voire financées, secrètement pendant deux ans par la Suisse et particulièrement par sa ministre des Affaires étrangères Micheline Calmy-Rey.
L'événement aura lieu au Centre des congrès de Genève. En tout, près de mille personnalités sont attendues. Jimmy Carter, parrain des accords de Camp David de 1979 entre l’Egypte et Israël, Lech Walesa et Sean McBride, trois lauréats du prix Nobel de la paix, devraient prendre la parole. Le maître de cérémonie sera l'Américain Richard Dreyfuss, acteur fétiche de Steven Spielberg.
La France témoignera de l’intérêt à l’initiative « qui constitue un encouragement dans la recherche de la paix » par la présence de Mme Simone Veil, ancienne ministre d'état et par celle du Secrétaire général du ministère des Affaires étrangères, M. Hubert Colin de Verdière. Intérêt auparavant confirmée par l’accueil au Quai d’Orsay le 22 octobre dernier de MM. Beilin et Abed Rabbo.
Certaines délégations seront conduites par d'anciens dirigeants politiques, comme le Portugais Mario Soares, l'Espagnol Felipe Gonzalez, le Sud-Africain Nelson Mandela, et l'Allemand Helmut Schmidt. Quant à la délégation américaine, elle comprendra six sénateurs en fonctions. Trois républicains et trois démocrates.
Les ministres arabes des affaires étrangères du Qatar et du Maroc seront présents. Il n'y aura, en revanche, aucun chef de la diplomatie européenne. Les initiateurs expliquent qu'il était "trop tôt" pour les inviter.
L’art ne sera pas absent de la ‘’cérémonie’’. Les musiciens et chanteurs, tels Ehoud Banaï, Zaava Ben ou encore Aviv Guefen, et les écrivains, tels Amos Oz, A.B. Yeoshoua, Ram Oren et Yohi Brandeis, y apporteront leurs prestiges et cautions.
Même les représentants syndicaux, ou similaires, telle Vicky Knafo qui doit sa célébrité aux manifestations qu’elle a organisées contre le gouvernement, s'y rendra.
Bref ! Une vrai fête pour une noble cause. Descendre en fanfare Ariel Sharon pour son ‘’acharnement’’ à ne pas voir que cet accord « revêtait une importance nationale », et son refus « depuis des années de croire qu’il existe des partenaires pour cette paix » comme l’affirme Yossi Beilin.
Car c’est bien de cela qu’il s’agit. Y a t-il des partenaires pour une paix digne de ce nom ? Paix exigeant deux états pour deux peuples différents. L’un pour les ‘’Palestiniens’’ et l’autre pour les Israéliens. L’un à majorité arabe et le second à majorité Juive. Comme le prévoyait en l’an 2000 Ehud Barak, alors premier ministre israélien.
Est-ce le cas ? L’autorité palestinienne a t-elle à ce jour renoncé officiellement à son exigence qui a déclenché la « Guerre d’Oslo » et assassiné près de 4000 individus ? A savoir, l’abandon d’un retour au sein d’Israël de plus de quatre millions de‘’réfugiés’’. Même Yossi Beilin ne peux l’affirmer.
Seuls des intérêts convergents entre les signataires de « l’Initiative de Genève » les ont réunis.
La CHUTE du gouvernement d’Ariel Sharon.
Pour les uns, il s’agissait de se rappeler au souvenir du public et, le cas échéant, recevoir un mandat ou plus. Pour les autres, une question de survie politique les a contraint à composer. Les infrastructures des organisations terroristes malmenées voire anéanties, la clôture de sécurité empêchant toute ingérences ultérieures sur la politique israélienne, la situation économique du peuple palestinien, sont autant de raisons d'exercer des pressions sur les israéliens jusqu’à la chute d’Ariel Sharon et son remplacement par un individu plus malléable. Tel que… Yossi Beilin ???
A l’issue de la cérémonie genevoise, un groupe de contact européen sera créé pour « prolonger l’esprit de Genève ». Gageons en toute sécurité que cet esprit se fissurera sur l’opiniâtreté de Yasser Arafat à refuser un état juif.
Les parrains de cette comédie, auront alors peu fière allure d’avoir avaliser un Coup d’état genevois.
dimanche 30 novembre 2003
jeudi 27 novembre 2003
Questions pertinentes pour une Paix durable
Chacun y va, ou presque, de son plan de paix pour résoudre le conflit du proche-orient. Nous avons la proposition « la voix du peuple » de A. Ayalon et de S.Nusseibeh, le « Pacte de Genève » de Y. Abed Rabo et de Yossi Beilin, la « feuille de route » du Quartet devenue récemment loi onusienne par la volonté du membre Russe du conseil de sécurité -qui ne trouve pourtant pas lui même le chemin de la paix Tchétchène- et le plan de paix travailliste.
Tous s’accordent, à peu de chose près, sur l’idée de deux états distincts avec comme frontières la ligne de démarcation de 1949 et Jérusalem capitale des deux pays. Les deux peuples apportent, doucement mais sûrement, leurs cautions à ses frontières. Les « Palestiniens » ingèrent lentement l’impossibilité d’un retour total des ‘’réfugiés’’ en Israël même, et les Israéliens le partage de Jérusalem.
Néanmoins, tous ces plans ne présentent nulles réponses aux questions subsidiaires qui pourraient hypothéquer la paix à venir pour les générations futures. Questions peu importantes de prime abord, mais essentielles au regard de l’histoire passée et des relations à construire dans le futur.
Palestine :
Ce nom, chargé d’histoire bi-millénaire, pourra t-il être celui de l’état en devenir ? Métamorphoser les ‘’Palestiniens’’ en héritiers de la « Palestine historique » et les autoriser à s’approprier ce nom, c’est risquer à ce que les nouvelles générations de ‘’Palestiniens’’, au vu de ‘’leur histoire passée’’ ne prétendent à la partie de la terre, évidemment, ‘’spoliée’’ par Israël et n’exigent un jour sa reconquête.
Indemnités :
Certains de ces plans de paix peaufinent également le sujet des dédommagements dus aux ‘’réfugiés’’. Israël doit il contribuer à un fond de compensation autrement que volontairement et/ou par acte de générosité ? Se contraindre à une quelconque réparation, c’est reconnaître implicitement une responsabilité dans l’exode des arabes de la « Palestine historique » -demeurés jusqu’à ce jour, par la seule volonté de leurs ‘’frères’’, apatrides- et infliger à la descendance israélienne la ‘’culpabilité’’ de leurs pères dans ces souffrances.
Droit au ‘’retour’’ :
Dans diverses esquisses de paix, le retour d’une petite partie de ces mêmes ‘’réfugiés’’ au sein d’Israël (environ 400 000), comme israéliens, est envisagé. Hormis l’effort économique nécessaire à leurs intégrations et une reconnaissance sous-entendue de leurs ‘’bons droits’’ à revenir « chez eux », les doutes quant à leur loyauté due à leur nouvelle patrie à majorité juive sont ils imaginaires ? Il serait irresponsable de céder à cette requête et ainsi craindre une possible ‘’cinquième colonne’’ qui démultiplierai les dangers de rompre l’équilibre entre les différentes ethnies qui composent le peuple israélien.
« Colonies » :
L’inverse, par contre, n’est même pas imaginé par tous ces ‘’faiseurs de paix’’. Ces mêmes initiatives enjoignent le démantèlement des « colonies » et le bannissement des « colons » vers leur ‘’métropole’’. Cette nation à naître vivrait en bon voisinage et en paix, mais seulement sans Juifs et sans admettre l’histoire du peuple juif en ces contrées. Shrem, Bet-Lehem, Hébron... Il est inconséquent d’agréer à cet ‘’apartheid’’ et permettre que nos coreligionnaires le souhaitant ne puissent y vivre pleinement leur judaïsme.
Jérusalem :
Jérusalem capitale des deux pays. Ainsi, d’une cité qui n’est même pas mentionné par le coran, les « Palestiniens » ont imposé internationalement la ‘’sainteté’’ de l’Esplanade des mosquées et leurs ‘’droits’’ sur la ville, jusqu’alors inexistants avant la guerre des six jours. Au delà de son partage, l’acquiescement à une administration de la nouvelle ‘’Palestine’’ du seul lieu saint du Judaïsme (le Mont du temple) ou d’une partie, vaudra aveu ‘’d’illégitimité’’ du renouvellement d’Israël en sa terre ancestrale.
Comme cette analyse succincte le démontre, parapher un véritable traité de paix ne sera pas chose aisée. Il est fondamental, pour la pérennité d’Israël, de tenir compte au-delà des discussions à venir avec l’AP, des mentalités actuelles de tous les pays arabo-musulmans (des dirigeants mais aussi d’une très large partie des populations), de leurs quêtes permanentes d’islamisation de la planète et de leurs refus à toute démocratisation de leurs régimes.
Sauf à espérer que les négociateurs israéliens débattront fermement, entre autre de chacun de ces points, sans repousser aux calendes grecques -par lassitude, excès de confiance ou pression internationale- la recherche de solutions adéquates, il est à craindre que la paix obtenue ne vaille guère plus que le papier recueillant les paraphes des différentes parties.
Tous s’accordent, à peu de chose près, sur l’idée de deux états distincts avec comme frontières la ligne de démarcation de 1949 et Jérusalem capitale des deux pays. Les deux peuples apportent, doucement mais sûrement, leurs cautions à ses frontières. Les « Palestiniens » ingèrent lentement l’impossibilité d’un retour total des ‘’réfugiés’’ en Israël même, et les Israéliens le partage de Jérusalem.
Néanmoins, tous ces plans ne présentent nulles réponses aux questions subsidiaires qui pourraient hypothéquer la paix à venir pour les générations futures. Questions peu importantes de prime abord, mais essentielles au regard de l’histoire passée et des relations à construire dans le futur.
Palestine :
Ce nom, chargé d’histoire bi-millénaire, pourra t-il être celui de l’état en devenir ? Métamorphoser les ‘’Palestiniens’’ en héritiers de la « Palestine historique » et les autoriser à s’approprier ce nom, c’est risquer à ce que les nouvelles générations de ‘’Palestiniens’’, au vu de ‘’leur histoire passée’’ ne prétendent à la partie de la terre, évidemment, ‘’spoliée’’ par Israël et n’exigent un jour sa reconquête.
Indemnités :
Certains de ces plans de paix peaufinent également le sujet des dédommagements dus aux ‘’réfugiés’’. Israël doit il contribuer à un fond de compensation autrement que volontairement et/ou par acte de générosité ? Se contraindre à une quelconque réparation, c’est reconnaître implicitement une responsabilité dans l’exode des arabes de la « Palestine historique » -demeurés jusqu’à ce jour, par la seule volonté de leurs ‘’frères’’, apatrides- et infliger à la descendance israélienne la ‘’culpabilité’’ de leurs pères dans ces souffrances.
