dimanche 26 février 2017

La gauche veut tuer l’Etat d’Israël

François Hollande terminant son triste mandat présidentiel dans trois petits mois, des élus, très très majoritairement de gauche, veulent lui faire reconnaître un état de « Palestine » avant son départ pour l’oubli. 

C’est, apparemment, le seul problème actuel que rencontrent les Français !

Dans une énième lettre publique, cent cinquante-trois parlementaires de l’Assemblée parlementaire et du Sénat affirment que « La France doit reconnaître l’Etat de Palestine ». L’Etat d’Israël n’étant pas prêt à vivre sous une menace perpétuelle d’une ‘’Palestine’’ gouvernée par le Hamas et l’Iran, chacun imaginera aisément l’exigence suivante de ces cent cinquante-trois hommes d’état et de ‘’grandes valeurs morales’’ !

Deux ‘’amis’’ de l’Etat d’Israël

Le risible de leur demande est conforté par leur texte !

Ainsi, ils dénoncent le président américain qui « a fait connaître sa volonté de revenir sur le statu quo observé jusqu’alors par les pays occidentaux en transférant l’ambassade américaine en Israël de Tel- Aviv à Jérusalem ».

Un statu quo qui, cependant, les dérange dès lors que rien ne bouge et nuit gravement à leur cause anti-israélienne.

« Forte de ce soutien, la Knesset vient de voter la légalisation des colonies sauvages de Cisjordanie (…) ». Une approximation que personne dans leur rang ne relèvera ! Il s’agit d’une loi imposant un dédommagement aux éventuels propriétaires ‘’palestiniens’’ plutôt que la démolition du bâtiment construit.

Ces signataires étant pour un état judenrein, chacun comprendra leur émoi.

« La France doit marquer sa volonté de sortir de l’impasse sur ce conflit en réaffirmant solennellement, au nom du droit inaliénable à l’autodétermination, que le peuple palestinien est fondé à se doter d’un État. Il en va du respect du droit international comme de la sécurité d’Israël ».

Que nul ne rie !

- Si impasse il y a, elle est due notamment à la France qui autorise l’Autorité palestinienne à refuser toutes négociations directes et à attendre qu’Israël plie aux diktats internationaux pour être servie.

- Pour ce qui est du « droit international », quel est l’alinéa de ce droit qui indiquerait l’obligation d’un état de « Palestine » ?

- Quant à la « sécurité d’Israël »… Le Hamas et l’Iran rient encore de ces idiots très utiles à leur cause antisémite commune.

D’autres élus, de valeurs morales beaucoup plus respectables, auraient d’abord exigé que le ‘’peuple palestinien’’ se débarrasse de ses dictateurs, extirpe la haine du Juif de ses tripes et commence à construire une société véritablement démocratique.

Mais la France a les élus qu’elle mérite !

« Vous l’avez dit vous- même, Monsieur le Président, « seules les négociations bilatérales peuvent aboutir ». Il est donc temps que ces négociations se déroulent sur un pied d’égalité, d’État à État. La France ne peut prôner dans ses expressions officielles la solution à deux États et n’en reconnaître qu’un seul ».

Connaissant les frontières internationales et le nettoyage ethnique imposés par ces élus, que restera t-il donc à négocier ?

Le seul « droit de retour » au sein même de l’Etat d’Israël de centaines de milliers de « réfugiés » héritant de ce titre de père en fils. 

Rien d’autre ! 

L’état du peuple juif le récusant, chacun pourra compter sur le Hamas & Co pour poursuivre le conflit, mais cette fois-ci à partir d’un état obtenu par la grâce de cette France nauséeuse.

Ceux qui doutaient que l’antisémitisme n’était qu’à l’extrême droite sont servis. Ainsi, ces cent cinquante-trois élus démontrent leur hostilité de l’état juif dès lors qu’ils refusent d’imaginer les conséquences néfastes de leur demande pour cet état.

Mais l’important n’est-il pas, d’abord, de drainer le vote musulman pour leurs réélections ?

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Texte de la lettre publique :


« La France doit reconnaître l’État de Palestine »

« Nos actes doivent désormais suivre nos mots

Monsieur le Président de la République,

La France a accueilli à Paris, le 15 janvier dernier, soixante- dix pays et organisations internationales pour une conférence internationale pour la paix au Proche- Orient. Cette conférence fut l’occasion de réaffirmer solennellement l’attachement de la communauté internationale à la solution à deux États, Israël et la Palestine, vivant côte à côte en paix et en sécurité, paramètre fondamental pour la reprise de négociations bilatérales entre les parties, gelées depuis avril 2014.

