Selon les informations qui nous parviennent, plusieurs « flottille de la liberté pour Gaza » sont en préparation, voire en route, pour violer le blocus imposé par Israël. Un blocus empêchant le port de cette bande de terre de devenir un port iranien délivrant missiles et autres armes mortelles pour les citoyens israéliens. Des flottilles, de fait, qui n’ont d’humanitaires que le nom.
Selon The Israel Project , un navire iranien, en route pour Gaza, a quitté le port iranien de Khorramchahr le 12 juin et envisage de passer par les eaux territoriales d'Oman, du Yémen et d'Egypte avant d'essayer d'atteindre Gaza. Deux navires iraniens organisés par la Société de Défense de la Palestine en Iran devraient partir sous peu : l'un se nomme Toward Gaza et devrait prendre la route à partir du port Bandar Abbas, au sud de l'Iran, alors que l'autre quittera ce pays par le nord pour s'arrêter en Turquie avant de se rendre à Gaza.
Deux autres Ongs, libanaises cette fois-ci -Journalistes sans Frontières et Free Palestine- parrainent le Naji Al Ali, avec au moins 50 journalistes et 25 bénévoles européens à bord, y compris des membres du parlement européen.
Insani Yardim Vakfi, ou " Le Fonds d'Aide Humanitaire " (IHH), le noyau dur du groupe islamiste turc qui a partiellement organisé la flottille précédente incluant le Mavi Marmara, a dit qu'il enverra six autres bateaux à Gaza au mois de juillet.
Une organisation allemande appelée les Voix Juives pour une Paix Juste (Jewish Voices for a Just Peace) parraine un navire avec à son bord 14 activistes, dont le départ est prévu pour la mi-juillet.
Free Gaza – le groupe qui a parrainé la flottille a été intercepté par Israël le 31 mai – et Viva Palestina, un groupe basé au Royaume-Uni, prévoient un autre convoi de 10 à 15 navires, qui devrait partir pour Gaza vers le mois d'octobre. Un des principaux organisateurs est Iyad el-Sarj, basé en Norvège.
Tous ces navires, qui se disent ‘’humanitaires’’ n’ont, au final, qu’un seul objectif. Celui d’assurer la levée de la tutelle israélienne sur le port de Gaza, et ainsi la reprise du conflit entre les criminels du Hamas qui maintiennent la population de cette bande de terre dans la plus grande pauvreté et une grande précarité quant à sa sécurité, et Israël dont l’existence est vue comme un affront. Un conflit qui s’inscrira comme apport aux ‘’frères’’ du nord, Hezbollah, Syrie et Iran, qui n’attendent que le moment propice pour son déclenchement.
L’état du peuple juif ne peut, en conséquence, baisser la garde et permettre l’entrée de bateaux sans connaître sa cargaison et ses passagers. D’autant plus, lorsque ceux-ci battent pavillons de pays ennemis.
Israël se doit d’immobiliser ces convois et décourager toutes nouvelles tentatives. Pour ce faire, il lui faut stopper ces navires en eaux internationales par une neutralisation des hélices, ou moyens similaires, et non plus par arraisonnements. L’esprit kamikaze régnant parmi ces ‘’humanitaires’’, le danger est de voir ces ‘’flottilles de la liberté’’ se saborder pour en faire porter la responsabilité à Tsahal.
Bloqués, ces navires n’auront de choix que de prendre pour témoins les instances internationales, les autorités de leurs pays respectifs, l’opinion publique internationale, mais devront, bon gré mal gré, se faire remorquer vers leurs ports d’attaches ou d’autres plus proches acceptant de les accueillir pour réparation.
Devant cet affront à leur désir d’atteindre les côtes et crier victoire, devant ces convois n’ayant pas eu de sang versé, l’inutilité de tels convois apparaîtra malgré les condamnations sans effets du machin de l’Onu.
Ainsi, Israël imposera le respect de ses décisions et de ses frontières tout en affaiblissant l’Islam radical. Il ne restera plus qu’à ce camp à affronter « l’entité sioniste » à partir du terrain où il se trouve, et non pas par l’intermédiaire d’idiots utiles, de naïfs ou de quelques sympathisants stupides et prêts pour le ‘’martyr’’.