Droit au ‘’retour’’ :
Dans diverses esquisses de paix, le retour d’une petite partie de ces mêmes ‘’réfugiés’’ au sein d’Israël (environ 400 000), comme israéliens, est envisagé. Hormis l’effort économique nécessaire à leurs intégrations et une reconnaissance sous-entendue de leurs ‘’bons droits’’ à revenir « chez eux », les doutes quant à leur loyauté due à leur nouvelle patrie à majorité juive sont ils imaginaires ? Il serait irresponsable de céder à cette requête et ainsi craindre une possible ‘’cinquième colonne’’ qui démultiplierai les dangers de rompre l’équilibre entre les différentes ethnies qui composent le peuple israélien.
« Colonies » :
L’inverse, par contre, n’est même pas imaginé par tous ces ‘’faiseurs de paix’’. Ces mêmes initiatives enjoignent le démantèlement des « colonies » et le bannissement des « colons » vers leur ‘’métropole’’. Cette nation à naître vivrait en bon voisinage et en paix, mais seulement sans Juifs et sans admettre l’histoire du peuple juif en ces contrées. Shrem, Bet-Lehem, Hébron... Il est inconséquent d’agréer à cet ‘’apartheid’’ et permettre que nos coreligionnaires le souhaitant ne puissent y vivre pleinement leur judaïsme.
Jérusalem :
Jérusalem capitale des deux pays. Ainsi, d’une cité qui n’est même pas mentionné par le coran, les « Palestiniens » ont imposé internationalement la ‘’sainteté’’ de l’Esplanade des mosquées et leurs ‘’droits’’ sur la ville, jusqu’alors inexistants avant la guerre des six jours. Au delà de son partage, l’acquiescement à une administration de la nouvelle ‘’Palestine’’ du seul lieu saint du Judaïsme (le Mont du temple) ou d’une partie, vaudra aveu ‘’d’illégitimité’’ du renouvellement d’Israël en sa terre ancestrale.
Comme cette analyse succincte le démontre, parapher un véritable traité de paix ne sera pas chose aisée. Il est fondamental, pour la pérennité d’Israël, de tenir compte au-delà des discussions à venir avec l’AP, des mentalités actuelles de tous les pays arabo-musulmans (des dirigeants mais aussi d’une très large partie des populations), de leurs quêtes permanentes d’islamisation de la planète et de leurs refus à toute démocratisation de leurs régimes.
Sauf à espérer que les négociateurs israéliens débattront fermement, entre autre de chacun de ces points, sans repousser aux calendes grecques -par lassitude, excès de confiance ou pression internationale- la recherche de solutions adéquates, il est à craindre que la paix obtenue ne vaille guère plus que le papier recueillant les paraphes des différentes parties.
lundi 24 novembre 2003
Il est temps d’agir
Comme chaque semaine, si ce n’est chaque soir par l’intermédiaire du bulletin d’informations de début de soirée, les téléspectateurs de la chaîne culturelle (sic) franco-allemande ARTE vont recevoir leur dose de haine rituelle d’Israël, de son gouvernement ou de son peuple. Le 24 novembre, en seconde partie de soirée, un film co-réalisé par le palestinien Michel Khleifi et l’israélien Eyal Sivan « Route 181, fragments d'un voyage en Palestine-Israël » sera diffusé.
Est il nécessaire de clarifier la position des réalisateurs, notamment celle d’Eyal Sivan anti-israélien notoire et cousin de Ronny Brauman véritable référence en cette matière, ou de préciser que ce film documentaire anti-israélien colle parfaitement à la « ligne idéologique » de cette chaîne publique ?
Lors de l’émission « Cent minutes pour convaincre » sur France 2, Nicolas Sarkozy, le ministre de l’intérieur et des cultes, a dénoncé la réflexion par « la race » de Tarik Ramadan. Quelle est donc ‘’la race’’ de cette chaîne qui ne voit en Israël que le mal absolu, n’hésite pas à sélectionner les reportages, interviews et/ou documentaires allant dans ce sens, et si cela s’avère utile à la démonstration, à fausser les traductions, les réalités du terrain et/ou à exclure tout droit de réponse des ‘’accusés’’.
Peut on raisonnablement, objectivement, affirmer l’éternelle ‘’culpabilité’’ d’Israël ? Tout est il si noir en ce pays ? N’y a t-il rien à récupérer ? Rien à défendre ? Rien à copier ? Rien à … Seuls les antisémites, les antisionistes, les anti-israéliens peuvent témoigner de cette ‘’vérité’’.
Il est grand temps de convoquer le PDG, Jérôme Clément, à un débat public sur le rôle d’ARTE dans le développement de l’antisémitisme en France.
Il est temps pour les instances dirigeantes de la communauté juive de saisir le Président de la République et son gouvernement sur l’action néfaste de la direction des programmes de cette chaîne publique, et de les mettre face à leurs responsabilités.
Il est temps pour les démocrates de tout bord de manifester bruyamment devant le siège national.
Il est temps de ressusciter le « Prix Goebbels de la désinformation » qui gêna, à un moment donné, ces médias au profil propagandiste.
Il est temps que cesse cette diabolisation d’un état démocratique et d’un peuple qui a prouvé à maintes reprises son humanisme et son apport à l’humanité.
Il est temps que cette chaîne découvre qu’un Juif peut être innocent autrement que mort.
Il est temps qu’elle se débarrasse de cette obsession maladive qui la ronge, et avec elle une bonne partie de la société franco-allemande.
Il est plus que temps.
Est il nécessaire de clarifier la position des réalisateurs, notamment celle d’Eyal Sivan anti-israélien notoire et cousin de Ronny Brauman véritable référence en cette matière, ou de préciser que ce film documentaire anti-israélien colle parfaitement à la « ligne idéologique » de cette chaîne publique ?
Lors de l’émission « Cent minutes pour convaincre » sur France 2, Nicolas Sarkozy, le ministre de l’intérieur et des cultes, a dénoncé la réflexion par « la race » de Tarik Ramadan. Quelle est donc ‘’la race’’ de cette chaîne qui ne voit en Israël que le mal absolu, n’hésite pas à sélectionner les reportages, interviews et/ou documentaires allant dans ce sens, et si cela s’avère utile à la démonstration, à fausser les traductions, les réalités du terrain et/ou à exclure tout droit de réponse des ‘’accusés’’.
Peut on raisonnablement, objectivement, affirmer l’éternelle ‘’culpabilité’’ d’Israël ? Tout est il si noir en ce pays ? N’y a t-il rien à récupérer ? Rien à défendre ? Rien à copier ? Rien à … Seuls les antisémites, les antisionistes, les anti-israéliens peuvent témoigner de cette ‘’vérité’’.
Il est grand temps de convoquer le PDG, Jérôme Clément, à un débat public sur le rôle d’ARTE dans le développement de l’antisémitisme en France.
Il est temps pour les instances dirigeantes de la communauté juive de saisir le Président de la République et son gouvernement sur l’action néfaste de la direction des programmes de cette chaîne publique, et de les mettre face à leurs responsabilités.
Il est temps pour les démocrates de tout bord de manifester bruyamment devant le siège national.
Il est temps de ressusciter le « Prix Goebbels de la désinformation » qui gêna, à un moment donné, ces médias au profil propagandiste.
Il est temps que cesse cette diabolisation d’un état démocratique et d’un peuple qui a prouvé à maintes reprises son humanisme et son apport à l’humanité.
Il est temps que cette chaîne découvre qu’un Juif peut être innocent autrement que mort.
Il est temps qu’elle se débarrasse de cette obsession maladive qui la ronge, et avec elle une bonne partie de la société franco-allemande.
Il est plus que temps.
vendredi 21 novembre 2003
Brève réflexion d’un démocrate (2ème)
Le Grand rabbin de France Joseph Sitruk, suite à sa rencontre à l’Élysée avec le Président de la République le 17 novembre, a recommandé aux juifs du pays de dissimuler les Kippot par des casquettes, et cela pour des raisons de sécurité.
Ainsi, nous revoici immergés dans l'atmosphère des années 30, où le Juif, parce que juif, devait renoncer à sa culture, ses rites, ses choix publics, afin de sauvegarder sa vie des risques encourus par l’antisémitisme ambiant. Par cette demande, le Rabbin nous confirme directement la gravité de la situation.
Il paraît, qu’il y a aussi du racisme anti-arabe en France (!?!?). C’est ce que nous assène à longueur de diatribes, les médias et les associations anti-raciste tels que le MRAP ou encore la FIDH. Et pourtant, nulles écoles religieuses ou mosquées ne sont incendiées ou dégradées et nuls imams brutalisés. Dalil Boubeckeur, n’a pas à ce jour appelé ses compatriotes à retirer tous les signes ostentatoires du domaine public, notamment le voile islamique, suite à un quelconque péril. Bien au contraire, c’est l’atteinte à la laïcité qu’il réclame.
Ce qui est par ailleurs singulier, c’est le silence totale de ces associations -qui se disent anti-racistes- et de ces partis politiques -dont le programme est anti-sioniste- quant à une prise de conscience de la gravité de l’avertissement du Grand Rabbin de France à ses coreligionnaires.
Connaissant sa nostalgie du 3ème Reich, seul le silence du Front national n’a rien d’assourdissant. Mais pour ce qui est des autres partis et associations cela impose la question quant à leur volonté proclamée de combattre ce fléau renaissant.
Pour les Verts, l’ex candidat à la présidence de la République Noël Mamère s’est dit « un peu Juif, mais aussi arabe » (sic).
Pour ce qui est des rouges, Olivier Besancenot -qui ‘’pleure’’ devant les caméras lorsque l’on soupçonne l’antisémitisme de son groupuscule totalitaire- ne sanglote pas sur le recul des Droits de l’Homme Juif français et des nouvelles ‘’contraintes’’ que la société lui inflige.
Quant aux diverses associations, parions qu’un rapport alarmant sur l’antisémitisme et l’extrémisme des ‘’jeunes de banlieues’’ et soutenant les valeurs républicaines se fera encore attendre longtemps.
Si pour certains, il n’y a pas association idéologique entre les verts, bruns et rouges, il y a, tout au moins, une indifférence commune avérée quant au devenir de l’individu juif.
Après les graphitis injurieux, les écoles et synagogues brûlées et les juifs maltraités y aura t-il les cercueils ?
Il est fort probable que la communauté juive ne préfère d’ici peu la valise.
Ainsi, nous revoici immergés dans l'atmosphère des années 30, où le Juif, parce que juif, devait renoncer à sa culture, ses rites, ses choix publics, afin de sauvegarder sa vie des risques encourus par l’antisémitisme ambiant. Par cette demande, le Rabbin nous confirme directement la gravité de la situation.
