samedi 29 octobre 2005

L’Islam est le danger

Ainsi, le président iranien Mahmoud Ahmadinejad -élu récemment par une élection parodiant celles de nos démocraties- a déclaré, lors d’une conférence intitulée « Le monde sans sionisme », qu’Israël doit être « rayé de la carte (…) comme l’a dit l’imam Khomeyni » ; « La nation musulmane ne permettra pas à son ennemi historique de vivre en son cœur même ».

Son ministre des Affaires étrangères, Manouchehr Mottaki, a renchéri en affirmant qu’« Israël est un état illégitime qui doit disparaître de la carte du monde, et la condamnation internationale des propos du président ne servent qu'à couvrir les crimes perpétrés par l'Etat hébreu contre les Palestiniens ».

Mais qu’ai je donc fait, moi qui suis nouvellement installé en Israël, pour être condamné à devenir ( comme mes pères ) apatride et en quête de nouvelle terre d’accueil ?

Qu’a donc fait mon fils âgé seulement de six ans, mais aussi tous ses camarades d’écoles, pour mériter le même sort, alors que le caveau des patriarches, le tombeau de Joseph, la tombe de Rachel ou, encore mieux, le Mur des Lamentations -vestige du Temple saint du Judaïsme- sont les preuves ( parmi d’autres ) intangibles de la présence de ses aïeux en cette terre mais aussi de la culture qui la marque à tout jamais ?

Faut il, parce que conquit par la force (déjà !), que le peuple juif renonce à ses droits historiques sur cette terre face à l’exigence musulmane ?

Il est donc temps que le monde des lumières -celui de la Liberté, l’Egalité et la Fraternité pour tous les hommes- comprenne que l’Islam EST le danger -présent et à venir- pour avoir enfanter l’islamisme. Doctrine sectaire qui, après avoir combattu les Juifs, se retournera contre les Chrétiens, les Protestants, les Bouddhistes, les Mécréants et autres Laïques.

Il est temps, également, que les musulmans modérés, si ils existent, bataillent contre cette guerre de civilisation qui s’annonce, mais aussi qu’ils épurent du Coran tous les versets sataniques s’y trouvant jusqu’à le réduire à sa plus simple expression. A savoir l’amour du prochain quel qu’il soit.

Dans l’attente de ce temps, qui prendra un certain temps -voire un temps certain vu les lâchetés et les intérêts mercantiles des uns et des autres-, j’appuierai de toutes mes forces les décisions du gouvernement israélien, quel qu’il soit, de foutre une belle claque à tous ces tarés d’Allah avant même qu’ils finissent de préciser leurs menaces.

Cela sera de la légitime défense, n’en déplaise à tous les thuriféraires médiatiques de l’Islam.

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Sur le même sujet, voir cette vidéo : Qui a peur de l'Islam ?

lundi 24 octobre 2005

A quoi sert R.S.F. ?

On connaît tous l’ONG Reporter Sans Frontière, présidée par Robert Ménard, qui a comme combat unique la liberté de la presse à travers la planète. Noble combat que nul, sauf à être considéré comme censeur, ne peut désavouer, voire combattre. Cependant, il est des luttes de progrès, qu’à trop étreindre, elles finissent par se pervertirent et donner des résultats contraires à toutes attentes conforment aux valeurs et aux droits de nos sociétés occidentales.

Il en est ainsi, faut il se le rappeler, du voyage à Beyrouth du Président de cette Ong, afin de soutenir la télévision du Hezbollah Al-Manar dans son désir d’émettre LIBREMENT son programme antisémite sur la fréquence européenne. Que cette Ong fut la seule association occidentale à faire le déplacement n’embarrassa guère, semble t-il, sa direction et encore moins les militants.

Il en est ainsi, encore, de la liste de « Prédateurs de la liberté de la presse » publiée sur son site Internet et où Ariel Sharon côtoyait que de la ‘’bonne compagnie’’. Tels les dictateurs iranien, syrien et autre coréen.

Dans ces deux exemples n’est pourtant pas le plus absurde et dangereux.