Cependant, au terme de cette conférence qu’il convient de saluer s’ouvre une période lourde d’incertitudes au Proche- Orient. Le président américain a fait connaître sa volonté de revenir sur le statu quo observé jusqu’alors par les pays occidentaux en transférant l’ambassade américaine en Israël de Tel- Aviv à Jérusalem. Forte de ce soutien, la Knesset vient de voter la légalisation des colonies sauvages de Cisjordanie, au mépris du droit international, et notamment de la résolution 2334 adoptée par le Conseil de sécurité des Nations unies au mois de décembre dernier. Cette loi est un pas de plus vers l’annexion de la Cisjordanie.

Dans ce contexte, la France ne peut rester silencieuse. Les 2 et 11 décembre 2014, l’Assemblée nationale et le Sénat avaient adopté deux résolutions invitant le gouvernement français à reconnaître l’État de Palestine. À cette occasion, Laurent Fabius, alors ministre de s Af f a i r e s étrangères et du développement i nternational, avait engagé la diplomatie française en affirmant : « En cas d’échec, la France devra reconnaître l’État de Palestine. »

Si son communiqué final rappelle les grands paramètres du règlement du conflit, la conférence de Paris n’a ni permis de réunir les principaux intéressés, Israéliens comme Palestiniens, ni abouti à des mesures concrètes permettant de progresser dans les négociations de paix.

La France doit marquer sa volonté de sortir de l’impasse sur ce conflit en réaffirmant solennellement, au nom du droit inaliénable à l’autodétermination, que le peuple palestinien est fondé à se doter d’un État. Il en va du respect du droit international comme de la sécurité d’Israël.

Vous l’avez dit vous- même, Monsieur le Président, « seules les négociations bilatérales peuvent aboutir » . Il est donc temps que ces négociations se déroulent sur un pied d’égalité, d’État à État. La France ne peut prôner dans ses expressions officielles la solution à deux États et n’en reconnaître qu’un seul. Nos actes doivent désormais suivre nos mots.

Monsieur le Président, montrez- vous à la hauteur de l’enjeu et ne manquez pas ce rendez- vous avec l’Histoire, en reconnaissant dès à présent l’État de Palestine ».

Les signataires :