Ce qui est une toute autre affaire.
Selon The Israel Project , un navire iranien, en route pour Gaza, a quitté le port iranien de Khorramchahr le 12 juin et envisage de passer par les eaux territoriales d'Oman, du Yémen et d'Egypte avant d'essayer d'atteindre Gaza. Deux navires iraniens organisés par la Société de Défense de la Palestine en Iran devraient partir sous peu : l'un se nomme Toward Gaza et devrait prendre la route à partir du port Bandar Abbas, au sud de l'Iran, alors que l'autre quittera ce pays par le nord pour s'arrêter en Turquie avant de se rendre à Gaza.
Deux autres Ongs, libanaises cette fois-ci -Journalistes sans Frontières et Free Palestine- parrainent le Naji Al Ali, avec au moins 50 journalistes et 25 bénévoles européens à bord, y compris des membres du parlement européen.
Insani Yardim Vakfi, ou " Le Fonds d'Aide Humanitaire " (IHH), le noyau dur du groupe islamiste turc qui a partiellement organisé la flottille précédente incluant le Mavi Marmara, a dit qu'il enverra six autres bateaux à Gaza au mois de juillet.
Une organisation allemande appelée les Voix Juives pour une Paix Juste (Jewish Voices for a Just Peace) parraine un navire avec à son bord 14 activistes, dont le départ est prévu pour la mi-juillet.
Free Gaza – le groupe qui a parrainé la flottille a été intercepté par Israël le 31 mai – et Viva Palestina, un groupe basé au Royaume-Uni, prévoient un autre convoi de 10 à 15 navires, qui devrait partir pour Gaza vers le mois d'octobre. Un des principaux organisateurs est Iyad el-Sarj, basé en Norvège.
Tous ces navires, qui se disent ‘’humanitaires’’ n’ont, au final, qu’un seul objectif. Celui d’assurer la levée de la tutelle israélienne sur le port de Gaza, et ainsi la reprise du conflit entre les criminels du Hamas qui maintiennent la population de cette bande de terre dans la plus grande pauvreté et une grande précarité quant à sa sécurité, et Israël dont l’existence est vue comme un affront. Un conflit qui s’inscrira comme apport aux ‘’frères’’ du nord, Hezbollah, Syrie et Iran, qui n’attendent que le moment propice pour son déclenchement.
L’état du peuple juif ne peut, en conséquence, baisser la garde et permettre l’entrée de bateaux sans connaître sa cargaison et ses passagers. D’autant plus, lorsque ceux-ci battent pavillons de pays ennemis.
Israël se doit d’immobiliser ces convois et décourager toutes nouvelles tentatives. Pour ce faire, il lui faut stopper ces navires en eaux internationales par une neutralisation des hélices, ou moyens similaires, et non plus par arraisonnements. L’esprit kamikaze régnant parmi ces ‘’humanitaires’’, le danger est de voir ces ‘’flottilles de la liberté’’ se saborder pour en faire porter la responsabilité à Tsahal.
Bloqués, ces navires n’auront de choix que de prendre pour témoins les instances internationales, les autorités de leurs pays respectifs, l’opinion publique internationale, mais devront, bon gré mal gré, se faire remorquer vers leurs ports d’attaches ou d’autres plus proches acceptant de les accueillir pour réparation.
Devant cet affront à leur désir d’atteindre les côtes et crier victoire, devant ces convois n’ayant pas eu de sang versé, l’inutilité de tels convois apparaîtra malgré les condamnations sans effets du machin de l’Onu.
Ainsi, Israël imposera le respect de ses décisions et de ses frontières tout en affaiblissant l’Islam radical. Il ne restera plus qu’à ce camp à affronter « l’entité sioniste » à partir du terrain où il se trouve, et non pas par l’intermédiaire d’idiots utiles, de naïfs ou de quelques sympathisants stupides et prêts pour le ‘’martyr’’.
Ce qui est une toute autre affaire.
2 commentaires:
voir aussi sur le même sujet l'article de Caroloine Glick
http://www.desinfos.com/spip.php?page=article&id_article=19269
les attaques viendront aussi de terre et des airs ...
Daniel
Tous ces bateaux en partance pour le mois de juillet...mais c'est les vacances scolaires, non?!!
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