Depuis quatre années, cette association publie un « Classement mondial de la liberté de la presse » en se basant sur les réponses, à un questionnaire pré-établi, de son réseau de 130 correspondants, mais aussi de journalistes, de chercheurs, de juristes, de militants des droits de l’homme ou d’organisations partenaires dans la défense de la liberté d’expression dispersées sur les cinq continents. Bref ! Un panel choisi d’intellectuels sensés nous informer, par leurs réponses supposées objectives, du niveau exact de liberté dans chaque contrée.

Et pourtant, chaque publication de ce ‘’baromètre’’ nous donne l’occasion de mesurer le degré d’idéologie nauséeuse qui dénature l’objet de cette Ong.

Il en est ainsi de celui de 2002, qui nous indiqua, contre toute attente, que la seule démocratie du Proche et du Moyen-Orient -Israël- ne méritait pas mieux que la 92e place des 139 pays sélectionnés. Il est vrai que le classement fut établi quelques mois après le « massacre de Djenine » que la presse -libre de toute rigueur-, dans son ensemble, s’empressa de dévoiler. Cependant, la surprise vint de la 82e place obtenue par l’Autorité palestinienne alors présidée par le Raïs défunt, « empoisonné » depuis, paraît il, par « l’entité sioniste ». Place qui laisse logiquement déduire que les clips vidéo et/ou les prêches d’Imams (parmi d’autres ), diffusés par la télévision d’état ‘’palestinienne’’, exprimant la haine du Juif et de l’Israélien, reflètent les choix de journalistes libres et indépendants de toutes pressions venant de plus haut…

LIBERTE de médire que les journalistes israéliens, dignes de ce métier, refusent d’acquérir, cela va sans dire.

Le classement de 2003, suite au ridicule de la classification de 2002, fut contraint de revoir la ‘’notation’’ d’Israël et de l’Autorité palestinienne. Ainsi ‘’l’attitude’’ des autorités israéliennes envers la presse fut scindée en deux fractions. La première concerna l’intérieur de la ligne d’armistice de 1949 qui obtint la 44e place, et la seconde -‘’observée’’ en Judée, Samarie et Gaza- mérita la 146e place, bien après des pays tels que le Soudan (alors en plein génocide du Darfour que la presse eut du mal à faire connaître), le Liban occupé par la dictature syrienne, ou encore le Zimbabwe redistribuant de force les terres agricoles labourées et appartenant depuis des lustres à les blancs natifs du pays. 146e place acquise ( probablement ) parce que les « Israéliens prennent plaisir à humilier les ‘’Palestiniens’’ », dixit un ‘’intellectuel’’ français palestinophile…

L’Autorité palestinienne, quant à elle, recula à la 130e place. Les yeux des ‘’observateurs’’ interrogés par RSF se sont, semble t-il, alors ouverts cette année là.

Le classement de 2005, quant à lui, met l’accent sur le recul de plusieurs démocraties occidentales. Israël, « suite à l’expulsion d’une journaliste française en juillet dernier ». Les Etats Unis, de par « l’incarcération de la reporter du New York Times, Judith Miller, et de mesures judiciaires qui mettent à mal la protection du secret des sources ». Le Canada qui « transforment les journalistes en ‘’auxiliaires de justice’’ ». Ou encore la France « par les perquisitions de locaux de médias, des gardes à vue de journalistes et la création de nouveaux délits de presse ».

La ‘’démocratie palestinienne’’, quant à elle se morfond à la 132e place (sur 167 pays) suite à l’enlèvement de quatre journalistes.

Classement 2005 qui prouve, si besoin était, que le journalisme selon RSF ne peut souffrir des lois écrites par les représentants du peuple, mais aussi des contraintes judiciaires que le commun des mortels est sensé respecter. Une liberté non négociable, exigée par une pression ‘’abusive’’ sur les élus, craintifs de se voir vilipendés à longueur de colonnes et perdre ainsi les suffrages de leurs électeurs et, donc, leurs emplois.

Attitude exécrable d’un ‘’quatrième pouvoir’’, qui se veut représenté par une Ong financée par les deniers publics et s’attribuant d’office une place de juge de nos consciences et des valeurs des Droits de l’Homme, surtout lorsqu’il s’agit de ‘’journalistes’’.

