mercredi 22 février 2017

Les médias, danger des démocraties !

Il n’y a plus aucun doute à avoir ! Les médias nationaux, par leur vision collective et exclusive, sont le fléau par lequel les sociétés démocratiques s’autodétruisent peu à peu. 

Leur apport à cette fin est plus que conséquent.

Ainsi de Donald J. Trump moqué par la planète journalistique pour avoir parlé d’un « attentat imaginaire » en Suède. Sauf que le nœud de son discours avait alors comme sujet l’insécurité occasionné par l’arrivée de milliers de « réfugiés ». 

Insécurité illustrée par des émeutes dès le surlendemain dans le quartier de Rinkeby à Stockholm.

Ou encore Nicolas Dupont-Aignan qui, déjà en 2014, voulait se débarrasser des « éditorialistes de bazar » de Canal + et autres vecteurs d’un politiquement correct de plus en plus pesant !

Deux hommes politiques, parmi tant d’autres, qui expriment le dégoût qu’inspirent ces moyens d’informations !

Un écœurement que l’on retrouve, jour après jour, dans les textes concernant le conflit proche-oriental et dans lequel l’Etat d’Israël est montré systématiquement comme le « coupable » !


Il en est ainsi de Libération publiant un texte intitulé « En Israël, le soldat ayant tué un Palestinien s'en tire avec les honneurs » !

Tout dans le titre est dit ! L’Etat d’Israël ‘’glorifie’’ les assassinats de civils !

Le texte est la pour confirmer la première impression :

« Les pays se choisissent toujours des héros à leur image. Et depuis un an celui de 65% à 70% des Israéliens, selon les sondages, s’appelle Elor Azaria, un soldat franco-israélien condamné mercredi à dix-huit mois de prison pour avoir, en mars 2016, achevé au sol un Palestinien blessé ».

« Etonnant dans un pays qui se veut «la seule démocratie du Proche-Orient» ? En fait, ce manque d’empathie est le résultat de cinquante ans d’occupation des territoires palestiniens par Israël. Un demi-siècle durant lequel les Israéliens ont appris à tellement mépriser les Palestiniens qu’une partie d’entre eux en est arrivée à trouver normal de leur tirer une balle dans la tête lorsqu’ils sont au sol ».

Pour quelles raisons se trouvait-il au sol ? Nissim Behar ne l’écrira pas ! Seuls ceux connaissant l’affaire dans son ensemble saisiront la haine qui motive ce pigiste.

Ainsi que celle du rédacteur du quotidien Le Monde assurant, en choisissant ces mots, qu’un « tribunal militaire israélien a condamné à dix-huit mois de prison le soldat Elor Azaria, reconnu coupable d’homicide volontaire le 4 janvier, pour avoir tué un assaillant palestinien blessé et au sol en Cisjordanie occupée ».

Celui-ci ajoutant toutefois quelques précisions : 

« Le Palestinien venait d’attaquer des soldats au couteau. Atteint par plusieurs balles, il gisait au sol, apparemment hors d’état de nuire. Elor Azaria, arrêté immédiatement après les faits, plaidait non coupable. Il pensait que le Palestinien dissimulait sous ses vêtements une ceinture d’explosif, ont argué ses avocats ».

Nissim Behar, oublieux méthodique de ces petites précisions qui ornent la compréhension des actes du soldat, sentant l’accusation de fake news lui pendre au nez, a cependant modifié le titre de son texte ignominieux : « En Israël, un soldat meurtrier s’en tire avec les honneurs ».

Disparu le ‘’palestinien’’, mais pas le mépris de l’état juif qui, cependant, a arrêté le soldat et l’a condamné pour avoir mis fin à la vie d’un terroriste. Pas d’un « assaillant » ou d’un « résistant », deux qualités qui font qu’une fois attrapés par le pouvoir ils sont, la plupart du temps, torturés et mis à mort, mais bien d’un terroriste combattant une démocratie distribuant la carte des droits de l’homme aux détenus.

Le Monde et Libé deux journaux « fiables » selon le Décodex ! Rires garantis et danger bien réel pour la démocratie France.

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1 commentaire:

baruch a dit…

Dans le même esprit ce plumitif publie ce 22 février 2017 sous le pseudonyme de Serge Dumont une demi page dans Le Soir de Bruxelles , odieuse titrée " Le soldat qui avait achevé un Palestinien à terre condamné à 18 mois de prison " . Il faut attendre la 12 éme ligne de l'article pour découvrir que ´ Certes Al- Sharif venait de poignarder un autre militaire israélien ' Ce Nissim Behar de son vrai nom Maurice Sarfati n'est autre que l'ancien collaborateur du Bourgmestre de Molenbeek, Philippe Moureaux ( PS ) qui pendant ses 20 ans de règne transforma sa commune en nid de djihadistes qui semèrent la mort en Europe de Charlie au métro et à l'aéroport bruxellois en passant par le Bataclan .