Cela fait près de deux années qu’Israël, les Israéliens et les diasporas juives subissent la désinformation des différents médias européens, et principalement de la France, quant à la présentation des faits en provenance du conflit proche oriental.
Jacques Tarnero et Philippe Bensoussan ont ressenti le besoin de réaliser le film documentaire “Décryptage“ dénonçant méthodiquement ces abus, et Sophie Dulac celui de le produire financièrement et de le distribuer.
Seule salle disposée à la diffusion, celle appartenant à la productrice, faute d’autres exploitants volontaires.
Boycott ou peu d’espoir de gains financiers?
Dans les deux cas certains médias, notamment mis en cause dans l’essai, n’ont pas été mécontent de cet état de fait.
C’était sans compter sur la persévérance de la communauté juive et de sa participation entière a l’engagement d’Israël pour sa survie.
Jacques Tarnero nous l’affirme: en huit jours plus de douze mille entrées, une deuxième salle sur la région parisienne, ainsi que d’autres en provinces, et des pays francophones comme la Belgique, la Suisse et le Québec qui sont sur le rang.
Gageons que dans peu de temps, les pays anglo-saxons et Européens désireront des copies, et qu’en conséquence de la pression du nombre grandissant de spectateurs à travers le monde, les médias et les journalistes mis en cause seront contraints de confirmer ou d’infirmer les accusations soutenues.
Comme celle portée à l’encontre d’Olivier Mazerolle et France 2 qui devront se justifier de l’imputation formelle du meurtre de l’enfant palestinien Mohammed Al Dura aux Israéliens, alors quils ne pouvaient pas l’atteindre de leur poste de tirs.
Ou celle à Edwy Plenel et au Monde qui devront expliquer leur éternelle représentation du conflit et leurs dérapages obligés, alors qu’Israël est en guerre existentiel et non pas un pays colonisateur.
Ou bien encore à Serge July et Libération qui devront éclaircir l’interprétation fausse d’une photo révélant le sauvetage d’un civil juif par un militaire israélien d’origine druze, et non pas le matraquage d’un palestinien par la soldatesque israélienne.
Ainsi que tous les vecteurs de l’information, qui ont volontairement occultés les renseignements importants à la compréhension du conflit.
Misons et espérons que, d’ici là, des promotions opportunes viendront éloigner les journalistes incriminés, rétablira la probité intellectuel de tous ces médias et apposera un terme à cette constance journalistique.
Jacques Tarnero et Philippe Bensoussan ont ressenti le besoin de réaliser le film documentaire “Décryptage“ dénonçant méthodiquement ces abus, et Sophie Dulac celui de le produire financièrement et de le distribuer.
Seule salle disposée à la diffusion, celle appartenant à la productrice, faute d’autres exploitants volontaires.
Boycott ou peu d’espoir de gains financiers?
Dans les deux cas certains médias, notamment mis en cause dans l’essai, n’ont pas été mécontent de cet état de fait.
C’était sans compter sur la persévérance de la communauté juive et de sa participation entière a l’engagement d’Israël pour sa survie.
Jacques Tarnero nous l’affirme: en huit jours plus de douze mille entrées, une deuxième salle sur la région parisienne, ainsi que d’autres en provinces, et des pays francophones comme la Belgique, la Suisse et le Québec qui sont sur le rang.
Gageons que dans peu de temps, les pays anglo-saxons et Européens désireront des copies, et qu’en conséquence de la pression du nombre grandissant de spectateurs à travers le monde, les médias et les journalistes mis en cause seront contraints de confirmer ou d’infirmer les accusations soutenues.
Comme celle portée à l’encontre d’Olivier Mazerolle et France 2 qui devront se justifier de l’imputation formelle du meurtre de l’enfant palestinien Mohammed Al Dura aux Israéliens, alors quils ne pouvaient pas l’atteindre de leur poste de tirs.
Ou celle à Edwy Plenel et au Monde qui devront expliquer leur éternelle représentation du conflit et leurs dérapages obligés, alors qu’Israël est en guerre existentiel et non pas un pays colonisateur.
Ou bien encore à Serge July et Libération qui devront éclaircir l’interprétation fausse d’une photo révélant le sauvetage d’un civil juif par un militaire israélien d’origine druze, et non pas le matraquage d’un palestinien par la soldatesque israélienne.
Ainsi que tous les vecteurs de l’information, qui ont volontairement occultés les renseignements importants à la compréhension du conflit.
Misons et espérons que, d’ici là, des promotions opportunes viendront éloigner les journalistes incriminés, rétablira la probité intellectuel de tous ces médias et apposera un terme à cette constance journalistique.
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