Pour être tout à fait honnête et complet, il faut reconnaître que RSF -à travers ce travail de notation annuel- affirme, en une ligne, ne pas réaliser un « indicateur de la qualité de la presse ».

Effectivement ! Il ne faut pas confondre la liberté de l’information et celle de l’endoctrinement.

vendredi 21 octobre 2005

Arafat, le poison éternel du Juif

(Article paru dans le bi-mensuel francophone et israélien du 21 octobre 2005 : L’ENJEU )

En matière de propagande anti-israélienne et antisémite, l’Autorité palestinienne, créée dans la foulée des accords d'Oslo, n’a pas dérogé aux règles établies depuis de très longues décennies par les gouvernements arabo-musulmans : la haine du Juif, de ‘l’entité sioniste’, de la culture israélienne et du Judaïsme a été érigée en système politique et a sans cesse rythmé les discours officieux des dirigeants palestiniens. Fidèle à ces principes, et cherchant une fois de plus à nuire à l’honneur d’Israël, l’AP vient de créer une commission d’enquête chargée de faire la lumière sur la mort d’Arafat.

Le Conseil législatif palestinien – nonobstant la frayeur que ses députés ont endurée en apercevant des policiers envahir leur lieu de débats et faisant usage de leurs armes afin d’obtenir au plus vite la réalisation de leurs exigences professionnelles – a constitué une commission d’enquête sur la mort de leur Raïs, Yasser Arafat, cherchant ainsi à détourner l’attention de leur peuple de la misère qui le gangrène et de la corruption qui ronge la classe dirigeante. Une fois encore Israël a été accusé, une fois encore Israël doit faire face à la pire des diffamations, l’empoisonnement.

Alors qu’elle est dans l’impossibilité d’accéder officiellement au dossier médical, que seuls les proches parents peuvent consulter, cette commission parlementaire s’est fixé pour objectif d’établir la vérité sur les possibilités réelles d’empoisonnement de leur chef mythique. Mais le bruit qui a été fait autour de la création de cette commission est surtout destiné à accréditer au sein de la population la thèse de la culpabilité israélienne. A l’époque de la mort du chef de l’OLP, les autorités médicales françaises avaient délivré un permis d’inhumer le cadavre, sans saisir auparavant la justice française comme la loi du pays les y oblige dans le cas de soupçons de meurtre. Cependant, la commission parlementaire palestinienne a été nommée malgré le fait que la veuve d’Arafat, Souha, refuse toute autopsie et que la première commission instituée par le cabinet palestinien, il y a plusieurs mois, n’a toujours pas rendu son rapport. Ce qui, évidemment, n’embarrasse nullement les représentants politiques les plus en vu du clan arafatien pour désigner Israël comme ‘empoisonneur’ de leur chef.

Sur quoi repose l’accusation ?

Leila Shahid, alors représentante de l’Autorité palestinienne en France, affirmait que la thèse de l’empoisonnement « …n’est pas seulement une rumeur. C’est une conviction profonde très logique » car « …les Israéliens ont essayé de se débarrasser de Yasser Arafat, depuis l’arrivée de Sharon au pouvoir (…) Je ne peux pas vous dire que, médicalement, nous en ayons les preuves » mais « les médecins n’ont pas démenti… » (sic). Autre affirmation ! Le neveu du Raïs, Nasser al-Kidwa, à l’époque représentant permanent de l’Autorité palestinienne auprès de l’ONU, ajouta son accusation sans appel à celle de Shahid en affirmant que la possibilité que le défunt ait été empoisonné était « notre plus grand soupçon. Si sa mort était normale, il aurait été possible d'établir un diagnostic, (…) mais la condition de Yasser Arafat était si compliquée qu'aucun diagnostic n'était possible » (re sic).