Patrick Abate (sénateur CRC de la Moselle)
Laurence Abeille (députée NI du Val-de-Marne)
Leïla Aichi (sénatrice ECOLO de Paris)
Brigitte Allain (députée NI de Dordogne)
Pouria Amirshahi (député NI des Français établis hors de France)
Michèle André (sénatrice SOC du Puy-de-Dôme, Présidente de la Commission des finances, ancienne ministre)
Maurice Antiste (sénateur SOC de la Martinique)
Aline Archimbaud (sénatrice ECOLO de la Seine-Saint-Denis)
François Asensi (député GDR de la Seine-Saint-Denis, Président du groupe)
Eliane Assassi (sénatrice CRC de la Seine-Saint-Denis, Présidente du groupe)
Danielle Auroi (députée NI du Puy-de-Dôme, Présidente de la Commission des Affaires européennes)
Alexis Bachelay (député SER des Hauts-de-Seine)
Gérard Bapt (député SER de la Haute-Garonne)
Delphine Bataille (sénatrice SOC du Nord)
Marie-France Beaufils (sénatrice CRC d’Indre-et-Loire)
Esther Benbassa (sénatrice ECOLO du Val-de-Marne)
Jacques Bigot (sénateur SOC du Bas-Rhin)
Michel Billout (sénateur CRC de la Seine-et-Marne)
Marie-Christine Blandin (sénatrice ECOLO du Nord)
Maryvonne Blondin (sénatrice SOC du Finistère)
Alain Bocquet (député GDR du Nord)
Eric Bocquet (sénateur CRC du Nord)
Michèle Bonneton (députée NI de l’Isère)
Jean-Pierre Bosino (sénateur CRC de l’Oise)
Yannick Botrel (sénateur SOC des Côtes-d’Armor)
Corinne Bouchoux (sénatrice ECOLO du Maine-et-Loire)
Michel Boutant (sénateur SOC de la Charente)
Kheira Bouziane-Laroussi (députée SER de la Côte-d’Or)
Marie-George Buffet (députée GDR de la Seine-Saint-Denis, ancienne ministre)
Jean-Pierre Caffet (sénateur SOC de Paris, Vice-président du Sénat)
Jean-Jacques Candelier (député GDR du Nord)
Michel Canevet (sénateur UDI-UC du Finistère)
Jean-Louis Carrère (sénateur SOC des Landes)
Françoise Cartron (sénatrice SOC de la Gironde, Vice-présidente du Sénat)
Patrice Carvalho (député GDR de l’Oise)
Christophe Cavard (député SER du Gard)
Bernard Cazeau (sénateur SOC de Dordogne)
Gabby Charroux (député GDR des Bouches-du-Rhône)
André Chassaigne (député GDR du Puy-de-Dôme)
Guy-Michel Chauveau (député SER de la Sarthe)
Pascal Cherki (député SER de Paris)
Jacques Chiron (sénateur SOC de l’Isère)
Laurence Cohen (sénatrice CRC du Val-de-Marne)
Yvon Collin (sénateur RDSE du Tarn-et-Garonne)
Pierre-Yves Collombat (sénateur RDSE du Var)
Hélène Conway-Mouret (sénatrice SOC des Français établis hors de France, ancienne ministre)
Sergio Coronado (député NI des Français établis hors de France)
Roland Courteau (sénateur SOC de l’Aude)
Cécile Cukierman (sénatrice CRC de la Loire)
Yves Daniel (député SER de la Loire-Atlantique)
Ronan Dantec (sénateur ECOLO de la Loire-Atlantique)
Marc Daunis (sénateur SOC des Alpes-Maritimes)
Annie David (sénatrice CRC de l’Isère)
Florence Delaunay (députée SER des Landes)
Guy Delcourt (député SER du Pas-de-Clais)
Michel Delebarre (sénateur SOC du Nord, ancien ministre)
Michelle Demessine (sénatrice CRC du Nord, ancienne ministre)
Françoise Descamps-Crosnier (députée SER des Yvelines)
Jean Desessard (sénateur ECOLO de Paris, Président du groupe)
Félix Desplan (sénateur SOC de la Guadeloupe)
Evelyne Didier (sénatrice CRC de la Meurthe-et-Moselle)
Marc Dolez (député GDR du Nord)
Françoise Dubois (députée SOC de la Sarthe)
Cécile Duflot (députée NI de Paris, ancienne ministre)
William Dumas (député SER du Gard)
Laurence Dumont (députée SER du Calvados, Vice-présidente de l’Assemblée nationale)
Jérôme Durain (sénateur SOC de la Saône-et-Loire)
Alain Duran (sénateur SOC de l’Ariège)
Josette Durrieu (sénatrice SOC des Hautes-Pyrénées)
Vincent Eblé (sénateur SOC de la Seine-et-Marne)
Anne Émery-Dumas (sénatrice SOC de la Nièvre)
Frédérique Espagnac (sénatrice SOC des Pyrénées-Atlantiques)
Christian Favier (sénateur CRC du Val-de-Marne)
Corinne Féret (sénatrice SOC du Calvados)
Hervé Féron (député SER de la Meurthe-et-Moselle)
