La chaîne de télévision publique ARTE n’a pas la nécessité de grands sociologues à son chevet...
Il est établi - par un aveu écrit d’un de ses directeurs de programmes- que la ligne éditoriale anti-israélienne est de mise dans cette rédaction, et que toutes circonstances souscrivant (si nécessaire par omissions, mensonges ou analyses trompeuses) à la décomposition de l’objectif du sionisme et par voie de conséquences d’Israël, sont les bienvenues.
Lors de la première partie d’un documentaire en quatre volets sur les « Visages du terrorisme » intitulé « Au nom de la liberté », cinq exemples de mouvements de libération et guerres d’indépendances illustrent le sujet. La Fédération de Malaisie, le FLN en Algérie, l’ANC en Afrique du sud, l’Irlande du Nord et la création de l’état d’Israël.
Ainsi, nous apprenons dès le début de ce programme, que l’Irgoun de Menahem Begin - par l’attentat à l’explosif perpétré contre le quartier général anglais situé dans l’hôtel King David de Jérusalem en 1946 et ayant fait 91 victimes dont des civils- aurait imaginé et conçu cette nouvelle forme de combat nommé « TERRORISME » ( politique de la terreur ayant comme finalité l’obtention d’objectifs).
A trop ceindre, on embrasse mal dit l’adage. A trop vouloir démontrer ‘’l’ignominie du sionisme’’ et par voie de faits ses conséquences actuelles sur le proche orient, les journaleux de cette chaîne franco-allemande oublient les précautions élémentaires à toutes démarches se voulant intellectuelles.
Selon le Petit Robert, le terme TERRORISME a été employé dans la période qui suivit la chute de Robespierre pour désigner la politique de TERREUR des années 1793-94, et celui de TERRORISTE pour désigner ceux qui avaient soutenu ou appliqué cette même politique.
Ainsi les Français grâce à leur révolution sont à l’honneur dans ce domaine, et les Allemands –co-partenaire d’ARTE- par l’histoire du IIIème Reich nous confirment que l’Irgoun –parmi tant d’autres- n’a été somme toute qu’un bon élève de ces Maîtres en TERRORISME.
Mais au-delà du rappel de cette petite vérité, le sujet traité dans ce documentaire soulève une question essentielle : Qu’est ce que le terrorisme ?
Le FLN, l’ANC, l’IRA et l’IRGOUN sont ils des associations terroristes ou des mouvements de libération ? De nos jours, nul n’affirmera que leurs combats n’étaient point légitimé par le refus des pays colonisateurs, qu’ont été la France et la Grande Bretagne, d’admettre les aspirations de liberté des autochtones, et que les méthodes violentes de ces groupes étaient justifiés.
Qu’en est il du désir des dirigeants du peuple palestinien à travers l’OLP et de toutes ses composantes politiques et armées ?
Terroristes ou Libérateurs ?
Par comparaison aux autres mouvements pré-cités, il est avéré par l’histoire du conflit proche oriental, que le but ultime de Yasser ARAFAT et de ses partisans est, et a toujours été, l’éradication d’Israël et non l’établissement d’un état qui répondrait aux ambitions du peuple palestinien. Les dates clefs suivantes, témoignent des occasions ratées volontairement par le monde arabe et palestinien : 1948, 1967 ou plus proche de nous le plan de paix Clinton – Barak en l’an 2000 refusé par le reclus de Ramallah.
Si l’on peut comprendre qu’une certaine violence sert des fins avouables, bénéficiant à la dignité du genre humain, on ne peut admettre cette volonté d’assassinat envers un peuple pour le spolier de son pays, son histoire, sa culture ou tout simplement assouvir ses rêves de croisades religieuses. (Ce n’est malheureusement pas la première tentative en ce qui concerne le monde juif). Cette violence, si elle parvient à vaincre, préfigure des lendemains peu favorables à la démocratie et aux droits de l’hommes.
L’objectif des dirigeants Palestiniens est donc d’obtenir par la terreur l’effondrement de la société israélienne et par enchaînements sa disparition. A ce titre ils doivent être qualifiés de TERRORISTES et neutralisés définitivement d’une façon ou d’une autre.
Les dénommer autrement démontre à coup sûr une sympathie à leurs causes.