Transféré du poste de représentant auprès de l’ONU au poste de responsable des Affaires étrangères de l’AP, Nasser al-Kidwa récidive récemment dans une interview à un journal Koweïtien en réclamant, cette fois-ci, une enquête sur la probable implication du Premier ministre israélien Ariel Sharon dans la décision de cet ‘assassinat politique’. Accusation qui entretiendra, voire ravivera, au sein de la population palestinienne la haine des Israéliens, et en conséquence des Juifs, faisant ainsi le jeu du Hamas qui attend des jours meilleurs pour l’instauration d’un Etat islamique du Jourdain à la mer méditerranée. Fidèle parmi les fidèles du clan arafatien, il est donc fort concevable de douter de la volonté du responsable des Affaires étrangères de l’AP de collaborer à l’effort de cohésion nationale et de développement économique, aussi minime soit-il, de son président Mahmoud Abbas. Les personnages les plus hauts placés dans la hiérarchie de l’Autorité palestinienne n’hésitent pas à accuser, sans preuves sérieuses, le peuple israélien, comme l’ont fait bien avant eux tant de nations cherchant des excuses à leurs exactions qui allaient du simple vol jusqu’aux meurtres et se transformaient, au fil de leur barbarie, en pogroms et génocides. Attitude largement partagée par d’autres procureurs permanents du peuple juif. L’icône du peuple palestinien est devenue également l’icône du combat anti-israélien, quel que soit le gouvernement en place.

Ouri Avinéri, de l’association israélienne Goush Shalom, affirme dans un article intitulé ‘Qui a tué Arafat’ publié le mois dernier : « Dès le premier moment, j’étais sûr qu’Arafat avait été empoisonné. » Affirmation péremptoire, corroborée dans son texte par une analyse succincte des intérêts ponctuels des Israéliens, voire de ceux des américains. De surcroît, il tente de crédibiliser sa position par le fait qu’il se proposa volontairement par deux fois comme ‘bouclier humain’ pour défendre la vie d’Arafat (sans préciser pour autant les circonstances exactes des événements). Ce même Arafat qui n’hésitait pas à donner son aval aux exécutions sommaires de prétendus ‘collaborateurs’ d’Israël, ordonnées dans des simulacres de procès, ou à encourager (en arabe seulement) les crimes contre l’humanité contre le peuple juif. Comme on le constate, Israël et le peuple juif n’ont que l’embarras du choix du tribunal. Mais qu’en est-il du fond du dossier ? Y a t-il réellement l’ombre d’un début d’une hypothèse ?

Le fantasme du Juif empoisonneur

Deux journalistes du quotidien israélien Haaretz, Avi Isasharof et Amos Harel, ont eu accès, par des voies détournées, au dossier médical. Selon Associated Press, les médecins qui ont établi ce dossier médical précisent : « Le dirigeant palestinien a succombé à une ‘hémorragie cérébrale massive’ après avoir souffert d'inflammation intestinale, d'une jaunisse et d'un problème sanguin [une coagulation intravasculaire disséminée (CIVD)], sans donner, pour autant, la cause précise de cet état qui peut avoir plusieurs origines, comme une colite, une maladie du foie ou une déficience immunitaire dont les symptômes sont semblables au VIH ». Ces indices autorisent, au vu de l’âge du défunt, la supposition de maladies naturelles entraînant le décès, comme par exemple la cirrhose du foie qui, dans le contexte musulman, est mal perçue. D’où l’intérêt politique de l’accusation de meurtre par empoisonnement. Avantage propagandiste qui permet d’auréoler la ‘victime’ et de noircir l’éternel ‘coupable’ désigné à la vindicte de la foule planétaire par la grâce de la participation (volontaire ou non) des principaux médias dans le monde.

Ce fantasme du Juif empoisonneur est devenu au fil du temps un véritable mythe antisémite. Pour s'en persuader, il suffit de revenir sur la très longue liste des charges portées contre ces derniers dès le début du Moyen Age. Souillure des hosties à l'époque de l'Inquisition; fable du Juif errant traînant derrière lui épidémies et calamités; puits empoisonnés pendant la Grande Peste noire au 14ème siècle; ‘Protocole des sages de Sion’, texte controuvé de 1900 dont le 10ème chapitre attribue la volonté aux Juifs de répandre des épidémies sur le monde; ‘infection juive’ à Paris en 1920; typhus du ghetto de Varsovie en 1940; ‘complot des docteurs juifs’ de Staline en 1956 ou ‘scandale du chewing-gum empoisonné’ par le Mossad en Egypte en 2002. Nul ne peut donc nier que l’amalgame ‘Juif-poison’ a été, et reste encore, un catalyseur puissant de la haine antisémite. On est donc en droit tout naturellement de s’interroger sur cette dernière controverse qui permet aux adeptes de cette nouvelle ‘conspiration juive’ de retrouver leur force et une certaine cohésion identitaire face à un ennemi invisible : les services secrets israéliens chapeautés, du fait de son poste de Premier Ministre, par Ariel Sharon, surnommé par les mêmes thuriféraires du Raïs défunt le ‘boucher de Sabra et Chatila’, bouc émissaire ‘privilégié’ de tout ce petit monde. Tout cela démontre que les préoccupations des dirigeants de l’Autorité palestinienne sont encore très éloignées des valeurs véhiculées par la démocratie et cette triste constatation préfigure un bien sombre futur pour la région.