Il paraît, qu’il y a aussi du racisme anti-arabe en France (!?!?). C’est ce que nous assène à longueur de diatribes, les médias et les associations anti-raciste tels que le MRAP ou encore la FIDH. Et pourtant, nulles écoles religieuses ou mosquées ne sont incendiées ou dégradées et nuls imams brutalisés. Dalil Boubeckeur, n’a pas à ce jour appelé ses compatriotes à retirer tous les signes ostentatoires du domaine public, notamment le voile islamique, suite à un quelconque péril. Bien au contraire, c’est l’atteinte à la laïcité qu’il réclame.
Ce qui est par ailleurs singulier, c’est le silence totale de ces associations -qui se disent anti-racistes- et de ces partis politiques -dont le programme est anti-sioniste- quant à une prise de conscience de la gravité de l’avertissement du Grand Rabbin de France à ses coreligionnaires.
Connaissant sa nostalgie du 3ème Reich, seul le silence du Front national n’a rien d’assourdissant. Mais pour ce qui est des autres partis et associations cela impose la question quant à leur volonté proclamée de combattre ce fléau renaissant.
Pour les Verts, l’ex candidat à la présidence de la République Noël Mamère s’est dit « un peu Juif, mais aussi arabe » (sic).
Pour ce qui est des rouges, Olivier Besancenot -qui ‘’pleure’’ devant les caméras lorsque l’on soupçonne l’antisémitisme de son groupuscule totalitaire- ne sanglote pas sur le recul des Droits de l’Homme Juif français et des nouvelles ‘’contraintes’’ que la société lui inflige.
Quant aux diverses associations, parions qu’un rapport alarmant sur l’antisémitisme et l’extrémisme des ‘’jeunes de banlieues’’ et soutenant les valeurs républicaines se fera encore attendre longtemps.
Si pour certains, il n’y a pas association idéologique entre les verts, bruns et rouges, il y a, tout au moins, une indifférence commune avérée quant au devenir de l’individu juif.
Après les graphitis injurieux, les écoles et synagogues brûlées et les juifs maltraités y aura t-il les cercueils ?
Il est fort probable que la communauté juive ne préfère d’ici peu la valise.
mardi 18 novembre 2003
Les faux remèdes
« La République française ne peut tolérer aucun acte antisémite et l'école plus que tout autre lieu doit demeurer le lieu de la tolérance et du respect ». Par ces mots, le Président de la République a enfin prit conscience de la portée de cette maladie, qui ronge notre beau pays et qui fait souffrir la devise républicaine « Liberté, Égalité, Fraternité », que l’on nomme ANTISÉMITISME et qui signifie « hostilité aux Juifs ».
Contrairement à toutes ses déclarations précédentes, cette infection ne date pas de l’incendie volontaire et criminel de l’école de Gagny, mais exactement de septembre 2000, date choisie par Yasser Arafat et son peuple pour contraindre l’état d’Israël à des concessions impossibles, sauf à s’autodétruire.
Son silence, voire sa négation après les premières alertes des représentants de la communauté juive, n’a pas contribué à calmer ceux que l’on nomme pudiquement, dans un langage politiquement correct, les « jeunes de banlieues » et que nous savons musulmans. Ces musulmans poussés, entraînés par une coalition islamo-progressiste que nul ne condamne ni ne désavoue.
La transposition du conflit proche-oriental sur le sol de la France, et celle notamment des ‘’culpabilités’’ de Tsahal et d’Ariel Sharon -largement diabolisés par le monde politique, médiatique et associatif- sur les Juifs Français jugés (à tort ou à raison) inconditionnels de ce pays, adoubée par la haine ancestrale du Judaïsme et l’intégrisme religieux de cette partie de la communauté musulmane, explique cette violence qu’il semble découvrir.
Il lui a donc paru urgent de réunir, au palais de l’Élysée, le Premier ministre Jean Pierre Raffarin et ses différents ministres de l’intérieur, de la Justice, de l’éducation nationale et celui de l’enseignement scolaire, afin de parer le pays de cet antisémitisme renaissant par une nouvelle approche franco-française du problème.
Malheureusement, il est à craindre que cette tentative restera lettre morte, car ‘’l’antidote’’ à ce ‘’virus’’ est ailleurs. Très précisément dans la politique pro-arabe qui dénigre, petit à petit, les valeurs démocratiques qui ont façonné à travers le temps notre société.
Il est donc pressant, que la position française sur ce conflit, et principalement sur l’Autorité Palestinienne, soit recadrée au seul regard de nos valeurs calquées sur les Droits de l’Homme, et non plus sur les relations économiques avec ce « monde arabo-musulman » non démocratique et qui obligent à des concessions inconvenantes.
Il est également primordial que le Président Français fasse le déplacement de Jérusalem pour une rencontre avec le Premier ministre Ariel Sharon, sans s’acquitter pour autant d’une visite à Yasser Arafat ni à aucun autre dirigeant d’un pays voisin, afin de rétablir le gouvernement de ce pays, et son chef, dans le camp des démocrates attaché aux valeurs humanistes.
Alors que ce voyage sera très mal perçu par la communauté arabe française, et bien que cette visite à la seule démocratie de cette région sera le pendant de toutes celles effectuées par la présidence française aux autocraties arabes, il concédera à Israël un renouveau diplomatique, et une récusation publique quant aux accusations mensongères de souffrances volontaires, de massacres et de génocide du peuple palestinien tant écriés par les partis politiques et les médias français. La France, de par sa place au sein de l’Europe et sa stature internationale peut tenir ce rôle.
Si cet effort diplomatique nécessaire aux deux pays n’est pas entreprit, il est à craindre que d’ici peu, la communauté juive française ne compte à nouveau des morts en son sein, et que le camp démocrate ne fléchit encore un peu plus devant l’hydre.
Il sera alors trop tard pour réunir quelque assemblée que ce soit pour légiférer, ou pour présenter des condoléances de circonstances.
Contrairement à toutes ses déclarations précédentes, cette infection ne date pas de l’incendie volontaire et criminel de l’école de Gagny, mais exactement de septembre 2000, date choisie par Yasser Arafat et son peuple pour contraindre l’état d’Israël à des concessions impossibles, sauf à s’autodétruire.
Son silence, voire sa négation après les premières alertes des représentants de la communauté juive, n’a pas contribué à calmer ceux que l’on nomme pudiquement, dans un langage politiquement correct, les « jeunes de banlieues » et que nous savons musulmans. Ces musulmans poussés, entraînés par une coalition islamo-progressiste que nul ne condamne ni ne désavoue.
La transposition du conflit proche-oriental sur le sol de la France, et celle notamment des ‘’culpabilités’’ de Tsahal et d’Ariel Sharon -largement diabolisés par le monde politique, médiatique et associatif- sur les Juifs Français jugés (à tort ou à raison) inconditionnels de ce pays, adoubée par la haine ancestrale du Judaïsme et l’intégrisme religieux de cette partie de la communauté musulmane, explique cette violence qu’il semble découvrir.
Il lui a donc paru urgent de réunir, au palais de l’Élysée, le Premier ministre Jean Pierre Raffarin et ses différents ministres de l’intérieur, de la Justice, de l’éducation nationale et celui de l’enseignement scolaire, afin de parer le pays de cet antisémitisme renaissant par une nouvelle approche franco-française du problème.
Malheureusement, il est à craindre que cette tentative restera lettre morte, car ‘’l’antidote’’ à ce ‘’virus’’ est ailleurs. Très précisément dans la politique pro-arabe qui dénigre, petit à petit, les valeurs démocratiques qui ont façonné à travers le temps notre société.
Il est donc pressant, que la position française sur ce conflit, et principalement sur l’Autorité Palestinienne, soit recadrée au seul regard de nos valeurs calquées sur les Droits de l’Homme, et non plus sur les relations économiques avec ce « monde arabo-musulman » non démocratique et qui obligent à des concessions inconvenantes.
Il est également primordial que le Président Français fasse le déplacement de Jérusalem pour une rencontre avec le Premier ministre Ariel Sharon, sans s’acquitter pour autant d’une visite à Yasser Arafat ni à aucun autre dirigeant d’un pays voisin, afin de rétablir le gouvernement de ce pays, et son chef, dans le camp des démocrates attaché aux valeurs humanistes.
Alors que ce voyage sera très mal perçu par la communauté arabe française, et bien que cette visite à la seule démocratie de cette région sera le pendant de toutes celles effectuées par la présidence française aux autocraties arabes, il concédera à Israël un renouveau diplomatique, et une récusation publique quant aux accusations mensongères de souffrances volontaires, de massacres et de génocide du peuple palestinien tant écriés par les partis politiques et les médias français. La France, de par sa place au sein de l’Europe et sa stature internationale peut tenir ce rôle.
Si cet effort diplomatique nécessaire aux deux pays n’est pas entreprit, il est à craindre que d’ici peu, la communauté juive française ne compte à nouveau des morts en son sein, et que le camp démocrate ne fléchit encore un peu plus devant l’hydre.
Il sera alors trop tard pour réunir quelque assemblée que ce soit pour légiférer, ou pour présenter des condoléances de circonstances.
lundi 17 novembre 2003
L’éternelle renaissance
Après les maintes tribunes médiatiques, les condamnations sans appels des diverses instances nationales ou onusiennes, les prises de positions des élites politiques, artistiques ou associatives et les manifestations dans les rues des sans grades, contre l’état d’Israël -usant de son droit légitime à l’autodéfense- et son Premier ministre Ariel Sharon, revoici les éternelles, les immortelles inculpations ressassées contre le peuple juif.
Le procès planétaire et perpétuel à son encontre se conforte depuis plus de trois années et reprend de plus belle son instruction à charge.
Pour ce faire, nous avons eu droit au discours inaugural du Premier ministre de Malaisie Mahatir, lors de la dixième conférence de l’OCI regroupant les 57 nations musulmanes, incriminant le peuple juif de « complots » aux seules fins de gouverner le monde par pays interposés.
Accusations qui confirmèrent, en quelque sorte, la déclaration du député Allemand Martin Hohmann (du parti CDU), assurant que ‘’l’accusé’’ est un « peuple de coupable » pour cause de participation à la révolution bolchevique de 1917, à l’identique du peuple allemand lors de sa période nazie.
Affirmation qui anticipa celle du célèbre compositeur grec Mikis Theodorakis qui, lors d’une conférence de presse, dévoila l’origine de tous les maux de cette planète : « Il y a deux nations sans frontières dans le monde, nous et les juifs, mais ils ont le fanatisme et sont énergiques. (…) Aujourd'hui, il est possible de dire que cette petite nation est la racine du mal. Elle est pleine d’autosuffisance et d'obstination mauvaise ».