Jean-Jacques Filleul (sénateur SOC d’Indre-et-Loire)
Thierry Foucaud (sénateur CRC de Seine-Maritime, Vice-président du Sénat)
Jacqueline Fraysse (députée GDR des Hauts-de-Seine)
Samia Ghali (sénatrice SOC des Bouches-du-Rhône)
Jean-Patrick Gille (député SER d’Indre-et-Loire)
Dominique Gillot (sénatrice SOC du Val-d’Oise, ancienne ministre)
Joël Giraud (député RRDP des Hautes-Alpes)
Jean-Pierre Godefroy (sénateur SOC de la Manche)
Brigitte Gonthier-Maurin (sénatrice CRC des Hauts-de-Seine)
Sylvie Goy-Chavent (sénatrice UDI-UC de l’Ain)
Chantal Guittet (députée SER du Finistère)
Mathieu Hanotin (député SER de la Seine-Saint-Denis)
Claude Haut (sénateur SOC du Vaucluse)
Odette Herviaux (sénatrice SOC du Morbihan)
Gélita Hoarau (sénatrice CRC de La Réunion)
Gilda Hobert (députée RRDP du Rhône)
Robert Hue (sénateur RDSE du Val-d’Oise)
Michel Issindou (député SER de l’Isère, Président du groupe d’études à vocation internationale France-Palestine)
Gisèle Jourda (sénatrice SOC de l’Aude)
Philippe Kaltenbach (sénateur SOC des Hauts-de-Seine)
Antoine Karam (sénateur SOC de la Guyane)
Bariza Khiari (sénatrice SOC de Paris)
Georges Labazée (sénateur SOC des Pyrénées-Atlantiques)
Joël Labbé (sénateur ECOLO du Morbihan)
Françoise Laborde (sénatrice RDSE de Haute-Garonne)
Serge Larcher (sénateur SOC de la Martinique)
Jean-Luc Laurent (député SER-A du Val-de-Marne)
Pierre Laurent (sénateur CRC de Paris)
Dominique Lefebvre (député SER du Val-d’Oise)
Michel Le Scouarnec (sénateur CRC du Morbihan)
Claudine Lepage (sénatrice SOC des Français établis hors de France)
Marie-Noëlle Lienemann (sénatrice SOC de Paris, ancienne ministre)
Jeanny Lorgeoux (sénateur SOC du Loir-et-Cher)
Jean-Jacques Lozach (sénateur SOC de la Creuse)
Roger Madec (sénateur SOC de Paris)
Philippe Madrelle (sénateur SOC de la Gironde)
Noël Mamère (député NI de la Gironde)
François Marc (sénateur SOC du Finistère)
Didier Marie (sénateur SOC de la Seine-Maritime)
Rachel Mazuir (sénateur SOC de l’Ain)
Michel Ménard (député SER de la Loire-Atlantique)
Michelle Meunier (sénatrice SOC de la Loire-Atlantique)
Jacques Mézard (sénateur RDSE du Cantal, Président du groupe)
Danielle Michel (sénatrice SOC des Landes)
Thani Mohamed Soilihi (sénateur SOC de Mayotte)
Alain Néri (sénateur SOC du Puy-de-Dôme)
François Patriat (sénateur SOC de la Côte-d’Or, ancien ministre)
Marie-Françoise Perol-Dumont (sénatrice SOC de la Haute-Vienne)
Hervé Poher (sénateur ECOLO-R du Pas-de-Calais)
Patrice Prat (député NI du Gard)
Christophe Premat (député SER des Français établis hors de France)
Christine Prunaud (sénatrice CRC des Côtes-d’Armor)
Monique Rabin (députée SER de la Loire-Atlantique)
Daniel Raoul (sénateur SOC du Maine-et-Loire)
Daniel Reiner (sénateur SOC de la Meurthe-et-Moselle)
Jean-Luc Reitzer (député LR du Haut-Rhin)
Stéphanie Riocreux (sénatrice SOC d’Indre-et-Loire)
Evelyne Rivollier (sénatrice CRC de la Loire)
Sylvie Robert (sénatrice SOC d’Ille-et-Villaine)
François Rochebloine (député UDI de la Loire)
Barbara Romagnan (députée SER du Doubs)
Yves Rome (sénateur SOC de l’Oise)
Gwendal Rouillard (député SER du Morbihan)
Jean-Louis Roumégas (député NI de l’Hérault)
Nicolas Sansu (député GDR du Cher)
Henri Tandonnet (sénateur UDI-UC de Lot-et-Garonne)
Catherine Tasca (sénatrice SOC des Yvelines, ancienne ministre)
Thomas Thévenoud (député NI de la Saône-et-Loire, ancien ministre)
Nelly Tocqueville (sénatrice SOC de Seine-Maritime)
Jean-Louis Tourenne (sénateur SOC d’Ille-et-Villaine)
René Vandierendonck (sénateur SOC du Nord)
Bernard Vera (sénateur CRC de l’Essonne)
Jean-Pierre Vial (sénateur LR de la Savoie)
Maurice Vincent (sénateur SOC de la Loire)
Michel Voisin (député LR de l’Ain)
Dominique Watrin (sénateur CRC du Pas-de-Calais)
Evelyne Yonnet (sénatrice SOC de la Seine-Saint-Denis)
Richard Yung (sénateur SOC des Français établis hors de France).