mercredi 19 octobre 2005

Une palme pour la haine

A la lecture de certains articles, rédigés par certains journalistes de journaux bien identifiés, la certitude de lire des tracts idéologiques, et non plus des rapports de rédacteurs honnêtes et scrupuleux ayant désir d’informer leurs lecteurs, est acquise. Une certitude inquiétant tout démocrate épris du juste combat des Droits de l’homme.

Gilles PARIS, envoyé spécial du quotidien Le Monde en Israël, n’a plus à faire ses preuves quant à l’idéologie qui l’anime. Ni, d’ailleurs, le journal qui l’emploie.

Dans un article paru le 13 octobre et intitulé « Israël : pénurie de palmes pour la fête des cabanes », le conjoint de Stéphanie Le Bars, autre ‘’idéologue’’ du quotidien parisien, nous offre l’occasion d’effacer tout doute quant à son désir de nuire, au mieux, à l’état juif.

Ainsi, au détour de paragraphes nous exposant les problèmes des autorités israéliennes à importer la quantité de palmes de dattier nécessaires à la fête des cabanes commémorant l’errance à la sortie d’Egypte, le pigiste nous informe que « Dans l'urgence, le gouvernement israélien s'est tourné vers la bande de Gaza qu'il vient d'évacuer, puis de bombarder ».

De telles assertions dans des textes aussi anodins, évacuant toute explication quant à la raison de ces bombardements, confirment le parti pris anti-israélien de Paris. Un journaliste honnête et scrupuleux aurait indiqué précédemment le nombre de victimes israéliennes causées par la salve de « roquettes artisanales » tirée à partir de ce territoire.

Mais Gilles Paris ne fait pas parti de cette catégorie !

A preuve, s’il en fallait absolument une deuxième, l’affirmation dans ce même texte -et suite à l’allégation précédente du « Juif assassin »- de la qualité du « Juif rapace » laissant seulement « transiter par le point de passage de marchandises (…) Karni, fermé depuis fin septembre mais qui a opportunément rouvert » les quelques milliers de palmes coupées dans la bande de Gaza.

Assertion mensongère à croire L’Associated Press qui rapporte que « (…) selon les Palestiniens, (et afin de) réduire la pénurie de fruits et de produits laitiers dans le territoire, Israël à rouvert le point de passage de Karni situé à la frontière de la bande de Gaza (qui) était fermé de façon quasi continu depuis le 24 septembre, après des tirs de roquettes contre Israël. (…) ».

Peu de doutes ne demeurent, quant à l’animosité que porte Gilles Paris envers la démocratie israélienne garante, parmi d’autres, des valeurs qui lui permettent de penser et de vivre librement dans un monde devenant, de plus en plus, instable et menaçant pour notre civilisation.

La seule question qui reste à poser est de savoir l’objectif de l’idéologie qui l’anime…

Un propagandiste antisémite, agirait il si différemment ?

jeudi 29 septembre 2005

Ras-le-bol de ces propagandistes !

Ils sont pléthores les ‘’journalistes’’ nous ‘’informant’’ de ce que doit être la lecture ( la vraie ) du conflit israélo-arabe. On savait entre autre, grâce à Pierre Marcelle journaliste (sic) à Libération, que les ‘’Palestiniens’’ brûlèrent les synagogues de la bande de Gaza en ‘’riposte’’ à l’acte ignoble israélien de ne pas les avoir détruites avant le désengagement unilatéral.