Allégation rappelant ses autres calomnies prophétisant « que le peuple d'Israël regrettera un jour d'avoir laissé Sharon l'entraîner vers une campagne de la honte qui ravive dans nos mémoires les crimes des nazis ». Diffamations émises lors du lancement de l’opération « Mur de remparts » qui fut décidée après le mois de Mars 2002 particulièrement meurtrier, où près de 140 Israéliens furent assassinés par des démocides reconnus internationalement comme des crimes contre l’humanité.
Bien que liste non exhaustive, ces quelques aperçus de portées internationales démontrent que s’installe, à travers la planète, une base ‘’légalisée’’ de la haine du Juif qui abolit -jour après jour- les tabous et qui décuple les actes de violences à l’encontre du Judaïsme et de ses symboles où qu’ils se trouvent.
Animosité confortée par un sondage commandité par la Commission Européenne et illustrant -par 59% de sondés européens- la menace première envers la paix du monde que représente l’état d’Israël.
Aversion envers cet état, qu’enrichit un autre sondage publié par le quotidien italien Corriere Della Sera et qui indique que 17% de sondés italiens auraient préféré que l’état d’Israël n’eusse pas existé, et que 14% souhaiteraient le départ des Juifs d’Israël et le don total de leurs terres aux Palestiniens.
Obtiendrons nous un tel score pour toute autre nation ou peuple ? De quelle autre pays revendique t-on sa dé-légitimation ? Poser ces questions au sujet du seul peuple juif et de sa patrie, devient presque naturel, voire une obligation pour tout sondage qui se veut ‘’sérieux’’.
Quel est donc ce virus qui ronge une très grande partie de la société internationale ? Virus qui ‘’nécessite’’ paraît il comme ‘’antidote’’ un accord de paix digne du « Pacte de Genève », copie parfaite aux résultats des négociations de Camp David en l’an 2000 entre Bill Clinton, Ehud Barak et Yasser Arafat.
Copie parfaite à une exception près : le ‘’droit ‘’(sic) de retour des réfugiés palestiniens en Israël n’est plus revendiqué par les négociateurs palestiniens. Ce qu’avait alors refusé l’interné de la Moukaata et qui déclencha la « Guerre d’Oslo ».
A l’aune de ce constat, est-il faux aujourd’hui, d'assurer que le projet du Président-démocratiquement-élu-à-vie palestinien était tout simplement l’éradication de l’état d’Israël par l’exigence de cette revendication ? Est-il faux d’alléguer qu’Israël n’a réagi qu’en réaction à cette volonté criminelle de l’Autorité Palestinienne ? Est-il faux de certifier que l’Europe s’est déshonoré par ses accusations permanentes et sa participation automatique aux condamnations onusiennes aux préjugés anti-israéliens et anti-démocratiques ? Est il faut d’affirmer que les ‘’avocats’’ de la cause palestinienne, se prévalant de la charte des Droits de l’Homme, s’acoquinent plus volontiers avec la haine du Sionisme et d’Israël, qu’avec le devenir de ce peuple supplicié par les fanatiques islamiques qui le dominent ?
Le Juif, de par son histoire millénaire, a apprit à se méfier des pressions ‘’amicales’’ et de ses conséquences catastrophiques pour son bien être. Il se doit toutefois de comprendre que ce virus a saisi l’opportunité de la « Guerre d’Oslo » pour resurgir, et que la défiance restera de mise bien après l’installation d’une paix juste pour les deux peuples.
Ainsi est la planète. A nous de ne pas effacer de notre mémoire la haine qui l’habite en continu.
Le procès planétaire et perpétuel à son encontre se conforte depuis plus de trois années et reprend de plus belle son instruction à charge.
Pour ce faire, nous avons eu droit au discours inaugural du Premier ministre de Malaisie Mahatir, lors de la dixième conférence de l’OCI regroupant les 57 nations musulmanes, incriminant le peuple juif de « complots » aux seules fins de gouverner le monde par pays interposés.
Accusations qui confirmèrent, en quelque sorte, la déclaration du député Allemand Martin Hohmann (du parti CDU), assurant que ‘’l’accusé’’ est un « peuple de coupable » pour cause de participation à la révolution bolchevique de 1917, à l’identique du peuple allemand lors de sa période nazie.
Affirmation qui anticipa celle du célèbre compositeur grec Mikis Theodorakis qui, lors d’une conférence de presse, dévoila l’origine de tous les maux de cette planète : « Il y a deux nations sans frontières dans le monde, nous et les juifs, mais ils ont le fanatisme et sont énergiques. (…) Aujourd'hui, il est possible de dire que cette petite nation est la racine du mal. Elle est pleine d’autosuffisance et d'obstination mauvaise ».
Allégation rappelant ses autres calomnies prophétisant « que le peuple d'Israël regrettera un jour d'avoir laissé Sharon l'entraîner vers une campagne de la honte qui ravive dans nos mémoires les crimes des nazis ». Diffamations émises lors du lancement de l’opération « Mur de remparts » qui fut décidée après le mois de Mars 2002 particulièrement meurtrier, où près de 140 Israéliens furent assassinés par des démocides reconnus internationalement comme des crimes contre l’humanité.
Bien que liste non exhaustive, ces quelques aperçus de portées internationales démontrent que s’installe, à travers la planète, une base ‘’légalisée’’ de la haine du Juif qui abolit -jour après jour- les tabous et qui décuple les actes de violences à l’encontre du Judaïsme et de ses symboles où qu’ils se trouvent.
Animosité confortée par un sondage commandité par la Commission Européenne et illustrant -par 59% de sondés européens- la menace première envers la paix du monde que représente l’état d’Israël.
Aversion envers cet état, qu’enrichit un autre sondage publié par le quotidien italien Corriere Della Sera et qui indique que 17% de sondés italiens auraient préféré que l’état d’Israël n’eusse pas existé, et que 14% souhaiteraient le départ des Juifs d’Israël et le don total de leurs terres aux Palestiniens.
Obtiendrons nous un tel score pour toute autre nation ou peuple ? De quelle autre pays revendique t-on sa dé-légitimation ? Poser ces questions au sujet du seul peuple juif et de sa patrie, devient presque naturel, voire une obligation pour tout sondage qui se veut ‘’sérieux’’.
Quel est donc ce virus qui ronge une très grande partie de la société internationale ? Virus qui ‘’nécessite’’ paraît il comme ‘’antidote’’ un accord de paix digne du « Pacte de Genève », copie parfaite aux résultats des négociations de Camp David en l’an 2000 entre Bill Clinton, Ehud Barak et Yasser Arafat.
Copie parfaite à une exception près : le ‘’droit ‘’(sic) de retour des réfugiés palestiniens en Israël n’est plus revendiqué par les négociateurs palestiniens. Ce qu’avait alors refusé l’interné de la Moukaata et qui déclencha la « Guerre d’Oslo ».
A l’aune de ce constat, est-il faux aujourd’hui, d'assurer que le projet du Président-démocratiquement-élu-à-vie palestinien était tout simplement l’éradication de l’état d’Israël par l’exigence de cette revendication ? Est-il faux d’alléguer qu’Israël n’a réagi qu’en réaction à cette volonté criminelle de l’Autorité Palestinienne ? Est-il faux de certifier que l’Europe s’est déshonoré par ses accusations permanentes et sa participation automatique aux condamnations onusiennes aux préjugés anti-israéliens et anti-démocratiques ? Est il faut d’affirmer que les ‘’avocats’’ de la cause palestinienne, se prévalant de la charte des Droits de l’Homme, s’acoquinent plus volontiers avec la haine du Sionisme et d’Israël, qu’avec le devenir de ce peuple supplicié par les fanatiques islamiques qui le dominent ?
Le Juif, de par son histoire millénaire, a apprit à se méfier des pressions ‘’amicales’’ et de ses conséquences catastrophiques pour son bien être. Il se doit toutefois de comprendre que ce virus a saisi l’opportunité de la « Guerre d’Oslo » pour resurgir, et que la défiance restera de mise bien après l’installation d’une paix juste pour les deux peuples.
Ainsi est la planète. A nous de ne pas effacer de notre mémoire la haine qui l’habite en continu.
dimanche 16 novembre 2003
Brèves réflexions d’un démocrate
59% de sondés européens, d’un sondage commandité par la Commission Européenne, affirment Israël comme menace principalepour la paix mondiale. Est-ce à dire, par l’analyse de ce résultat, que six millions d’Israéliens menacent militairement le reste de la planète ? Peut on imaginer, ne serait-ce qu’un court instant, que ce petit nombre pourrait conquérir autant de territoires, en contrôler leurs habitants et, quant à faire, leurs richesses ?
Est-ce de ces hypothèses que résulte la crainte des Européens ?
Non pas.
L'angoisse de ces derniers quant à la menace sur la paix, provient exclusivement de la volonté tenace de ce petit pays de survivre envers et contre tout et tous. Le chantage permanent des pays arabo-musulmans à l’éradication d’Israël, qui persiste depuis 1948, prouve que la patience paie. L’embargo sur le pétrole, le terrorisme, les boycotts des entreprises internationales aux noms à consonances juives ou travaillant avec l’état juif, la diplomatie et autres diverses actions, ont ‘’muté’’ Israël en trublion de la vie facile et confortable.
Toutes ces manigances ont ‘’parfais’’ la démonstration que cette petite nation est la principale cause à une future rupture de la paix mondiale, ainsi que la ‘’pertinence’’ du combat ‘’conforme’’ aux Droits de l’Homme des Palestiniens et de leurs ‘’frères’’ en haine. La crainte vient donc d’un débordement de cette bataille en deçà de leurs frontières.
C’est ainsi que 59% d’Européens, par la grâce des positions politiques peu courageuses de leurs dirigeants, n’hésiteront pas à soutenir -pour conserver leur bien être- la dé-légitimation de l’état démocratique Israël, voire son éradication définitive. Ainsi s'effacent les valeurs fondatrices de l’Europe.
S’il est à craindre que dorénavant l’Europe ne soit plus encore une fois à six millions de juifs près, il nous faut lui rappeler qu’après Samedi viendra Dimanche.
Autre succincte analyse.
Du 12 au 15 novembre a eu lieu le 2ème Forum Social Européen dans quatre villes françaises, toutes de gauche. Tous les médias ont annoncé une affluence ‘’record’’ (sic) de participants, venant de tout pays, variant entre 40 000 et 60 000. C’est paraît il un beau succès. (!?!?)
Que dire donc de la communauté juive française, qui en douze heures, et pour l’objectif d’accroître l’amitié France-Israël a rassemblé plus de 40 000 sympathisants à la porte de Versailles, sans l’aide aucune d’un quelconque support médiatique autre que communautaire ? Bien au contraire. A lire leur compte rendu, il n’y avait là rien d’extraordinaire.
