Au mois de Mars 2002, il y eu en Israël un véritable massacre de civils innocents. D’inoffensifs religieux juifs furent assassinés froidement le soir du Séder de Pâques au Park Hôtel à Netanya par l’islamikaze envoyé par Arafat.
Trente personnes succombèrent, et plusieurs dizaines d’entre eux resteront à jamais marqués physiquement et bien sûr psychologiquement. En Avril, Ariel Sharon expédia Tsahal mettre un terme à ce génocide qui ne disait pas son nom.
Le monde entier connaît donc l’épopée de Jénine et la mascarade qui l’entoure. Israël aurait massacré 5000 Palestiniens, puis 500, puis 80, pour ne s’établir, selon un décompte officiel de l’ONU, à 51 Palestiniens dont 3 civils et à 23 soldats Israéliens.
Mohammed Bakri, comédien arabe israélien, en fit un ‘’film’’ « Jenine, Jenine » qui fut interdit de projection en Israël par la justice de ce pays pour cause d’accusations mensongères. Film qui enchanta par contre tous les médias opposés à la ligne de légitime défense israélienne, à l’image par exemple de ARTE qui fut contraint- par l’action de la communauté juive française- de renoncer à sa diffusion le 01 Avril 2003 lors d’une soirée thématique sur le dialogue israélo-palestinien (sic).
Pierre Rehov, à qui l'on doit déjà les différentes pellicules de "Contre-Champs", se révoltant contre cette propagande palestinienne et la manipulation médiatique qui en découle, a décidé de lutter avec les armes qui sont les siennes, à savoir des images prises par des drones israéliens, des interviews de soldats Israéliens, de témoins Palestiniens et de volontaires étrangers, démontant méthodiquement les accusations de la propagande palestinienne.
Si je vous rappelle tout cela à nouveau, c’est pour vous instruire du refus de France 2, France 3 et ARTE (encore elle) d’acquérir les droits de diffusion de son film « La Route de Jenine ». Les chaînes publiques sont réellement le miroir du Quai d’Orsay.
Pour France 3, l’Unité Documentaires a informé par courrier, Laurence Meyer attachée de presse de Pierre Rehov, « de ses regrets de ne pas retenir, après visionnage, le film ».
Pour France 2, Yves Jeanneau, Directeur de l’Unité Documentaire, regrette lui aussi « de ne pouvoir donner une suite favorable, malgré la qualité du projet »(re sic).
Pour ARTE, le rejet est cause d’une toute autre raison. Thierry GARREL, Directeur de l’Unité de Programme, est « au regret de vous informer qu’il n’a pu être retenu. En effet ce film ne correspond pas aux EXIGENCES DE NOTRE LIGNE EDITORIALE »( re-re sic).
C’est dit et écrit. Le film dénonçant les montages, trucages, accusations, diffamations, mensonges, n’a pas et n’aura pas de raisons de diffusions sur cette chaîne. La ligne éditoriale d’ARTE ne compose que sur la seule dénonciation du peuple juif et Israélien. Le téléspectateur nourrissant Garrel et ses comparses par sa redevance, ne pourra être informé de la vision israélienne du combat à Jenine, pour cause d’idéologie de cette rédaction, qui se propose - selon Laurence Meyer- de diffuser dès septembre prochain le film de Mohammed Bakri.
A nous tous, à nouveau, d’agir intelligemment pour interdire à ces manipulateurs de l’information de conditionner le public à un réflexe antisémite et anti-israélien. Que le téléphone, la télécopie, le courrier postal et électronique s’activent.
Nous finirons, tôt ou tard, par leur rappeler que les Justes nous les honorons et les bourreaux et leurs complices nous les traînons en Justice.
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