Très intéressante cette campagne à l'investiture, démocrate-républicaine, pour une élection présidentielle des ÉUA ( États Unis d'Amérique )
Les projecteurs sont sur le phénomène, Donald Trump, dont il ne faudrait pas s'en surprendre avec tout le brassage politique et identitaire mondial.
Nous pouvons observer qu'il est une " boulette " pour l’establishment républicain qui ne veut pas de cette transformation et préférerait une victoire de Hillary Clinton à une victoire de Donald Trump. Les intellectuels de l’establishment conservateur voient en Donald Trump un homme qui ne les écoute pas, et qui représente un conservatisme qui leur fait horreur. L’establishment du parti est en situation de panique presque absolue.
Donald Trump, l'anti-multiculturaliste, a des positions nationalistes, au sens que le nationalisme a aux Etats-Unis d'Amérique, où il est synonyme de défense de la liberté et de ce qu’elle peut accomplir, et où il signifie aussi que quiconque n’adhère pas aux valeurs de la civilisation occidentale peut choisir de vivre ailleurs qu’aux Etats Unis d'Amérique.
Les magazines et webmagazines de l’establishment conservateur ont tiré quasiment toutes leurs cartouches, à son endroit en vain, et passent de la rage au dépit méprisant, jusqu’à devenir parfois ridicules.
Il incarne, comme il le dit lui-même, un « conservatisme du bon sens », et les puristes du conservatisme l’ont déjà répudié.
La National Review, qui avait jusque là bonne réputation, écume et s’égare : après avoir réalisé un numéro spécial anti Trump (la National Review n’a jamais réalisé un numéro anti Obama ou anti Hillary Clinton), elle publie des articles où se trouve évoquée la nécessité de déporter l’épouse de Donald Trump, ou souligné le fait que Donald Trump ressemblerait peut-être à un envahisseur venant lobotomiser la population.
Les ennemis de Donald Trump sont aussi à gauche. Et quand la gauche est désespérée, elle révèle son visage totalitaire. Des groupes organisés commencent à s’en prendre aux réunions publiques de Donald Trump, et ont interrompu avec violence plusieurs réunions publiques ces derniers jours.
La tempête a commencé. Elle ne va pas cesser. Elle va même sans doute s’accentuer. Et s'il est le candidat républicain, la tempête se transformera en ouragan.
En fait, Trump est l’exemple le plus intéressant, aujourd’hui, de la politique des ÉUA. Il a poussé très loin l’art de parler directement aux électeurs, en prenant en permanence l’initiative, en multipliant les effets d’annonces et les outrances calculées. Il est l’exemple le plus intéressant, aujourd’hui, de la désintermédiation.
Il faut d’abord écouter ce que disent des millions d’Américains, à chaque fois qu’on leur tend micros et caméras :« Il dit ce qu’on a envie de dire, mais nous, on n’a pas les moyens de le dire ». :« Il est multimilliardaire? Ça ne me gêne pas, bien au contraire. Ça prouve qu’il ne pourra être ni acheté ni vendu et ça lui donne la liberté de faire l’inventaire complet réel des maux dont nous souffrons. He tells it like it is». :« C'est le politicien de la, libre pensée, que nous voulons entendre ».
:« Voir l’establishment républicain et les intellectuels de l’establishment conservateur se faire les agents, conscients ou inconscients, de la gauche destructrice est un triste spectacle ». ( Guy Millière )
P/S Les gens semblent en avoir marre du monde médiatique biaisé par leur partialité dans une ligne de pensée médiatique institutionnalisée.
2 commentaires:
Très intéressante cette campagne à l'investiture, démocrate-républicaine, pour une élection présidentielle des ÉUA ( États Unis d'Amérique )
Les projecteurs sont sur le phénomène, Donald Trump, dont il ne faudrait pas s'en surprendre avec tout le brassage politique et identitaire mondial.
Nous pouvons observer qu'il est une " boulette " pour l’establishment républicain qui ne veut pas de cette transformation et préférerait une victoire de Hillary Clinton à une victoire de Donald Trump. Les intellectuels de l’establishment conservateur voient en Donald Trump un homme qui ne les écoute pas, et qui représente un conservatisme qui leur fait horreur. L’establishment du parti est en situation de panique presque absolue.
Donald Trump, l'anti-multiculturaliste, a des positions nationalistes, au sens que le nationalisme a aux Etats-Unis d'Amérique, où il est synonyme de défense de la liberté et de ce qu’elle peut accomplir, et où il signifie aussi que quiconque n’adhère pas aux valeurs de la civilisation occidentale peut choisir de vivre ailleurs qu’aux Etats Unis d'Amérique.
Les magazines et webmagazines de l’establishment conservateur ont tiré quasiment toutes leurs cartouches, à son endroit en vain, et passent de la rage au dépit méprisant, jusqu’à devenir parfois ridicules.
Il incarne, comme il le dit lui-même, un « conservatisme du bon sens », et les puristes du conservatisme l’ont déjà répudié.
La National Review, qui avait jusque là bonne réputation, écume et s’égare : après avoir réalisé un numéro spécial anti Trump (la National Review n’a jamais réalisé un numéro anti Obama ou anti Hillary Clinton), elle publie des articles où se trouve évoquée la nécessité de déporter l’épouse de Donald Trump, ou souligné le fait que Donald Trump ressemblerait peut-être à un envahisseur venant lobotomiser la population.
Les ennemis de Donald Trump sont aussi à gauche. Et quand la gauche est désespérée, elle révèle son visage totalitaire. Des groupes organisés commencent à s’en prendre aux réunions publiques de Donald Trump, et ont interrompu avec violence plusieurs réunions publiques ces derniers jours.
La tempête a commencé. Elle ne va pas cesser. Elle va même sans doute s’accentuer. Et s'il est le candidat républicain, la tempête se transformera en ouragan.
En fait, Trump est l’exemple le plus intéressant, aujourd’hui, de la politique des ÉUA. Il a poussé très loin l’art de parler directement aux électeurs, en prenant en permanence l’initiative, en multipliant les effets d’annonces et les outrances calculées. Il est l’exemple le plus intéressant, aujourd’hui, de la désintermédiation.
Il faut d’abord écouter ce que disent des millions d’Américains, à chaque fois qu’on leur tend micros et caméras :« Il dit ce qu’on a envie de dire, mais nous, on n’a pas les moyens de le dire ». :« Il est multimilliardaire? Ça ne me gêne pas, bien au contraire. Ça prouve qu’il ne pourra être ni acheté ni vendu et ça lui donne la liberté de faire l’inventaire complet réel des maux dont nous souffrons. He tells it like it is». :« C'est le politicien de la, libre pensée, que nous voulons entendre ».
:« Voir l’establishment républicain et les intellectuels de l’establishment conservateur se faire les agents, conscients ou inconscients, de la gauche destructrice est un triste spectacle ». ( Guy Millière )
P/S Les gens semblent en avoir marre du monde médiatique biaisé par leur partialité dans une ligne de pensée médiatique institutionnalisée.
Je ne peux pas comprendre que les Republicains préfèrent Clinton si corrompue
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