Cet échec est d’autant plus étonnant, que le FSE aura coûté à la collectivité française de par les diverses contributions de l’état et des différentes communes participantes, et se sera terminé tout de même par un déficit évalué à 100 000 Euros. Forum pour un autre monde, mais financé par les impôts des citoyens de ce monde-ci, qui n’ont pas forcément tous envie d’en changer pour celui promit par les Bové, Besancenot et autres sympathisants d’extrême gauche et de la gauche extrême ou encore pour celui des musulmans souhaitant islamiser la modernité.
Imaginez le tohu-bohu général si le CRIF aurait réclamé, pour son rassemblement, un financement public.
Autre revers, celui de la manifestation organisé dans les rues de PARIS pour la clôture du FSE le 15 novembre. Elle aurait réuni 100 000 manifestants selon les organisateurs et 40 000 selon la police. A comparer ces chiffres avec la manifestation d’Avril 2002 pour le soutien à Israël et contre l’Antisémitisme, les organisateurs du prochain Forum à Londres devraient se faire du soucis. Les Juifs Français avaient massé (uniquement dans les rues de la capitale) 150 000 manifestants selon les organisateurs et 52 000 selon la Police.
A l’aune de ces échecs, il semble que "l’autre monde" restera lettre morte.
Tous ne s’en plaindront pas.
Est-ce de ces hypothèses que résulte la crainte des Européens ?
Non pas.
L'angoisse de ces derniers quant à la menace sur la paix, provient exclusivement de la volonté tenace de ce petit pays de survivre envers et contre tout et tous. Le chantage permanent des pays arabo-musulmans à l’éradication d’Israël, qui persiste depuis 1948, prouve que la patience paie. L’embargo sur le pétrole, le terrorisme, les boycotts des entreprises internationales aux noms à consonances juives ou travaillant avec l’état juif, la diplomatie et autres diverses actions, ont ‘’muté’’ Israël en trublion de la vie facile et confortable.
Toutes ces manigances ont ‘’parfais’’ la démonstration que cette petite nation est la principale cause à une future rupture de la paix mondiale, ainsi que la ‘’pertinence’’ du combat ‘’conforme’’ aux Droits de l’Homme des Palestiniens et de leurs ‘’frères’’ en haine. La crainte vient donc d’un débordement de cette bataille en deçà de leurs frontières.
C’est ainsi que 59% d’Européens, par la grâce des positions politiques peu courageuses de leurs dirigeants, n’hésiteront pas à soutenir -pour conserver leur bien être- la dé-légitimation de l’état démocratique Israël, voire son éradication définitive. Ainsi s'effacent les valeurs fondatrices de l’Europe.
S’il est à craindre que dorénavant l’Europe ne soit plus encore une fois à six millions de juifs près, il nous faut lui rappeler qu’après Samedi viendra Dimanche.
Autre succincte analyse.
Du 12 au 15 novembre a eu lieu le 2ème Forum Social Européen dans quatre villes françaises, toutes de gauche. Tous les médias ont annoncé une affluence ‘’record’’ (sic) de participants, venant de tout pays, variant entre 40 000 et 60 000. C’est paraît il un beau succès. (!?!?)
Que dire donc de la communauté juive française, qui en douze heures, et pour l’objectif d’accroître l’amitié France-Israël a rassemblé plus de 40 000 sympathisants à la porte de Versailles, sans l’aide aucune d’un quelconque support médiatique autre que communautaire ? Bien au contraire. A lire leur compte rendu, il n’y avait là rien d’extraordinaire.
Cet échec est d’autant plus étonnant, que le FSE aura coûté à la collectivité française de par les diverses contributions de l’état et des différentes communes participantes, et se sera terminé tout de même par un déficit évalué à 100 000 Euros. Forum pour un autre monde, mais financé par les impôts des citoyens de ce monde-ci, qui n’ont pas forcément tous envie d’en changer pour celui promit par les Bové, Besancenot et autres sympathisants d’extrême gauche et de la gauche extrême ou encore pour celui des musulmans souhaitant islamiser la modernité.
Imaginez le tohu-bohu général si le CRIF aurait réclamé, pour son rassemblement, un financement public.
Autre revers, celui de la manifestation organisé dans les rues de PARIS pour la clôture du FSE le 15 novembre. Elle aurait réuni 100 000 manifestants selon les organisateurs et 40 000 selon la police. A comparer ces chiffres avec la manifestation d’Avril 2002 pour le soutien à Israël et contre l’Antisémitisme, les organisateurs du prochain Forum à Londres devraient se faire du soucis. Les Juifs Français avaient massé (uniquement dans les rues de la capitale) 150 000 manifestants selon les organisateurs et 52 000 selon la Police.
A l’aune de ces échecs, il semble que "l’autre monde" restera lettre morte.
Tous ne s’en plaindront pas.
dimanche 9 novembre 2003
Victimes ou Fauteurs de Guerres ?
Selon le service de presse de l’ambassade de France en Israël, 85% des Français ressentent de la sympathie pour les juifs. Ce qui indique une progression de 13% par rapport à un sondage analogue organisé en France dans les années quatre-vingt-dix.
Ainsi, par le fait que l’antisémitisme augmente dans des proportions inquiétantes depuis l’an 2000, et que le Juif subit les coups (à savoir synagogues, écoles, magasins et restaurants brûlés, rabbins agressés, adolescents insultés, menacés et/ou brutalisés etc.) et redevient la victime de jadis, la sympathie à son encontre va croissant.
Mais dès lors, où las d’endurer les agressions, il décide de se protéger, de se défendre, voire anticiper et prévenir, 55% des Français (59% des Européens) estime qu’il devient une menace pour la paix dans le monde. Israël est donc, depuis peu, la première menace contre la paix de la planète, suivi de très peu par les USA, ex æquo avec la Corée du Nord et l’Iran, deux nations absolument pacifiques comme chacun sait.
Sauf à imaginer un trucage de la part du sondeur et/ou de son commanditaire Européen (ce qui serait plus que surprenant), dans un but précis de ternir un peu plus l’image de deux grandes démocraties vivantes dans le respect des lois et des Droits de l’Homme, le résultat est des plus ahurissants.
Est-il loisible d’imaginer une menace envers la France (l’Europe) en provenance de ces deux pays ? Les a t-on vu menacer et affronter autres que leurs agresseurs ? A t-on observé dans le passé une démocratie en attaquer une autre ? Nullement. Ces deux nations ont elles comme objectif ultime un choc de civilisations ? Le Français (l’Européen) aurait il des informations que nous ne détenons pas, et qui corroboreraient ce sondage et confirmerait le Juif Israélien en tant que ’’FAUTEUR DE GUERRE’’, allégation qui servit tant le 3ème Reich à l’époque ? Pas du tout.
Seul l’environnement (politique et/ou médiatique) a façonné l’avis du citoyen lambda Français (Européen). Tel un produit marketing, Israël est soumit en permanence a une propagande ‘’publicitaire’’ très réussie, qui a -depuis plus de trois années- comme objectif de freiner toute adhésion à sa politique de légitime défense, et de créer -voire d'accroître- une aversion à son égard.
Il suffit pour cela de se remémorer les singulières prises de positions politiques des différents états composants l’Europe et les orientations ‘’forcément’’ accusatrices de tous leurs médias respectifs, souhaitées -voire sollicitées- par les pouvoirs en place, pour des raisons autres que respectables : pétrole, pétrodollars, armements, etc., ou tout simplement peur des régimes autocratiques musulmans et/ou des fanatiques islamistes qui y prolifèrent.
Cette affluence de condamnations, permet qu’Israël devienne doucement le ‘’JUIF des NATIONS’’ dans l’esprit de tout à chacun, autorise (le sondage le prouvant) une érosion lente des valeurs démocratiques au sein de la France ( l’Europe ), et explique l’essor d’une haine qui supprimera toute obstruction à une agression d’Israël, FAUTEUR DE GUERRES. Ainsi, tout démocide est d’avance expliqué, tout méga-attentat justifié et toute bombinette nucléaire iranienne (ou autre) légitimée.
Pour ce qui est des « soutiens inconditionnels » d’Israël, les Juifs Français ( Européens ) pourront vérifier, dans un avenir proche, cette animosité qui brise les tabous les uns après les autres, et admet tous les excès.
Il leur restera à savoir s’ils préfèreront être sympathiques à leurs pays d’accueils à hauteur de 100% parce que de nouveau victimes, ou être haïs et devenir un ‘’fauteur de guerres’’ digne, mais Israélien ou Américain.
Le choix s’imposera de lui-même.
Ainsi, par le fait que l’antisémitisme augmente dans des proportions inquiétantes depuis l’an 2000, et que le Juif subit les coups (à savoir synagogues, écoles, magasins et restaurants brûlés, rabbins agressés, adolescents insultés, menacés et/ou brutalisés etc.) et redevient la victime de jadis, la sympathie à son encontre va croissant.
Mais dès lors, où las d’endurer les agressions, il décide de se protéger, de se défendre, voire anticiper et prévenir, 55% des Français (59% des Européens) estime qu’il devient une menace pour la paix dans le monde. Israël est donc, depuis peu, la première menace contre la paix de la planète, suivi de très peu par les USA, ex æquo avec la Corée du Nord et l’Iran, deux nations absolument pacifiques comme chacun sait.
Sauf à imaginer un trucage de la part du sondeur et/ou de son commanditaire Européen (ce qui serait plus que surprenant), dans un but précis de ternir un peu plus l’image de deux grandes démocraties vivantes dans le respect des lois et des Droits de l’Homme, le résultat est des plus ahurissants.
Est-il loisible d’imaginer une menace envers la France (l’Europe) en provenance de ces deux pays ? Les a t-on vu menacer et affronter autres que leurs agresseurs ? A t-on observé dans le passé une démocratie en attaquer une autre ? Nullement. Ces deux nations ont elles comme objectif ultime un choc de civilisations ? Le Français (l’Européen) aurait il des informations que nous ne détenons pas, et qui corroboreraient ce sondage et confirmerait le Juif Israélien en tant que ’’FAUTEUR DE GUERRE’’, allégation qui servit tant le 3ème Reich à l’époque ? Pas du tout.
Seul l’environnement (politique et/ou médiatique) a façonné l’avis du citoyen lambda Français (Européen). Tel un produit marketing, Israël est soumit en permanence a une propagande ‘’publicitaire’’ très réussie, qui a -depuis plus de trois années- comme objectif de freiner toute adhésion à sa politique de légitime défense, et de créer -voire d'accroître- une aversion à son égard.
