Il n’y a plus aucun
doute à avoir ! Les médias nationaux, par leur vision collective et
exclusive, sont le fléau par lequel les sociétés démocratiques s’autodétruisent
peu à peu.
Leur apport à cette fin est plus que conséquent.
Ainsi de Donald J. Trump
moqué par la planète journalistique pour avoir parlé d’un « attentat imaginaire
» en Suède. Sauf que le nœud de son discours avait alors comme sujet l’insécurité occasionné
par l’arrivée de milliers de « réfugiés ».
Insécurité illustrée par des émeutes dès le surlendemain dans le quartier de Rinkeby
à Stockholm.
Ou encore Nicolas
Dupont-Aignan qui, déjà en 2014, voulait se débarrasser des « éditorialistes
de bazar » de Canal
+ et autres vecteurs d’un politiquement correct de plus en plus pesant !
Deux hommes politiques,
parmi tant d’autres, qui expriment le dégoût qu’inspirent ces moyens d’informations !
Un écœurement que l’on retrouve,
jour après jour, dans les textes concernant le conflit proche-oriental et dans
lequel l’Etat d’Israël est montré systématiquement comme le « coupable » !
Il en est ainsi de Libération
publiant un texte intitulé « En
Israël, le soldat ayant tué un Palestinien s'en tire avec les honneurs » !
Tout dans le titre est
dit ! L’Etat d’Israël ‘’glorifie’’ les assassinats de civils !
Le texte est la pour
confirmer la première impression :
« Les pays se
choisissent toujours des héros à leur image. Et depuis un an celui de
65% à 70% des Israéliens, selon les sondages, s’appelle Elor Azaria, un soldat
franco-israélien condamné mercredi à dix-huit mois de prison pour avoir, en
mars 2016, achevé au sol un Palestinien blessé ».
« Etonnant dans
un pays qui se veut «la seule démocratie du Proche-Orient» ? En fait, ce
manque d’empathie est le résultat de cinquante ans d’occupation des territoires
palestiniens par Israël. Un demi-siècle durant lequel les Israéliens ont appris
à tellement mépriser les Palestiniens qu’une partie d’entre eux en est arrivée
à trouver normal de leur tirer une balle dans la tête lorsqu’ils sont au sol ».
Pour quelles raisons se
trouvait-il au sol ? Nissim Behar ne l’écrira pas ! Seuls ceux
connaissant l’affaire dans son ensemble saisiront la haine qui motive ce pigiste.
Ainsi que celle du rédacteur
du quotidien Le
Monde assurant, en choisissant ces mots, qu’un « tribunal
militaire israélien a condamné à dix-huit mois de prison le soldat Elor Azaria,
reconnu coupable d’homicide volontaire le 4 janvier, pour avoir tué un assaillant
palestinien blessé et au sol en Cisjordanie occupée ».
Celui-ci ajoutant
toutefois quelques précisions :
« Le Palestinien venait
d’attaquer des soldats au couteau. Atteint par plusieurs balles, il gisait
au sol, apparemment hors d’état de nuire. Elor Azaria, arrêté immédiatement
après les faits, plaidait non coupable. Il pensait que le Palestinien dissimulait
sous ses vêtements une ceinture d’explosif, ont argué ses avocats ».
Nissim Behar,
oublieux méthodique de ces petites précisions qui ornent la compréhension des
actes du soldat, sentant l’accusation de fake news lui pendre au nez, a
cependant modifié le titre de son texte ignominieux : « En
Israël, un soldat meurtrier s’en tire avec les honneurs ».
Disparu le ‘’palestinien’’,
mais pas le mépris de l’état juif qui, cependant, a arrêté le soldat et l’a
condamné pour avoir mis fin à la vie d’un terroriste. Pas d’un « assaillant »
ou d’un « résistant », deux qualités qui font qu’une fois attrapés
par le pouvoir ils sont, la plupart du temps, torturés et mis à mort, mais bien
d’un terroriste combattant une démocratie distribuant la carte des droits de l’homme
aux détenus.
Le Monde et Libé deux
journaux « fiables » selon le Décodex ! Rires garantis et
danger bien réel pour la démocratie France.
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Dans le même esprit ce plumitif publie ce 22 février 2017 sous le pseudonyme de Serge Dumont une demi page dans Le Soir de Bruxelles , odieuse titrée " Le soldat qui avait achevé un Palestinien à terre condamné à 18 mois de prison " . Il faut attendre la 12 éme ligne de l'article pour découvrir que ´ Certes Al- Sharif venait de poignarder un autre militaire israélien ' Ce Nissim Behar de son vrai nom Maurice Sarfati n'est autre que l'ancien collaborateur du Bourgmestre de Molenbeek, Philippe Moureaux ( PS ) qui pendant ses 20 ans de règne transforma sa commune en nid de djihadistes qui semèrent la mort en Europe de Charlie au métro et à l'aéroport bruxellois en passant par le Bataclan .
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