Un mur « raciste et nazi » a accusé le chairman Yasser Arafat. Un mur qui, terminé, concédera au peuple israélien une existence en meilleure sécurité, une relance de l’économie du pays et une reprise en un espoir de lendemains qui chantent car à l’abri de crimes, contre l’humanité ou autres. A bien considérer l’efficacité de la clôture qui entoure la bande de Gaza, il ne peut en être autrement pour ce qui concerne celui de la Judée et de la Samarie.
On comprend mieux, à la lumière des succès attendus, le qualificatif de « raciste » et par conséquence ‘’l’islamophobie’’ des concepteurs de ce mur qui contrera assurément les ‘’fous d’Allah’’ dans leurs stratégies à faire couler le sang juif (ou autre d’ailleurs, comme le démontre malheureusement le crime contre l’humanité commit au sein du restaurant ‘’MAXIM’’à Haïfa).
Un mur qui autorisera parallèlement la réorganisation de Tsahal dans les territoires, une suppression de nombreux check-point, une diminution des effectifs militaires et de leurs présences et par conséquent un mieux vivre pour le peuple palestinien par la réduction considérable de représailles, de couvre-feux et par une liberté de mouvement recouvré.
On saisit mieux alors, à l’aune de ces espoirs, les efforts du porteur de Keffieh et de son entourage à stopper la construction de ce mur qualifié de « nazi » par son ingéniosité à la ‘’ghettoïsation’’ de l’Autorité Palestinienne et par le risque de soulèvement du peuple palestinien qui s’en suivra suite à la lecture et l’appréciation de son bilan catastrophique.
Un mur de séparation et de sécurité pour les deux peuples comme dénommé par le gouvernement israélien, et non pas « d’Apartheid » et de « honte » comme le désignent les suppôts de la guerre, ou encore de « frontières » comme désigné, entre autre, par la France qui condamne son tracé car il met « en cause les frontières de 1967 et préjugent les frontières futures de la Palestine. Le caractère inadmissible de l'acquisition de territoires par la force est un principe fondamental de la résolution 242 du Conseil de sécurité sur laquelle est basé le processus de paix. La France se concertera sans tarder avec ses partenaires européens et les membres du Quartet pour examiner les conséquences qu'il convient de tirer des décisions annoncées hier sur le mur de séparation ».
Cette France qui affirme, précédant en cela toutes négociations sérieuses de la part des acteurs en conflit, que la ligne de cessez le feu de 1949 SERA la frontière entre les deux états sur une base de la traduction française de la résolution 242 de novembre1967 qui exige la restitution « DES territoires occupés» suite à la guerre de légitime défense des six jours, au contraire du texte anglais (seule langue officielle onusienne) qui parle de restitution « DE (from) territoires ».
Cette France qui propose un examen des « conséquences » des actes israéliens et qui demande ensuite à ce petit pays menacé d’éradication depuis sa création (soit 55 ANNEES) de « faire preuve de retenue et[qu’il] s'abstienne[nt] de toute décision irréparable afin de préserver les chances de reprise d'un processus politique (sic) » et cela « malgré la colère et la douleur » dû à l’attentat ignoble et inhumain de HAÏFA.
Cette France qui, par l’interprétation erronée et partiale des lois internationales et sa demande inique à un peuple qui compte déjà près de 850 victimes de crimes contre l’humanité (soit près de 8500 à l’échelle française), poursuit la construction de murs d’incompréhensions entre elle et les démocraties que sont Israël ou encore les USA par sa politique pro-arabe qui l’éloigne des réalités.
La préférence du peuple juif est, sans aucun doute, la destruction de ces murs qui depuis la nuit des temps l’isolent et/ou l’emprisonnent. Mais il y a aussi des murs qui, par leurs protections, sont salvateurs.
Israël en a ici deux parfaits exemples.
On comprend mieux, à la lumière des succès attendus, le qualificatif de « raciste » et par conséquence ‘’l’islamophobie’’ des concepteurs de ce mur qui contrera assurément les ‘’fous d’Allah’’ dans leurs stratégies à faire couler le sang juif (ou autre d’ailleurs, comme le démontre malheureusement le crime contre l’humanité commit au sein du restaurant ‘’MAXIM’’à Haïfa).
Un mur qui autorisera parallèlement la réorganisation de Tsahal dans les territoires, une suppression de nombreux check-point, une diminution des effectifs militaires et de leurs présences et par conséquent un mieux vivre pour le peuple palestinien par la réduction considérable de représailles, de couvre-feux et par une liberté de mouvement recouvré.
On saisit mieux alors, à l’aune de ces espoirs, les efforts du porteur de Keffieh et de son entourage à stopper la construction de ce mur qualifié de « nazi » par son ingéniosité à la ‘’ghettoïsation’’ de l’Autorité Palestinienne et par le risque de soulèvement du peuple palestinien qui s’en suivra suite à la lecture et l’appréciation de son bilan catastrophique.
Un mur de séparation et de sécurité pour les deux peuples comme dénommé par le gouvernement israélien, et non pas « d’Apartheid » et de « honte » comme le désignent les suppôts de la guerre, ou encore de « frontières » comme désigné, entre autre, par la France qui condamne son tracé car il met « en cause les frontières de 1967 et préjugent les frontières futures de la Palestine. Le caractère inadmissible de l'acquisition de territoires par la force est un principe fondamental de la résolution 242 du Conseil de sécurité sur laquelle est basé le processus de paix. La France se concertera sans tarder avec ses partenaires européens et les membres du Quartet pour examiner les conséquences qu'il convient de tirer des décisions annoncées hier sur le mur de séparation ».
Cette France qui affirme, précédant en cela toutes négociations sérieuses de la part des acteurs en conflit, que la ligne de cessez le feu de 1949 SERA la frontière entre les deux états sur une base de la traduction française de la résolution 242 de novembre1967 qui exige la restitution « DES territoires occupés» suite à la guerre de légitime défense des six jours, au contraire du texte anglais (seule langue officielle onusienne) qui parle de restitution « DE (from) territoires ».
Cette France qui propose un examen des « conséquences » des actes israéliens et qui demande ensuite à ce petit pays menacé d’éradication depuis sa création (soit 55 ANNEES) de « faire preuve de retenue et[qu’il] s'abstienne[nt] de toute décision irréparable afin de préserver les chances de reprise d'un processus politique (sic) » et cela « malgré la colère et la douleur » dû à l’attentat ignoble et inhumain de HAÏFA.
Cette France qui, par l’interprétation erronée et partiale des lois internationales et sa demande inique à un peuple qui compte déjà près de 850 victimes de crimes contre l’humanité (soit près de 8500 à l’échelle française), poursuit la construction de murs d’incompréhensions entre elle et les démocraties que sont Israël ou encore les USA par sa politique pro-arabe qui l’éloigne des réalités.
La préférence du peuple juif est, sans aucun doute, la destruction de ces murs qui depuis la nuit des temps l’isolent et/ou l’emprisonnent. Mais il y a aussi des murs qui, par leurs protections, sont salvateurs.
Israël en a ici deux parfaits exemples.
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