Il suffit pour cela de se remémorer les singulières prises de positions politiques des différents états composants l’Europe et les orientations ‘’forcément’’ accusatrices de tous leurs médias respectifs, souhaitées -voire sollicitées- par les pouvoirs en place, pour des raisons autres que respectables : pétrole, pétrodollars, armements, etc., ou tout simplement peur des régimes autocratiques musulmans et/ou des fanatiques islamistes qui y prolifèrent.
Cette affluence de condamnations, permet qu’Israël devienne doucement le ‘’JUIF des NATIONS’’ dans l’esprit de tout à chacun, autorise (le sondage le prouvant) une érosion lente des valeurs démocratiques au sein de la France ( l’Europe ), et explique l’essor d’une haine qui supprimera toute obstruction à une agression d’Israël, FAUTEUR DE GUERRES. Ainsi, tout démocide est d’avance expliqué, tout méga-attentat justifié et toute bombinette nucléaire iranienne (ou autre) légitimée.
Pour ce qui est des « soutiens inconditionnels » d’Israël, les Juifs Français ( Européens ) pourront vérifier, dans un avenir proche, cette animosité qui brise les tabous les uns après les autres, et admet tous les excès.
Il leur restera à savoir s’ils préfèreront être sympathiques à leurs pays d’accueils à hauteur de 100% parce que de nouveau victimes, ou être haïs et devenir un ‘’fauteur de guerres’’ digne, mais Israélien ou Américain.
Le choix s’imposera de lui-même.
jeudi 6 novembre 2003
Les exploits de Jacques Chirac
Il y a quelques mois, circulait une blague faisant du Président de la république française, au vu et su de sa politique pro-arabe, le meilleur candidat au poste de secrétaire général de la ligue arabe en place et lieu de l’actuel représentant.
C’était au temps des controverses sur une éventuelle ‘’légitimité onusienne’’ à New York, quant au désir américain d’en finir définitivement avec le régime dictatorial de l’Irak. L’action de la France d’alors, avait profondément acquit la reconnaissance du monde arabo-musulman.
Il y a peu encore, par son exigence d’un respect strict d’un protocole européen, Jacques Chirac obtint les remerciements publics d’un premier ministre malais -mis sur une sellette ( presque) internationale pour cause de discours antisémite- pour sa « compréhension » ( ???).
Parallèlement, les Egyptiens dénommèrent leurs dates de très bonne qualité du nom si ‘’prisé’’ de Jacques Chirac, et celles de choix très très médiocre du nom d’Ariel Sharon.
Simultanément, un éditorial -d’un quotidien important de ce même pays- l’a remercié chaleureusement pour sa politique condamnant Israël, pour ses ‘’agissements’’ envers les Palestiniens.
Bref ! Il est évident que par ces quelques contentements répertoriés, les dictatures, monarchies et autres ‘’démocraties’’ arabo-musulmanes trouvent un appui non négligeable à leurs régimes.
Par cette ‘’estime internationale’’, les Français peuvent donc à juste titre ‘’s’enorgueillir’’ d’avoir, à la tête de l’état, un homme très apprécié, et se féliciter des bonnes relations politiques et commerciales qui en découlent.
Oui, mais voilà ! Comment cependant expliquer aux démocrates Français, l’attitude des 33% de sondés qui escomptaient (au début de l’année) la défaite militaire des USA face à l’armée du bourreau Saddam Hussein (responsable de centaines de milliers d’assassinats), autrement que par leur négation lente et progressive des valeurs démocratiques et des ‘’Droits de l’Homme’’ ?
Valeurs qui font défaut dans tous ces pays, ‘’amis’’ de la France.
Comment comprendre ensuite, que 52% et 55% de sondés Français, imaginent les grandes démocraties que sont les USA et Israël, comme des menaces premières pour la paix dans le monde ? Est-ce par leurs politiques différentes de celle de la France ? Par leur refus de céder au chantage du terrorisme, du pétrole, des pétrodollars et/ou du nombre ?
Il y a ostensiblement, comme quelque chose de pourri au royaume de Chirac. Sa politique oriente la réflexion et encourage involontairement ( !?!?), par sa ‘’réussite’’ (sic), une partie non négligeable de ses habitants, notamment musulmans, à développer des ressentiments et des actions que l’on espérait ne plus jamais voir sur ce sol, et des exigences religieuses impossibles à satisfaire.
Sous son règne, les opinions anti-américaines et anti-israéliennes se sont accrues, au point de voir des drapeaux américains et israéliens brûlés sur les places du pays, quand ce n’est pas des synagogues, voire des Juifs insultés, menacés ou frappés.
L’antisémitisme gagne du terrain, et les valeurs qui ont fait la France s’effritent au regard des sondages indiquant une nette progression des deux extrêmes totalitaires pour les élections régionales à venir. Le débat se passionne et les phobies se positionnent sur les prédicateurs et imams intégristes excitant les ‘’jeunes de banlieues’’ à la révolte et à la revendication de droits particuliers. En conséquence, des intellectuels s’affirment en plein jour « un peu islamophobe ».
En attendant plus ?
Il est indéniable que la société française se divise, principalement par les conséquences des choix politiques présidentiels.
Seul un retour à une dialectique neutre pourra inverser le risque encouru par la société française. Pour cela il est essentiel que Jacques Chirac synchronise, au plus vite, ses postures d’avec le monde arabo-musulman et les valeurs non négociables de la république.
Dans le cas contraire, il sera tenu comptable du devenir de la France, de l’émigration forcée de la communauté juive française vers Israël, et de l’expatriation des démocrates attachés aux valeurs ayant façonnées leur pays.
Ainsi, ne resteront plus en France que les Jacques, Jean Marie, Arlette, Olivier, Noël, Tarik et leurs admirateurs respectifs.
La France, alors, aura du soucis à se faire.
C’était au temps des controverses sur une éventuelle ‘’légitimité onusienne’’ à New York, quant au désir américain d’en finir définitivement avec le régime dictatorial de l’Irak. L’action de la France d’alors, avait profondément acquit la reconnaissance du monde arabo-musulman.
Il y a peu encore, par son exigence d’un respect strict d’un protocole européen, Jacques Chirac obtint les remerciements publics d’un premier ministre malais -mis sur une sellette ( presque) internationale pour cause de discours antisémite- pour sa « compréhension » ( ???).
Parallèlement, les Egyptiens dénommèrent leurs dates de très bonne qualité du nom si ‘’prisé’’ de Jacques Chirac, et celles de choix très très médiocre du nom d’Ariel Sharon.
Simultanément, un éditorial -d’un quotidien important de ce même pays- l’a remercié chaleureusement pour sa politique condamnant Israël, pour ses ‘’agissements’’ envers les Palestiniens.
Bref ! Il est évident que par ces quelques contentements répertoriés, les dictatures, monarchies et autres ‘’démocraties’’ arabo-musulmanes trouvent un appui non négligeable à leurs régimes.
Par cette ‘’estime internationale’’, les Français peuvent donc à juste titre ‘’s’enorgueillir’’ d’avoir, à la tête de l’état, un homme très apprécié, et se féliciter des bonnes relations politiques et commerciales qui en découlent.
Oui, mais voilà ! Comment cependant expliquer aux démocrates Français, l’attitude des 33% de sondés qui escomptaient (au début de l’année) la défaite militaire des USA face à l’armée du bourreau Saddam Hussein (responsable de centaines de milliers d’assassinats), autrement que par leur négation lente et progressive des valeurs démocratiques et des ‘’Droits de l’Homme’’ ?
Valeurs qui font défaut dans tous ces pays, ‘’amis’’ de la France.
Comment comprendre ensuite, que 52% et 55% de sondés Français, imaginent les grandes démocraties que sont les USA et Israël, comme des menaces premières pour la paix dans le monde ? Est-ce par leurs politiques différentes de celle de la France ? Par leur refus de céder au chantage du terrorisme, du pétrole, des pétrodollars et/ou du nombre ?
Il y a ostensiblement, comme quelque chose de pourri au royaume de Chirac. Sa politique oriente la réflexion et encourage involontairement ( !?!?), par sa ‘’réussite’’ (sic), une partie non négligeable de ses habitants, notamment musulmans, à développer des ressentiments et des actions que l’on espérait ne plus jamais voir sur ce sol, et des exigences religieuses impossibles à satisfaire.
Sous son règne, les opinions anti-américaines et anti-israéliennes se sont accrues, au point de voir des drapeaux américains et israéliens brûlés sur les places du pays, quand ce n’est pas des synagogues, voire des Juifs insultés, menacés ou frappés.
L’antisémitisme gagne du terrain, et les valeurs qui ont fait la France s’effritent au regard des sondages indiquant une nette progression des deux extrêmes totalitaires pour les élections régionales à venir. Le débat se passionne et les phobies se positionnent sur les prédicateurs et imams intégristes excitant les ‘’jeunes de banlieues’’ à la révolte et à la revendication de droits particuliers. En conséquence, des intellectuels s’affirment en plein jour « un peu islamophobe ».
En attendant plus ?
Il est indéniable que la société française se divise, principalement par les conséquences des choix politiques présidentiels.
Seul un retour à une dialectique neutre pourra inverser le risque encouru par la société française. Pour cela il est essentiel que Jacques Chirac synchronise, au plus vite, ses postures d’avec le monde arabo-musulman et les valeurs non négociables de la république.
Dans le cas contraire, il sera tenu comptable du devenir de la France, de l’émigration forcée de la communauté juive française vers Israël, et de l’expatriation des démocrates attachés aux valeurs ayant façonnées leur pays.
Ainsi, ne resteront plus en France que les Jacques, Jean Marie, Arlette, Olivier, Noël, Tarik et leurs admirateurs respectifs.
La France, alors, aura du soucis à se faire.
mardi 4 novembre 2003
Lettre ouverte à Alain Finkielkraut
Mon cher Alain ! Je me permets cette lettre, d’autant plus que nous sommes proches, très proches, par nos valeurs communes, représentées par le droit inaliénable d’Israël à l’existence, par l’émerveillement de sa grande démocratie, et par le refus de toute injustice à son égard. Valeurs qui nous unissent en un combat digne, chacun en ses possibilités, ayant pour règles de principes la défense des Droits de l’Homme (et cela quel qu’il soit) et la solution négociée de deux états pour deux peuples.
Je vous ai donc aperçu dimanche dernier, parmi d’autres sur France 5, dans une confrontation avec le prédicateur islamiste Tarik Ramadan, lors de l’émission de Serge Moatti « Ripostes ». Nous avons eu droit, enfin, à une émission qui permit l’étiolement de quelques mensonges, la démonstration d’un antisémitisme inclus dans des discours qui n’osent pas encore publiquement le revendiquer et la manifestation visuelle de la détestation des Juifs par ce tribun islamiste.