11 commentaires:

Atom a dit…

Je constate encore la logorrhée electoraliste des députés et sénateurs, plutôt ceux oins de gauche. Tous les prétextes malhonnetes sont bons!
Pour les députés, c'est nostra culpa...
Pour les sénateurs, élus censitairement par 0,1% de la population française, ce sont les élus locaux qui en portent la responsabilité essentielle et les stigmates intellectuels et moraux.
En plus, j'en ai mal au portefeuille de voir mon impôt profiter à la rémunération et aux avantages très onéreux de ces privilégiés au statut héritier du régime censitaire et du Second Empire.

Rigueur a dit…

Un seul mandat de sénateur, soit 6 ans, donne droit à 2000 € de retraite. Ensuite ça augmente en fonction du nombre de mandats de 6 ans.
1 agent de categorie C (80% du personnel des mairies et autres collectivites territoriales),% maintenu ainsi par les élus locaux depuis la loi de 1982, 950 € de retraite pour 40 ans de travail.
Cherchez l'erreur.

Unknown a dit…

C'est normal : la França est un pays arabe.
Simon Néhmé

Steph a dit…

Ca va devenir compliqué de voter en France. La gauche est antisémite comme vous venez de le démontrer si brillamment, l'extrême gauche et les écolos, ouh la la, rouge vert brun et compagnie. La droite est pro-arabe même qu'elle a gangréné le quai d'Orsay avec les Villepin et compagnie. L'extrême droite n'en parlons pas puisque Le Pen a dit des phrases antisémites il y a 20 ans, et que même il parait qu'ils sont à gauche selon certains brillants analystes. Le centre on sait pas si ils sont "ni droite ni gauche" ou "et droite et gauche" ce qui serait aaaaaaffreux!!! Cumuler les deux antisémitismes - peut-être s'annulent-ils, non? Et faut pas se faire avoir par des noms juifs que ça doit être des alter juifs honteux et tout.

Vivement que l'extrême droite israélienne présente un candidat vu que c'est les seuls de la planète qui sont pas antisémites. Ah là là, dans quel monde on vit mon pauvre Monsieur.

Anonyme a dit…

Les socialistes dans la fidèle lignée des communistes n’ont jamais renoncé au fondement messianique de leur idéologie mortifère : le messie est devenu le peuple et la rédemption le bonheur sur terre. Ils ont besoin de leurs nouveaux damnés de la Terre afin d’exhiber de façon obscène leur immense Bonté.

« La persistance du nom juif au travers de l’histoire, la continuité des haines qu’il soulevait, tout cela devait trouver une explication dont les termes soient acceptables par l’Europe. Si le basculement de l’Europe dans l’antijudaïsme s’est accompli, alors tout doit être repris depuis le début. Comment le nom juif a-t-il persisté ? Par un moyen à la fois matériel et littéral dont l’Europe ne veut rien savoir : la continuité de l’étude. Comment l’étude a-t-elle continué ? Par une voie dont l’Europe moderne ne veut rien savoir : la décision des parents que leur enfant aille vers l’étude. Pourquoi la haine ? Parce qu’en dernière instance, le nom juif, dans toutes ses continuités, rassemble les quatre termes que l’avenir de l’univers moderne souhaite vider de tout sens, un par un et tous ensemble : homme/femme/parents/enfant. » Les Penchants criminels de l’Europe démocratique


Franco

Anonyme a dit…

"Notre supériorité morale n’est qu’un coup de chance. Il nous confronte avec le fait que des gens qui nous ressemblent en tout ne peuvent éviter la tragédie de la violence. Nous réalisons que si nous étions confrontés à un tel ennemi – ce qui semble de moins en moins imaginaire - nous devrions agir de la même manière. C'est une blessure que le narcissisme moral européen ne supporte pas. Et comme toujours, le narcissique menacé ne met pas en cause son propre comportement, mais plutôt la réalité elle-même. La réalité doit être transformée de manière telle que nous ne nous sentions pas menacés par le fait de reconnaître que la tragédie où Israël est placé pourrait être la nôtre. Voilà le mobile le plus profond de la diabolisation d'Israël par l’Europe. Diabolisation où les Israéliens sont considérés comme les instigateurs de ce conflit, et non comme des gens semblables à nous, qui avons le droit de ne pas nous laisser bombarder par des roquettes. Une diabolisation où les Israéliens sont présentés comme des assassins génocidaires, qui tirent délibérément sur des enfants, et non comme ceux qui font tout pour éviter cela, alors qu’ils se battent contre une organisation terroriste qui ne partage pas ces valeurs et proclame fièrement qu’elle utilise des boucliers humains."

http://philosemitismeblog.blogspot.ch/2014/08/pourquoi-leurope-diabolise-israel-une.html

Franco

Victor PEREZ a dit…

Steph,

Les politiques français sont pires qu’être antisémites. Ils sont devenus des dhimmis. A preuve la vie si ‘’paisible’’ qui est dorénavant celle des français ! lol !