D’autant plus, que ces derniers indiquèrent, par manque de délicatesse, qu’il s’agissait de lieux saints du Judaïsme. Insupportable à tout apôtre taré d’Allah.

On sait aujourd’hui, grâce à un autre journaliste (re sic) -thuriféraire de la même cause défendue par le pigiste de Libé (quelle est elle exactement ?)- que la raison de « la pluie de roquettes artisanales Quassam » tirée récemment sur le territoire israélien n’est que la résultante de la volonté d’Ariel Sharon d’ « empêcher la participation du mouvement islamiste radical aux élections législatives palestiniennes, prévues en janvier. ».

Textuellement copié de l’article publié dans Le Figaro, de Patrick Saint Paul (encore lui !), intitulé « Israël repart en guerre contre le Hamas » et qui donne sens à une inversion des responsabilités de chacun après nous avoir ‘’dévoiler’’ les arcanes du cerveau du Premier Ministre Ariel Sharon.

Pamphlet induisant, en conclusion, une forte interrogation quant au but véritablement poursuivi par ce propagandiste. Que de temps et d’effort lui a t-il fallu pour la rédaction de ce texte, aux fins ‘’d’innocenter’’ les bourreaux hamassiens des 19 ‘’victimes palestiniennes’’ puis donner corps à l’accusation de l’Israélien comploteur, conspirateur contre la paix régionale, et donc forcément mondiale.

Que penser, finalement, de tous ces ‘’journalistes’’ empreints de cette endoctrinement ? Sinon un dégoût profond de leur travail consacré, consciemment ou non, à l’affaiblissement du régime démocratique israélien, voire à l’éradication pure et simple du seul état juif.

Est il donc si « politiquement incorrect » d’apercevoir, tout simplement, un peuple se refusant à détruire des lieux, qui furent consacré à la prière, pour cause de respect de la foi de ses croyants et non pas pour un dessein machiavélique comme l’ont laissé entendre certains plumitifs ?

N’appelait on pas « barbares » ceux qui, dans les siècles passés, profanèrent, saccagèrent et/ou brûlèrent les lieux saints appartenant à la partie adverse dominée lors de conflit ?

De nos jours, lorsque cela concerne l’Etat d’Israël, une autre approche est systématiquement employée, malgré que ce pays, en la matière, à eu maintes occasions de prouver sa considération envers la palette de religions qui garnissent son territoire.

Est il, encore, si « politiquement incorrect » de comprendre tout simplement la volonté d’un peuple, et de ses représentants, de se défendre contre toute attaque provenant de l’extérieur -lorsque cet ennemi, de surcroît- prend excuse d’un ‘’accident de travail’’ en son sein pour entamer une « flambée de violence » au frais d’innocentes victimes- et non pas pour une quelconque raison politicienne ?

Quel autre nation aurait souffert « une pluie de roquettes artisanales Quassam » sans apporter de réponses aux fins d’enrayer toutes nouvelles tentatives meurtrières à son égard ?

Gageons, sans trop de risque, que ces mêmes propagandistes, accusateurs d’Israël, prendraient le fusil pour défendre leur bien propre.

Que faire contre tous ces ‘’journalistes’’ qui, sous couvert d’information, propagent la haine, le dédain, la répugnance de l’Israélien et donc, somme toute, du Juif ? Uniquement continuer à les désigner d’un doigt accusateur pour les marquer dans la conscience collective afin de pouvoir les condamner fermement lorsque le « politiquement correct » ne sera plus d’actualité.

Il y aura, alors, un sacré ménage à faire.

jeudi 15 septembre 2005

P.S.P., ou l’art de la propagande

On ne présente plus l’envoyé ( très spécial ) du Figaro en Israël, Patrick Saint-Paul, du fait de sa popularité croissante suscitée par sa très grande partialité dans le conflit israélo-arabe. On peut, sincèrement, se demander si lui-même croit à ses écrits journalistiques et/ou s’il prend les lecteurs du quotidien qui l’emploie pour des imbéciles.