Bien que votre argumentation fut aiguë et pertinente, vous n’en avez pas moins ignoré (refusé ?) deux accusations portées par le prêcheur suisse qui, il me semble, nécessitaient deux réponses adéquates à des fins pédagogiques, destinées aux téléspectateurs ignorants de la vérité israélienne et du positionnement de la communauté juive quant à sa propre représentation au niveau nationale.
En effet ! Cet anti-israélien vous a exhorté, voire sommé, de désavouer haut et fort « l’état BOURREAU » que dirige le gouvernement d’Ariel Sharon, et vous a reproché d’étouffer, par vos ‘’sempiternelles’’ « analyses communautaristes » et publiques, « l’autre voix juive ( ?) ». Celle qui, sans doute, voue Israël, son peuple et ses valeurs à l’enfer, via l’aide de quelques démocides de criminels palestiniens contre l’humanité.
Vous auriez dû en riposte, contraindre ce "procureur" à détailler les accusations perpétuelles qui font que, de nos jours, les sondés Européens imaginent l’état d’Israël comme une dictature militaire et expansionniste et son peuple, futur fautif de tout conflit majeur et international à venir.
Votre silence, face à l’affirmation de cet islamiste, ‘’souscrit’’ en un mensonge qui se pare de la vertu de la vérité. La légitime défense est un droit, et le devoir de tout gouvernement élu. Le défendre est notre impératif si nous fraternisons avec cette nation. Cela, quelques soient nos tendances politiques et/ou nos réticences envers tel ou tel responsable israélien choisi par le suffrage universel du pays.
Telle une baudruche que l’on perce sans effort, Tarik Ramadan aurait été confondu devant votre connaissance exacte de la situation du terrain, et l’explication de texte aurait, au moins, été bénéfique à tout à chacun. Elle aurait tout au moins permit d’établir que les valeurs démocratiques et humanistes du peuple israélien ont toujours leurs places au sein de l’équipe dirigeante actuelle et de Tsahal, et qu’Ariel Sharon n’est pas le ‘’nouveau Hitler’’ adulé par ses électeurs, mais tant espéré par tous les antisémites de la planète.
Quant au silence des représentants de la communauté juive française, réclamé par ce sermonneur aux seules fins d’un isolement d’Israël, un constat d’échec établi en son honneur, tel un couteau dans une plaie douloureuse, aurait agrémenté cette émission, d’une satisfaction, partagée entre tous vos supporters, inversement proportionnelle au tout petit nombre de membres de cette « autre voix juive ».
Il est temps, mon cher Alain, de tenter l’explication de la politique israélienne, d’établir les responsabilités palestiniennes dans le refus explicite de la création de la Palestine, et de préciser les complicités des uns des autres, par leur mercantilisme ou leur antisémitisme, dans la poursuite de ce conflit et la douleur des deux peuples pris en otage.
Tout cela, sans refuser parallèlement de rejoindre toute tentative, réaliste quant aux partenaires, de négociations en vu d’une véritable PAIX.
Mal nommé les choses de ce conflit, participe à l’accusation du peuple juif.
Se taire condamne Israël à devenir le juif des nations.
Je vous ai donc aperçu dimanche dernier, parmi d’autres sur France 5, dans une confrontation avec le prédicateur islamiste Tarik Ramadan, lors de l’émission de Serge Moatti « Ripostes ». Nous avons eu droit, enfin, à une émission qui permit l’étiolement de quelques mensonges, la démonstration d’un antisémitisme inclus dans des discours qui n’osent pas encore publiquement le revendiquer et la manifestation visuelle de la détestation des Juifs par ce tribun islamiste.
Bien que votre argumentation fut aiguë et pertinente, vous n’en avez pas moins ignoré (refusé ?) deux accusations portées par le prêcheur suisse qui, il me semble, nécessitaient deux réponses adéquates à des fins pédagogiques, destinées aux téléspectateurs ignorants de la vérité israélienne et du positionnement de la communauté juive quant à sa propre représentation au niveau nationale.
En effet ! Cet anti-israélien vous a exhorté, voire sommé, de désavouer haut et fort « l’état BOURREAU » que dirige le gouvernement d’Ariel Sharon, et vous a reproché d’étouffer, par vos ‘’sempiternelles’’ « analyses communautaristes » et publiques, « l’autre voix juive ( ?) ». Celle qui, sans doute, voue Israël, son peuple et ses valeurs à l’enfer, via l’aide de quelques démocides de criminels palestiniens contre l’humanité.
Vous auriez dû en riposte, contraindre ce "procureur" à détailler les accusations perpétuelles qui font que, de nos jours, les sondés Européens imaginent l’état d’Israël comme une dictature militaire et expansionniste et son peuple, futur fautif de tout conflit majeur et international à venir.
Votre silence, face à l’affirmation de cet islamiste, ‘’souscrit’’ en un mensonge qui se pare de la vertu de la vérité. La légitime défense est un droit, et le devoir de tout gouvernement élu. Le défendre est notre impératif si nous fraternisons avec cette nation. Cela, quelques soient nos tendances politiques et/ou nos réticences envers tel ou tel responsable israélien choisi par le suffrage universel du pays.
Telle une baudruche que l’on perce sans effort, Tarik Ramadan aurait été confondu devant votre connaissance exacte de la situation du terrain, et l’explication de texte aurait, au moins, été bénéfique à tout à chacun. Elle aurait tout au moins permit d’établir que les valeurs démocratiques et humanistes du peuple israélien ont toujours leurs places au sein de l’équipe dirigeante actuelle et de Tsahal, et qu’Ariel Sharon n’est pas le ‘’nouveau Hitler’’ adulé par ses électeurs, mais tant espéré par tous les antisémites de la planète.
Quant au silence des représentants de la communauté juive française, réclamé par ce sermonneur aux seules fins d’un isolement d’Israël, un constat d’échec établi en son honneur, tel un couteau dans une plaie douloureuse, aurait agrémenté cette émission, d’une satisfaction, partagée entre tous vos supporters, inversement proportionnelle au tout petit nombre de membres de cette « autre voix juive ».
Il est temps, mon cher Alain, de tenter l’explication de la politique israélienne, d’établir les responsabilités palestiniennes dans le refus explicite de la création de la Palestine, et de préciser les complicités des uns des autres, par leur mercantilisme ou leur antisémitisme, dans la poursuite de ce conflit et la douleur des deux peuples pris en otage.
Tout cela, sans refuser parallèlement de rejoindre toute tentative, réaliste quant aux partenaires, de négociations en vu d’une véritable PAIX.
Mal nommé les choses de ce conflit, participe à l’accusation du peuple juif.
Se taire condamne Israël à devenir le juif des nations.
dimanche 2 novembre 2003
Ramadan et tous les autres
Tarik Ramadan est il antisémite ou non ? Cette question taraude les cerveaux du Landerneau parisien depuis que ce dernier a stigmatisé, dans un texte publié sur le net, des intellectuels parisiens pour leurs défenses d’Israël, induites -selon lui- par leurs appartenances au Judaïsme.
Il leur est donc impossible, selon l'observation de cet islamiste notoire, d’avoir un avis autorisé et indépendant sur la question proche-orientale, sans que leur inclination soit incontestablement le germe de toutes leurs réflexions sur ce sujet.
Analyse qui a autorisé ce prédicateur à jeter en pâture les qualités religieuses de ces brillants intellectuels, aux seules fins de jugements et de condamnations de la part de ses fans et des éternels antisémites. D’autant plus qu’il ne suffit pas, pour ce ‘’penseur’’ d’être Juif de naissance pour soutenir Israël. L’appui à ce pays, sans qu’il soit cependant inconditionnel, ‘’converti’’ automatiquement tout intellectuel à cette religion.
Ainsi, Pierre André Taguieff s’est vu ‘’circoncire’’ pour la circonstance pour son refus de surfer sur la vague d’antisémitisme qui déferle actuellement sur l’Europe (particulièrement sur la France) et pour sa dénonciation d’une lecture apocryphe de la réalité du conflit israélo-arabe par les tenants de la politique ou des médias.
Lecture mensongère qui agrée à l'allégation -contre toutes raisons- d’un sondage récent de la commission de l’UE, qui ‘’certifie’’ que la menace première à la paix mondiale n’est autre qu’Israël -devançant l’Iran, la Corée du Nord et autres dictatures- ce qui crédibilise, doucement mais sûrement, une future ‘’responsabilité des juifs’’ dans tout conflit majeur à venir.
Lecture d’une réalité du terrain qui pourtant :
- a aperçu le Premier ministre israélien d’alors, Ehud Barak, s’asseoir en l’an 2000 à Camp David pour créer la Palestine et Yasser Arafat, le Président-démocratiquement-élu-à-vie, s’y opposer par l’exigence d’un droit au retour, déclencher « la Guerre d’Oslo » et installer le peuple palestinien dans un conflit long et douloureux pour chacun des deux peuples.
- a remarqué que les moyens militaires employés par le Premier ministre actuel Ariel Sharon, sont équivalents à ceux employés par son prédécesseur travailliste du ‘’camp de la paix’’, et que la clôture de séparation ‘’raciste’’ n’était que l’un de leur projet.
- a comptabilisé (avec l’aide de l’AFP) les 2600 morts Palestiniens en trois années, déduit du compte les « accidentés du travail », les assassinats de « collabos », les « criminels contre l ‘humanité » et les « activistes » morts l’arme à la main, et a confessé que, de génocide du peuple palestinien il n’y en avait point et que l’état d’Israël, grande démocratie, était respectueuse, au possible, des droits de l’homme.
- a conclut qu’Ariel Sharon sert d’excuse à tout ceux qui ont Israël et le peuple juif en ligne de mire et la volonté de dissimuler l’objectif final du porteur de keffieh, à savoir : l’éradication d’Israël.
Il est incontestable que ce décryptage réel du conflit, disculpe Israël de tous les maux dont on l’accuse quotidiennement et voue, par conséquent, tout intellectuel de bonne foi aux gémonies prédites par cette diatribe antisémite et pro-palestinienne, car ressemblant fortement à un procès au faciès pour causes de double allégeances.
Tarik Ramadan qui persiste et signe, dans une de ses ‘’justifications’’ au quotidien Le Monde, en insistant pour que la réunion des alter-mondialistes ne soit « en soi, ni pro-palestinien(e) ni anti-israélien(e) » ce qui détermine d’emblée le cadre des futurs ‘’débats’’ de ce forum anti-libéral : ni anti-palestinien ni, bien évidemment, pro-israélien. On l’aurait deviné.
Mais au-delà du cas symptomatique de Tarik Ramadan, se cache une conduite bien plus dangereuse. En effet ! Que penser de tous ces grands médias nationaux qui offrent diverses possibilités à ce tribun de se justifier et d’expliquer sa position. Aurait on vu quiconque, dans les années 80, tendre un micro ou une plume à Jean Marie Le Pen pour expliciter et se justifier de sa « liste de journalistes » ne contenant que des noms juifs, ou du « point de détail » que représente la Shoa à son unique œil. Nous avions alors assisté, au contraire, à une condamnation unanime et à un lever de bouclier salvateur pour la France.
