Jacques Chirac, du haut du perron de l’Élysée, nous a maintes fois répétés que la France n’est pas antisémite.
Si la France d’en haut ( les autorités élues) n’est pas judéophobe, une frange de la France d’en bas, le devient lentement mais sûrement, et il est exclu de négliger le fait, que le peuple a le soin de choisir ses représentants.
Alors que la communauté juive, à travers ces différentes organisations, le dénonce publiquement depuis fort longtemps, le ministre de l’éducation Luc FERRY dans un article récent, au Monde, le reconnaît.
Les journaux également s’y emploient; notamment Le Nouvel Observateur du 6 Février, à travers plusieurs reportages, dévoile sur le sujet “Ce qu’on n’ose pas dire” (1).
Claude Askolovich, dans cette enquête, nous apprend qu’une judéophobie, parfois violente, se concentre dans une fraction de la communauté arabo-musulmane, qui, entre frustrations sociales et solidarités palestiniennes trouve dans la haine du juif un exutoire à son mal de vivre, à l’exemple de Ménilmontant, travaillé par d’obscures passions, où mosquées intégristes, boisson Mecca Cola et Radio-Méditerranée insufflent insidieusement cette aversion.
En conséquence, coups, blessures et insultes, sont devenus le lot quotidien des juifs dans certaines banlieues, et démentent les chiffres “rassurants” des sondages affirmant une diminution des sentiments antisémites.
Une autre forme de violence, plus subtile, accroît également cette judéophobie: appels aux boycotts, oppositions politiques aux subventions à des associations juives, obstructions de conférences sur la Shoah, e-mails diffamants, traditions journalistiques de ne pas typer les agresseurs, ou encore la reconnaissance du bien-fondé des Protocoles des Sages de Sion ou des accusations de domination mondiale, par Mossad interposé, si nécessaire.
Tout y est dit ou presque, et je vous engage à lire cet article.
Par contre, le Nouvel Observateur ne serait pas l’hebdomadaire que l’on connaît, si mensonge ne s’y serait glissé, comme par habitude journalistique.
Dans un article, non signé, de ce dossier, “Palestiniens contre l’antisémitisme” (2), “la condamnation la plus nette [...]de Leila Shahid, déléguée générale de la Palestine à Paris” affirmant que “le combat anticolonial du peuple palestinien n’a rien à voir avec l’antisémitisme”, est venue ternir l’éclat de ce reportage.
Comment ce magazine pourra-t-il, dans un avenir proche, sans être une nouvelle fois contraint de se désavouer, expliquer que les livres scolaires, la télévision ou encore les journaux- dont l’édition, la rédaction et la diffusion sont sous la responsabilité de l’AP- enseignent la haine, encouragent les actes terroristes et encensent les kamikazes.
Parallèlement, la ministre israélienne de l’Éducation nationale, Limor Livnat, dans le but de faire cesser tout financement de l’Europe aux livres scolaires palestiniens, a remis dernièrement quelques exemplaires à l’ambassadeur du Danemark à Tel-Aviv, à destination de son gouvernement.
Il est un acte antisémite, et non le moins grave, que Jean Daniel et ses journalistes ont omis de préciser.
Celui de la désinformation systématique du conflit proche-oriental, aux seuls détriments d’Israël, des Israéliens et finalement des juifs du monde entier.
(1)Ce qu'on n'ose pas dire: http://www.nouvelobs.com/dossiers/p1996/a90429.html
(2)Palestiniens contre l'Antisémitisme:http://www.nouvelobs.com/dossiers/p1996/a90434.html
L'adresse des autres articles du dossier:
Mare de la Shoah: http://www.nouvelobs.com/dossiers/p1996/a90431.html
Pourquoi le mal court: http://www.nouvelobs.com/dossiers/p1996/a90430.html
Être juif en terre d'islam: http://www.nouvelobs.com/dossiers/p1996/a90432.html
Scandale à l'égyptienne: http://www.nouvelobs.com/dossiers/p1996/a90433.html
Si la France d’en haut ( les autorités élues) n’est pas judéophobe, une frange de la France d’en bas, le devient lentement mais sûrement, et il est exclu de négliger le fait, que le peuple a le soin de choisir ses représentants.