Quant à ‘’l’extrême droite israélienne ‘’ pas antisémite, elle n’est même pas raciste antimusulmans car elle souhaite, au contraire de cette gauche si ‘’généreuse’’, donner la nationalité israélienne aux ‘’palestiniens’’

Ah ! Comme vous dîtes mon ‘’bon’’ Steph, à quel monde avez-vous apporté votre concours !

Bon vote ! lol !

Steph a dit…

J'ai bien fait de venir j'en apprends à chaque fois.

Ainsi Benett, Shaked et Netanyahou veulent donner la nationalité israélienne aux palestiniens. Quelle décision historique pour renforcer le caractère démocratique d'Israël tout en rabattant le caquet à tous ces méchants qui le diabolisent sans raison ni raisons.
Je suis étonnée de ne pas avoir lu cela ailleurs que sur ce blog si bien informé. Les projets de lois sont-ils déjà au vote? Vu qu'ils sont au pouvoir et ont la majorité des sièges ça devrait se faire dans l'année non?

Je n'en attendais pas moins de l'extrême droite. Terminées ces idées nationalistes tant décriées. Les bons petits.

Victor PEREZ a dit…

Steph,

Netanyahou n’est pas, sauf pour les gauchistes telle que vous, à l’extrême droite et ne tient pas à annexer toute la Judée et la Samarie.

Benett et Shaked eux le désirent et sont prêts à attribuer la nationalité aux ‘’Palestiniens’’ qui le désirent (contrairement aux ‘’généreux’’ gauchistes que vous encensez et qui ne veulent rien d’autre que de se séparer des Arabes). Encore faut-il qu’ils rassemblent une majorité pour cela. Ce qui n’est pas prêt d’arriver !

Tout cela pour préciser que je suis mieux informé que vous et que je ne mélange pas la réalité avec des programmes politiques.

Au fait, avez-vous préparé votre valise de la parfaite soumise à la charia ? C’est le programme unique promis par vos si dévoués élus. Tout bord confondu.

Steph a dit…

Ouh des attaques personnelles c'est pas joli joli ça.
Je vous rassure celui qui me mettra un torchon sur la tête n'est pas encore là. Enfin sauf si je subis une chimio ou si le soleil tape trop fort, là c'est négociable. Pareil pour mon antenne satellite. Je ne pourrais plus capter i24 ni BFMTV. Qui n'ont jamais dit que Bennett et Shaked voulaient donner la nationalité israélienne aux millions de palestiniens qu'ils veulent annexer. Sûrement la propagande gauchiste de Drahi qui ne veut pas dire qu'ils abandonnent le caractère juif de la Judée et Samarie.
Et les amis de Benett et Shaked ils pourront continuer à jeter des cocktails molotov dans les chambres d'enfants si ils ont la nationalité israélienne?
Au fait Netanyahou il est plutôt trotskiste ou crypto-anarchiste? Il est revenu à la solution à 2 états? Il propose quoi en dehors du status quo qui rend bien service à sa frange droite?

Je vais me renseigner de ce pas sur le pan arabisme de l'extrême droite israélienne qui souhaite 80% de musulmans dans l'état s'ils prennent la nationalité.
A moins que ces gentils extrémistes de droite ne souhaitent des sous-citoyens sans droits civiques, ce qui serait pratique faut l'admettre.

Mais je n'accuse pas sans preuves, je vais me renseigner sur les sites d'extrême droite ils doivent savoir eux aussi ce qu'on leur a dit de penser et de répéter.

Victor PEREZ a dit…

Steph,

Il est évident que si vous lisez les programmes politiques de vos opposants avec les œillères qui vous ont poussé lorsque vous lisiez votre livre rouge vous ne serez pas à même de juger honnêtement des desseins des uns et des autres.

Je vous laisse donc chercher vos ‘’réponses’’ toutes prêtes que vous trouverez aisément auprès de vos camarades de parti.

Fin de l’échange.