mardi 24 septembre 2013

Le Monde, Laurent Zecchini et la ‘’diplomate’’ Marion Fesneau-Castaing

Laurent Zecchini est le correspondant à Jérusalem du quotidien Le Monde. Il suffit de lire ses nombreux textes pour se rendre compte combien le politiquement correct anti-israélien est de mise sous sa plume. Mais également au sein de la rédaction du journal. Dans l’article intitulé « Et du gauche, la diplomate frappe le soldat au menton » nulle photo de Marion Fesneau-Castaing, attachée de coopération humanitaire au Consulat général de France à Jérusalem, ne montre ce fameux gauche. 

Cliché pourtant disponible sur le net. La rédaction ayant tout bonnement préféré publier la photo de celle-ci allongée sur le sol et entourée de soldats israéliens. L’imaginaire devant faire le reste. Comme, pourquoi pas, justifier ce poing gauche annoncé dans le titre !



Dans le corps de l’article, l’envoyé du tabloïd assure que « L’armée israélienne y avait détruit une cinquantaine d’habitations, quatre jours plus tôt, estimant qu’elles avaient été construites sans permis ».

Une ‘’estimation’’ faite, probablement, au pif !

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Tel le ‘’bon journaliste’’ qu’il est, Laurent Zecchini a, tout simplement, oublié d’informer que l’Etat d’Israël est un état de droit et que seule la Justice peut ordonner la destruction de maisons. C’est donc, selon la propre formulation de l’auteur, la Cour de justice, et non pas l’armée, qui a ‘’estimé’’, après les plaidoiries des uns et des autres et selon la loi en vigueur, que ces maisons ne disposaient pas des autorisations nécessaires.

Cette ‘’estimation’’ se nomme, tout naturellement, dire le droit. Mais informer son lectorat que tout cela est conforme et a été réalisé légalement indispose Laurent.

Cependant, à trop vouloir cacher l’information, il arrive que celle-ci perce sous ses mots, pourtant choisis avec parcimonie.

« Seulement Marion Fesneau-Castaing avait oublié de rapporter un détail à sa hiérarchie, que les sites Internet pro-israéliens se sont chargés de rappeler et de diffuser largement (…) Après s’être relevée, l’attachée de coopération humanitaire se dirige vers un soldat (…) et, du gauche, le frappe au menton ! »

Quid de l’affaire ‘’Marion’’ si ces sites pro-israéliens ne s’en étaient saisis ?

N’est-ce pas un aveu de taille ? Faut-il comprendre que pour connaître la vérité, la réalité, l’honnête quidam lecteur doit quitter les pages de ce quotidien et se tourner vers ces sites ?

Quid de tous les autres sites et agences de presse qui ne sont pas qualifiés de pro-israéliens ? Qu’attend le journal dit de ‘’référence’’, pour ne parler ici que de lui, pour diffuser cette même photo ? N’est-ce pas là un formidable témoignage illustrant que la propagande, le matraquage, l’endoctrinement anti-israélien, pour ne pas dire plus, règnent sur ceux-ci ?

La vidéo, nous dit encore l’auteur, « place la France en mauvaise posture ». « Elle a franchi une limite, c’est sûr, et le fait de ne pas nous en avoir parlé est doublement embêtant. Tout dépend maintenant de l’importance que les Israéliens vont vouloir donner à cette affaire », indique une source française anonyme.

Un pays digne de ce nom aurait déjà rappelé cette ‘’diplomate’’ encombrante pour les relations entre les deux pays alliés et amis. Mais pas le pays qui croit encore être celui des droits de l’homme ! 

Zecchini et Le Monde ne sont donc que les reflets de ce qu’est devenu la France. Pas belle !

1 commentaire:

zicki71 a dit…

Je crois que tout diplomate est tenu à respecter les règles de la diplomatie internationale Y COMPRIS EN ISRAËL. S'il ne le fait pas il doit être considéré persona non grata et quitter le pays. Il est bien qu'Israël ait fait entendre sa voix d'abord auprès
des autorités françaises et à celles d'autres pay au cas où des diplomates abuseraient
de leur statut et immunité diplomatique et ne respecteraient pas les lois du pays hôte.

La meilleure façon de confondre les journalistes et média anti-israéliens qui diffusent
des contre-vérités est de les confronter à leurs mensonges par des preuves évidentes
(photos,vidéos, enregistrements de leurs déclarations et publication de leurs paroles
écrites et verbales.