C’est en tous les cas les questions que tout lecteur sensé se pose après la lecture de son dernier ‘’conte’’ publié par Le Figaro, où sévit, pourtant, l’excellent Yvan Rioufol. Un ‘’conte’’ intitulé « La liberté précaire des Palestiniens de Gaza » et écrit de façon à faire dresser les cheveux des petits enfants qui ne sont ni Juifs et/ou ni Israéliens. Car ces derniers en rigoleraient plutôt, si n’était la situation tragique de leurs pays.

Après nous avoir indiqué que les soldats israéliens ont quitté la maison de Hussein El-Aidi seulement après avoir « attendu jusqu’au dernier moment pour décrocher leur drapeau » et « sans un mot d’adieu pour la famille, qui les a accueillis, malgré elle, durant cinq ans », P.S.P. s’emploie à nous ‘’démontrer’’ toute la ‘’rudesse et le mépris’’ de ces Israéliens qui « prennent plaisir à humilier les ‘’Palestiniens’’ » comme nous l’assurerait un autre antisémite notoire.

« Au bout de quelques jours, ils ont laissé le choix à Hussein et sa famille : rester et vivre comme des prisonniers, ou partir et voir sa maison détruite. ‘’Ils m'ont dit que si je partais, ils me mettraient sur leur liste des personnes recherchées, parce qu'ils craignaient que je cherche à me venger, dit Hussein el-Aidi. C'était comme une condamnation à mort. Alors nous sommes restés.’’ ».

Et dire que les Israéliens ont vécu cinq années auprès d’ennemis, dont une grande partie de leur bien a été confisqué, sans pourtant craindre de leur part une quelconque vengeance… Quel courage !

De telles illogismes, voire des réfutations, ce ‘’conte’’ en est garni. Mais le plus ahurissant n’est pas en ces racontars dont P.S.P. -pourtant tenu à une déontologie- est coutumier, mais plutôt dans les mots choisis afin de conduire l’imagination du lecteur, ignare des valeurs israéliennes, vers une condamnation totale.

A preuve ce qui suit. Je laisse à votre intelligence le soin d’imaginer ce cadre tout droit sorti de son reportage. « Un jour, les soldats n'ont pas reconnu la femme d'Hussein. Ils ont mitraillé autour d'elle pendant de longues minutes. Jusqu'à ce qu'elle s'effondre …».

« … mitraillé…de longues minutes » !?!?. Vu l’emploi du pluriel, cela suppose un minimum de deux minutes et, en conséquences, quelques centaines de projectiles tirés à l’encontre d’une simple femme rentrant vers son domicile. Déduction extraite directement des termes choisis par P.S.P. et non pas des dires de ‘’son témoin’’. Un peu comme s’il avait vécu, lui-même, ce moment. Ce qui n’est pas évidemment le cas.

Je vous rassure, à en croire P.S.P., la femme se releva et put réintégrer son domicile.

Autre morceau choisi de la prose de ce propagandiste très cher payé ( par qui ? là est la question ) décrivant les ‘’malheurs’’ de Saber Abou Dahar, autre ‘’Palestinien’’ dont « …trente membres de sa famille ont été blessé par balles…» … israéliennes, cela va de soi. Rien d’autre sur ce sujet, de ce pamphlet anti-israélien, ne viendra corroborer les allégations de P.S.P. Le lecteur est donc prié de le croire sur parole, de ne pas chercher à en savoir plus, et de blâmer prestement les autorités israéliennes, voire le peuple qui les a élu.

S’il fallait, pour finir, une énième preuve de son parti pris et/ou de sa médiocrité, le passage suivant nous la fourni : « ... Ses 25 vaches ont été tuées début octobre 2000, par des gaz lacrymogènes israéliens, le jour de la mort du petit Mohammed al-Doura, mort sous les balles israéliennes… ».

Outre le fait que pour ce journaleux -escamotant ainsi la controverse qui fait rage à ce sujet- Mohamed Al-Dura est bien mort, je vous laisse imaginer la quantité de gaz qu’il a fallu aux soldats de Tsahal afin d’assassiner 25 vaches qui, on peut le croire, ne restèrent pas immobiles à attendre leur exécution.

