Le Premier ministre israélien,
Benjamin Netanyahou, est décidé à contrecarrer tout arrangement laissant
à l’Iran la possibilité d’un nucléaire militaire. Pour se faire, il a
engagé un bras de fer politique et médiatique contre les puissances désireuses
de trouver un terrain d’entente avec le régime des ayatollahs en annonçant,
haut et fort, que son pays ne serait nullement engagé par l’accord passé et que,
si nécessaire, l’armée passerait à l’offensive. Une position inconfortable pour
les négociateurs occidentaux assurant, la main sur le cœur, qu’ils agissent
dans l’intérêt bien compris de la planète.
Du point de vue israélien cet
accord rappellerait étrangement l’époque munichoise du siècle passé.
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Les dirigeants du groupe 5+1 (Etats-Unis,
Russie, France, Grande-Bretagne, Chine + Allemagne) ont donc repoussé au
vingt novembre prochain les pourparlers qui, selon certains experts, mèneront tout
de même vers une entente accordant un allégement des sanctions économiques internationales
sans contraindre, pour autant, le régime de Téhéran à renoncer, une fois
pour toutes, aux possibilités de se doter d'un arsenal nucléaire.
Accord qui ne contentera pas l’Etat
d’Israël et le poussera vraisemblablement à prendre l’initiative d’une
destruction des sites perses. Outre la condamnation unanime onusienne qui ne
surprendra pas et la réaction militaire iranienne prévisible, la réaction
politique et diplomatique de ce pays sera de justifier alors la construction de
l’arme nucléaire comme conséquence des actes guerriers de « l’entité
sioniste ».
Ainsi, sera légitimé, aux yeux de
l’opinion mondiale, le besoin sécuritaire de l’Iran !
Une autre hypothèse est celle qu’aucun
arrangement ne soit trouvé le vingt novembre prochain et que l’Iran se
voit contraint à une faillite économique. Une banqueroute qui conduirait
immanquablement à une révolte du peuple et à la chute du régime. Scénario
cauchemardesque pour les ayatollahs qui les incitera à passer rapidement le cap
nucléaire militaire pour ainsi faire chanter la communauté internationale à la
mode coréenne du nord et faire lever les sanctions.
Sauf à être bloqué par une
intervention armée, il va de soi que la faute incomberait, là encore, à l’Etat
d’Israël pour avoir fait échouer les négociations. On entendrait alors les ‘’bonnes
âmes’’ occidentales rappeler l’échec de celles-ci dû à ‘’l’intransigeance’’ du Premier
ministre Benjamin Netanyahou. Oublieuses qu’elle est partagée par les états
sunnites de la région désireux de stopper toutes courses au nucléaire.
Des condamnations usuelles
préférables, somme toutes, à des condoléances !
2 commentaires:
heurt
nous sommes dans une epoque munichois et d'islamisation de l'occident
de meme que la dhimmitude des population de souche occidentale
n'arrange pas les choses
mais israel a une part de responsabilité
israel doit saiser cette politique de recule ,
israel doit passser a l'offensive , arretter ce marchez de dupe des terre contre une paix ficitve
car l'islame ne reconnais aucune paix entre musulman et non musulman
israel doit ejecter le faux peuple palestinien en dehors d'israel
israel doit menacer de frappe nucleaire sur les territoire occidentaux exemple l'eurabia
si les irannien ont l'arme nucleaire a cause des munichois eurabiate
alors israel doit tourner une partie de ses armes nucleaire sur les territoire de ses munichois
et leurs dire , si vous nous metter de force sous des frapes nucleaire des iranien
alors nous vous mettons sous des frappes de represailles qui frapperons et l'islame
conquerant
et les munichois qui ont mie le peuple juifs dans cette situation de nouvelle shoa nucleaire$*
que israel arrttte de reculer , de ce mettre a jenoux , de ce sacrifier
qu'israel menace , designe , exiges de ses ennemi et des munichois
by
Ce qu'il faut pas lire. Comme quoi les malades mentaux bellicistes et fans d'uranium ne sont pas tous en Corée du Nord.
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