Alors que la communauté juive, à travers ces différentes organisations, le dénonce publiquement depuis fort longtemps, le ministre de l’éducation Luc FERRY dans un article récent, au Monde, le reconnaît.
Les journaux également s’y emploient; notamment Le Nouvel Observateur du 6 Février, à travers plusieurs reportages, dévoile sur le sujet “Ce qu’on n’ose pas dire” (1).
Claude Askolovich, dans cette enquête, nous apprend qu’une judéophobie, parfois violente, se concentre dans une fraction de la communauté arabo-musulmane, qui, entre frustrations sociales et solidarités palestiniennes trouve dans la haine du juif un exutoire à son mal de vivre, à l’exemple de Ménilmontant, travaillé par d’obscures passions, où mosquées intégristes, boisson Mecca Cola et Radio-Méditerranée insufflent insidieusement cette aversion.
En conséquence, coups, blessures et insultes, sont devenus le lot quotidien des juifs dans certaines banlieues, et démentent les chiffres “rassurants” des sondages affirmant une diminution des sentiments antisémites.
Une autre forme de violence, plus subtile, accroît également cette judéophobie: appels aux boycotts, oppositions politiques aux subventions à des associations juives, obstructions de conférences sur la Shoah, e-mails diffamants, traditions journalistiques de ne pas typer les agresseurs, ou encore la reconnaissance du bien-fondé des Protocoles des Sages de Sion ou des accusations de domination mondiale, par Mossad interposé, si nécessaire.
Tout y est dit ou presque, et je vous engage à lire cet article.
Par contre, le Nouvel Observateur ne serait pas l’hebdomadaire que l’on connaît, si mensonge ne s’y serait glissé, comme par habitude journalistique.
Dans un article, non signé, de ce dossier, “Palestiniens contre l’antisémitisme” (2), “la condamnation la plus nette [...]de Leila Shahid, déléguée générale de la Palestine à Paris” affirmant que “le combat anticolonial du peuple palestinien n’a rien à voir avec l’antisémitisme”, est venue ternir l’éclat de ce reportage.
Comment ce magazine pourra-t-il, dans un avenir proche, sans être une nouvelle fois contraint de se désavouer, expliquer que les livres scolaires, la télévision ou encore les journaux- dont l’édition, la rédaction et la diffusion sont sous la responsabilité de l’AP- enseignent la haine, encouragent les actes terroristes et encensent les kamikazes.
Parallèlement, la ministre israélienne de l’Éducation nationale, Limor Livnat, dans le but de faire cesser tout financement de l’Europe aux livres scolaires palestiniens, a remis dernièrement quelques exemplaires à l’ambassadeur du Danemark à Tel-Aviv, à destination de son gouvernement.
Il est un acte antisémite, et non le moins grave, que Jean Daniel et ses journalistes ont omis de préciser.
Celui de la désinformation systématique du conflit proche-oriental, aux seuls détriments d’Israël, des Israéliens et finalement des juifs du monde entier.
(1)Ce qu'on n'ose pas dire: http://www.nouvelobs.com/dossiers/p1996/a90429.html
(2)Palestiniens contre l'Antisémitisme:http://www.nouvelobs.com/dossiers/p1996/a90434.html
L'adresse des autres articles du dossier:
Mare de la Shoah: http://www.nouvelobs.com/dossiers/p1996/a90431.html
Pourquoi le mal court: http://www.nouvelobs.com/dossiers/p1996/a90430.html
Être juif en terre d'islam: http://www.nouvelobs.com/dossiers/p1996/a90432.html
Scandale à l'égyptienne: http://www.nouvelobs.com/dossiers/p1996/a90433.html
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