Il est dommage que Charles Enderlin ne nous a pas, alors, informé de l’agonie de ces pauvres bêtes. Il est vrai que son cameraman préféré était occupé ailleurs.

A trop vouloir en faire, le journalisme français se décrédibilise. Il est, on le voit, à l’image de la politique arabe de la France. Il est donc temps que les rares journalistes honnêtes et respectueux de la déontologie de leur métier s’opposent, enfin, à cette idéologie, fatale uniquement à la qualité de leur profession.

Les déficits des journaux s’accroissant, il est peut être temps qu’ils se fassent du soucis.

vendredi 8 juillet 2005

Victimes de l’apathie européenne

Après plusieurs carnages sanglants, particulièrement vicieux car s’en prenant toujours à des personnes civiles, voici celui -appréhendé depuis plusieurs mois par les autorités britanniques- faisant près d’une quarantaine de victimes londoniennes, quelques centaines de blessés -dont plusieurs handicapés pour le restant de leurs vies- et plusieurs milliers de familles meurtries.

Bilan dramatique dû à des barbares -peut on les nommer autrement- sujets à une interprétation extrémiste du Coran et n’ayant rien à envier à l’idéologie du régime nazi du III éme Reich qui fit plus de cinquante millions de morts lors de la deuxième guerre mondiale dans le seul but d’étendre son hégémonie sur le restant de la planète et les ‘’races’’ survivantes à l’épuration ethnique industrialisée.

Objectif partagé par les nazislamistes d’Al-Quaïda et ses affiliés ( tels le Hezbollah, Hamas, FPLP, FDLP, …) ou encore par les dirigeants de certains pays solidaires comme l’Iran, la Syrie ou l’Arabie Saoudite souhaitant le choc de civilisation tant redouté par les pays occidentaux si peu enclins à ne former qu’un pour pouvoir leur opposer un front uni jusqu’à la victoire finale.

De ce fait, le quidam empruntant hier les transports collectifs madrilènes, aujourd’hui londoniens, ou demain berlinois et/ou romains, est amené -contre son gré- à voir dans tout musulman -au mieux- un sympathisant ou -au pire- un terroriste en puissance, et donc un danger imminent à sa propre sécurité et celle des siens.

Est ce donc le but recherché par les gouvernements européens ? Autorités qui s’empressent d’augmenter, en leur pays respectif, le niveau d’alerte sans, pour autant, prendre des initiatives de politique étrangère qui conforteront leurs concitoyens dans le sentiment d’une bonne gouvernance et éviteront, ainsi, toutes chasses au faciès musulman -religieux ou non- sur le territoire national.

Risque sérieux s’accroissant lentement, mais sûrement, à chaque communiqué de ‘’victoire’’ des nazislamistes sur l’occident alors que nulle guerre n’est déclarée ; à chaque prêche d’un SS, travesti en imam, diffusé dans des mosquées situées en Europe, voire en terre ‘’ennemie’’ aux valeurs occidentales ; à chaque discours d’un ‘’intellectuel’’ musulman exigeant une modification des lois européennes pour permettre une pratique religieuse et/ou politique islamiste ; à chaque manifestation de rue sommant les autorités publiques à choisir une politique opposé aux intérêts démocratiques et nationaux ; à chaque demande d’interdiction de films et de livres contraires à la défense de l’islamisme ; etc. etc.

Dangers palpables par tout un chacun, contraint malgré lui de ne plus pouvoir différencier -comme lors de la deuxième guerre mondiale le nazi de l’allemand- le terrorislamiste du musulman, croyant ou laïque, respectueux des lois du pays hôte, voire défenseur du système qui le régit.

Il est donc urgent que les différents gouvernement européens prennent conscience du risque de ‘’guerre civile’’ encourue par cette politique qui se refuse -par des sanctions fermes, embargos efficaces, et/ou frappes militaires précises- à mettre un point final à la propagation de cette idéologie fétide qui n’apportera, finalement, que des malheurs à notre planète.

Si Winston Churchill avait promis, alors, le « déshonneur aux munichois », nul doute que les responsables politiques européens d’aujourd’hui seront tenus complices de tous drames découlant de leurs hésitations à assumer leurs mandats.

Voire, dès maintenant, des tragédies de Madrid et de Londres.