Qu’arrive t-il donc à la France de nos jours pour tolérer ce qu’elle avait alors refusé ? Aurait elle oublié son histoire ?
Qu’arrive t-il par ailleurs à l’Europe, ainsi qu’au monde démocratique et respectueux des valeurs universelles, pour tolérer de telles dérives à travers la planète contre Israël ?
Dérives de pays, donneurs perpétuels de leçons et de blâmes à l’encontre de cette petite nation qui se voit contraint d’assurer en permanence une légitime défense que d’autres lui renient.
Dérives de pays qui apportent appuis politiques et finances à toutes démarches s’opposant à la ligne politique choisie par la majorité de cette nation souveraine.
Dérives d’une Egypte n’hésitant pas à diffuser « un cavalier sans monture » mais certainement les poches emplies d’antisémitisme.
Dérives d’une Syrie entretenant des bases militaires pour une aide directe au terrorisme anti-israélien.
Dérives d’un Liban permettant le déploiement d’une force non régulière sur sa frontière sud.
Dérives d’une Malaisie qui -par le discours haineux de son ex-premier ministre Mahatir- se fait ovationner par les 57 nations participantes de l’OCI.
Dérives d’une Arabie Saoudite finançant le Hamas dont la finalité de sa charte est l’instauration d’une république islamique du Jourdain à la mer.
Dérives d’un Iran qui promet à Israël quelques missiles Sahâb 3 sur Haïfa, Tel-Aviv ou Beer-shev’a pour hâter sa fin.
Dérives encore d’une Libye (sans que cette liste soit exhaustive) qui, par l’entremise de Kadhafi, propose son plan d’un état bi-national prénommé Isratine (que quelques rares internautes nous présentent également comme solution, sans avoir auparavant, et pour la comparaison, considérer la situation des chrétiens en terre d’Islam) qui a comme but premier la disparition du refuge que représente l’état juif pour son peuple puis, par le jeu de la démographie, la dhimmitude pour des Israéliens devenus minoritaires en terre d’Israël islamisé.
Dérives de pays souverains, qui ne nous feront pas oublier celles de l’Autorité Palestinienne, par ses émissions télévisuelles, ses prêches dans ses mosquées ou son éducation scolaire qui diffusent, exhortent ou enseignent la haine de l’Israélien.
Devant toutes ces dérives évidentes, il est d’une importance vitale que tous les intellectuels, les artistes, les politiques ou même les sans grades –Juifs ou non mais tous indispensables gardiens des valeurs humaines- s’élèvent et s’opposent à ce nouveau projet de meurtre collectif sans retard.
Mais le silence assourdissant qui les entoure fait craindre qu’ils ne soient devenus complices de cette éradication programmée, voire du risque d’une guerre de civilisation qui s’accroît de jour en jour, pour causes d’intérêts bassement matériels.
Dans tous les cas, qu’ils se souviennent que la très grande majorité du peuple juif à travers le monde demeurera indéfectiblement, éternellement solidaire d’Israël et de ses citoyens -tous protecteurs du berceau du Judaïsme et de l’Humanisme- sans qu’aucun tenant de l’Islam fanatique (vert), de l’extrême gauche (rouge) ou droite (brun) nous fasse varier d’un iota.
Il leur est donc impossible, selon l'observation de cet islamiste notoire, d’avoir un avis autorisé et indépendant sur la question proche-orientale, sans que leur inclination soit incontestablement le germe de toutes leurs réflexions sur ce sujet.
Analyse qui a autorisé ce prédicateur à jeter en pâture les qualités religieuses de ces brillants intellectuels, aux seules fins de jugements et de condamnations de la part de ses fans et des éternels antisémites. D’autant plus qu’il ne suffit pas, pour ce ‘’penseur’’ d’être Juif de naissance pour soutenir Israël. L’appui à ce pays, sans qu’il soit cependant inconditionnel, ‘’converti’’ automatiquement tout intellectuel à cette religion.
Ainsi, Pierre André Taguieff s’est vu ‘’circoncire’’ pour la circonstance pour son refus de surfer sur la vague d’antisémitisme qui déferle actuellement sur l’Europe (particulièrement sur la France) et pour sa dénonciation d’une lecture apocryphe de la réalité du conflit israélo-arabe par les tenants de la politique ou des médias.
Lecture mensongère qui agrée à l'allégation -contre toutes raisons- d’un sondage récent de la commission de l’UE, qui ‘’certifie’’ que la menace première à la paix mondiale n’est autre qu’Israël -devançant l’Iran, la Corée du Nord et autres dictatures- ce qui crédibilise, doucement mais sûrement, une future ‘’responsabilité des juifs’’ dans tout conflit majeur à venir.
Lecture d’une réalité du terrain qui pourtant :
- a aperçu le Premier ministre israélien d’alors, Ehud Barak, s’asseoir en l’an 2000 à Camp David pour créer la Palestine et Yasser Arafat, le Président-démocratiquement-élu-à-vie, s’y opposer par l’exigence d’un droit au retour, déclencher « la Guerre d’Oslo » et installer le peuple palestinien dans un conflit long et douloureux pour chacun des deux peuples.
- a remarqué que les moyens militaires employés par le Premier ministre actuel Ariel Sharon, sont équivalents à ceux employés par son prédécesseur travailliste du ‘’camp de la paix’’, et que la clôture de séparation ‘’raciste’’ n’était que l’un de leur projet.
- a comptabilisé (avec l’aide de l’AFP) les 2600 morts Palestiniens en trois années, déduit du compte les « accidentés du travail », les assassinats de « collabos », les « criminels contre l ‘humanité » et les « activistes » morts l’arme à la main, et a confessé que, de génocide du peuple palestinien il n’y en avait point et que l’état d’Israël, grande démocratie, était respectueuse, au possible, des droits de l’homme.
- a conclut qu’Ariel Sharon sert d’excuse à tout ceux qui ont Israël et le peuple juif en ligne de mire et la volonté de dissimuler l’objectif final du porteur de keffieh, à savoir : l’éradication d’Israël.
Il est incontestable que ce décryptage réel du conflit, disculpe Israël de tous les maux dont on l’accuse quotidiennement et voue, par conséquent, tout intellectuel de bonne foi aux gémonies prédites par cette diatribe antisémite et pro-palestinienne, car ressemblant fortement à un procès au faciès pour causes de double allégeances.
Tarik Ramadan qui persiste et signe, dans une de ses ‘’justifications’’ au quotidien Le Monde, en insistant pour que la réunion des alter-mondialistes ne soit « en soi, ni pro-palestinien(e) ni anti-israélien(e) » ce qui détermine d’emblée le cadre des futurs ‘’débats’’ de ce forum anti-libéral : ni anti-palestinien ni, bien évidemment, pro-israélien. On l’aurait deviné.
Mais au-delà du cas symptomatique de Tarik Ramadan, se cache une conduite bien plus dangereuse. En effet ! Que penser de tous ces grands médias nationaux qui offrent diverses possibilités à ce tribun de se justifier et d’expliquer sa position. Aurait on vu quiconque, dans les années 80, tendre un micro ou une plume à Jean Marie Le Pen pour expliciter et se justifier de sa « liste de journalistes » ne contenant que des noms juifs, ou du « point de détail » que représente la Shoa à son unique œil. Nous avions alors assisté, au contraire, à une condamnation unanime et à un lever de bouclier salvateur pour la France.
Qu’arrive t-il donc à la France de nos jours pour tolérer ce qu’elle avait alors refusé ? Aurait elle oublié son histoire ?
Qu’arrive t-il par ailleurs à l’Europe, ainsi qu’au monde démocratique et respectueux des valeurs universelles, pour tolérer de telles dérives à travers la planète contre Israël ?
Dérives de pays, donneurs perpétuels de leçons et de blâmes à l’encontre de cette petite nation qui se voit contraint d’assurer en permanence une légitime défense que d’autres lui renient.
Dérives de pays qui apportent appuis politiques et finances à toutes démarches s’opposant à la ligne politique choisie par la majorité de cette nation souveraine.
Dérives d’une Egypte n’hésitant pas à diffuser « un cavalier sans monture » mais certainement les poches emplies d’antisémitisme.
Dérives d’une Syrie entretenant des bases militaires pour une aide directe au terrorisme anti-israélien.
Dérives d’un Liban permettant le déploiement d’une force non régulière sur sa frontière sud.
Dérives d’une Malaisie qui -par le discours haineux de son ex-premier ministre Mahatir- se fait ovationner par les 57 nations participantes de l’OCI.
Dérives d’une Arabie Saoudite finançant le Hamas dont la finalité de sa charte est l’instauration d’une république islamique du Jourdain à la mer.
Dérives d’un Iran qui promet à Israël quelques missiles Sahâb 3 sur Haïfa, Tel-Aviv ou Beer-shev’a pour hâter sa fin.
Dérives encore d’une Libye (sans que cette liste soit exhaustive) qui, par l’entremise de Kadhafi, propose son plan d’un état bi-national prénommé Isratine (que quelques rares internautes nous présentent également comme solution, sans avoir auparavant, et pour la comparaison, considérer la situation des chrétiens en terre d’Islam) qui a comme but premier la disparition du refuge que représente l’état juif pour son peuple puis, par le jeu de la démographie, la dhimmitude pour des Israéliens devenus minoritaires en terre d’Israël islamisé.
Dérives de pays souverains, qui ne nous feront pas oublier celles de l’Autorité Palestinienne, par ses émissions télévisuelles, ses prêches dans ses mosquées ou son éducation scolaire qui diffusent, exhortent ou enseignent la haine de l’Israélien.
Devant toutes ces dérives évidentes, il est d’une importance vitale que tous les intellectuels, les artistes, les politiques ou même les sans grades –Juifs ou non mais tous indispensables gardiens des valeurs humaines- s’élèvent et s’opposent à ce nouveau projet de meurtre collectif sans retard.
Mais le silence assourdissant qui les entoure fait craindre qu’ils ne soient devenus complices de cette éradication programmée, voire du risque d’une guerre de civilisation qui s’accroît de jour en jour, pour causes d’intérêts bassement matériels.
Dans tous les cas, qu’ils se souviennent que la très grande majorité du peuple juif à travers le monde demeurera indéfectiblement, éternellement solidaire d’Israël et de ses citoyens -tous protecteurs du berceau du Judaïsme et de l’Humanisme- sans qu’aucun tenant de l’Islam fanatique (vert), de l’extrême gauche (rouge) ou droite (brun) nous fasse varier d’un iota.
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