En ce qui concerne les journalistes d’ARTE, ces causes sont entendues.
Il est établi - par un aveu écrit d’un de ses directeurs de programmes- que la ligne éditoriale anti-israélienne est de mise dans cette rédaction, et que toutes circonstances souscrivant (si nécessaire par omissions, mensonges ou analyses trompeuses) à la décomposition de l’objectif du sionisme et par voie de conséquences d’Israël, sont les bienvenues.
Lors de la première partie d’un documentaire en quatre volets sur les « Visages du terrorisme » intitulé « Au nom de la liberté », cinq exemples de mouvements de libération et guerres d’indépendances illustrent le sujet. La Fédération de Malaisie, le FLN en Algérie, l’ANC en Afrique du sud, l’Irlande du Nord et la création de l’état d’Israël.
Ainsi, nous apprenons dès le début de ce programme, que l’Irgoun de Menahem Begin - par l’attentat à l’explosif perpétré contre le quartier général anglais situé dans l’hôtel King David de Jérusalem en 1946 et ayant fait 91 victimes dont des civils- aurait imaginé et conçu cette nouvelle forme de combat nommé « TERRORISME » ( politique de la terreur ayant comme finalité l’obtention d’objectifs).
A trop ceindre, on embrasse mal dit l’adage. A trop vouloir démontrer ‘’l’ignominie du sionisme’’ et par voie de faits ses conséquences actuelles sur le proche orient, les journaleux de cette chaîne franco-allemande oublient les précautions élémentaires à toutes démarches se voulant intellectuelles.
Selon le Petit Robert, le terme TERRORISME a été employé dans la période qui suivit la chute de Robespierre pour désigner la politique de TERREUR des années 1793-94, et celui de TERRORISTE pour désigner ceux qui avaient soutenu ou appliqué cette même politique.
Ainsi les Français grâce à leur révolution sont à l’honneur dans ce domaine, et les Allemands –co-partenaire d’ARTE- par l’histoire du IIIème Reich nous confirment que l’Irgoun –parmi tant d’autres- n’a été somme toute qu’un bon élève de ces Maîtres en TERRORISME.
Mais au-delà du rappel de cette petite vérité, le sujet traité dans ce documentaire soulève une question essentielle : Qu’est ce que le terrorisme ?
Le FLN, l’ANC, l’IRA et l’IRGOUN sont ils des associations terroristes ou des mouvements de libération ? De nos jours, nul n’affirmera que leurs combats n’étaient point légitimé par le refus des pays colonisateurs, qu’ont été la France et la Grande Bretagne, d’admettre les aspirations de liberté des autochtones, et que les méthodes violentes de ces groupes étaient justifiés.
Qu’en est il du désir des dirigeants du peuple palestinien à travers l’OLP et de toutes ses composantes politiques et armées ?
Terroristes ou Libérateurs ?
Par comparaison aux autres mouvements pré-cités, il est avéré par l’histoire du conflit proche oriental, que le but ultime de Yasser ARAFAT et de ses partisans est, et a toujours été, l’éradication d’Israël et non l’établissement d’un état qui répondrait aux ambitions du peuple palestinien. Les dates clefs suivantes, témoignent des occasions ratées volontairement par le monde arabe et palestinien : 1948, 1967 ou plus proche de nous le plan de paix Clinton – Barak en l’an 2000 refusé par le reclus de Ramallah.
Si l’on peut comprendre qu’une certaine violence sert des fins avouables, bénéficiant à la dignité du genre humain, on ne peut admettre cette volonté d’assassinat envers un peuple pour le spolier de son pays, son histoire, sa culture ou tout simplement assouvir ses rêves de croisades religieuses. (Ce n’est malheureusement pas la première tentative en ce qui concerne le monde juif). Cette violence, si elle parvient à vaincre, préfigure des lendemains peu favorables à la démocratie et aux droits de l’hommes.
L’objectif des dirigeants Palestiniens est donc d’obtenir par la terreur l’effondrement de la société israélienne et par enchaînements sa disparition. A ce titre ils doivent être qualifiés de TERRORISTES et neutralisés définitivement d’une façon ou d’une autre.
Les dénommer autrement démontre à coup sûr une sympathie à leurs causes.
En ce qui concerne les journalistes d’ARTE, ces causes sont entendues.
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