La mésentente entre les Etats-Unis et Israël concernant la croissance naturelle des implantations en Judée-Samarie persiste toujours. Ce qui fait l’affaire de l’Autorité palestinienne qui affirme, si l’on s’y fie, que les négociations pour la fin du conflit proche-oriental ne reprendront pas tant que le gel total de la « colonisation » des territoires ne sera pas décrété officiellement. Une « colonisation » si ‘’perturbante’’ que toute paix en est, à ses yeux, utopique !
Est-ce vraiment le cas ?
La très grande majorité du peuple israélien, 70% au dernier sondage, est consentante à la création d’un deuxième pays pour les arabes de Palestine et donc à une ‘’décolonisation’’ massive de leurs concitoyens. Cela, aux conditions incontournables que ce nouvel état soit démilitarisé et que la légitimité d’Israël soit explicitement reconnue. Des clauses qui, si elles venaient sur la table de négociations, seraient intenables aux yeux du monde musulman en quête d’expansion à travers la planète. Le sujet de « colonisation » sera donc de rigueur et d’importance première tant qu’une ‘’solution’’ ne sera pas trouvée ou qu’un nouveau gouvernement israélien ne soit nommé et mette une fin définitive aux ‘’exigences’’ juives !
Ce qui autorise l’affirmation que la « colonisation » ne met pas de frein à toutes avancées dans le processus de paix. Car, selon la volonté de la plupart des gouvernants israéliens qui se sont succédés depuis les « accords d’Oslo », les frontières internationales se traceront par un échange équitable de terrain, et selon les surfaces des implantations les plus peuplées qui intégreront l’espace israélien.
On ne voit donc pas ici quel peut être la gêne quant à la reprise immédiate des négociations ! Hormis l’exigence d’un démantèlement complet de ces dernières, ce qui serait une revendication inacceptable quelque soit les gouvernements à venir et une excuse ‘’palestinienne’’ difficilement escamotable aux yeux de l’opinion mondiale quant à sa volonté d'une reprise des négociations de paix.
Quant aux implantations qu’Israël ne gardera pas, elles seront détruites comme le furent celles du Sinaï -lors de sa restitution suite à la signature du traité de paix avec l’Egypte- et celles de la bande de Gaza lors du retrait unilatéral de 2005. Ici, non plus, nul obstacle ne peut être opposé à l’encontre d’un retour immédiat aux négociations car le passé récent israélien est éloquent de bonne volonté.
Sauf, évidemment, à s’étonner et s’écœurer que l’état à naître se devra d’être Juderein, tel que l’a rêvé Adolphe Hitler pour l’Europe !
Si donc le nettoyage ethnique est banal dans les états musulmans et ne choque nullement les esprits occidentaux, la prise de position de ces derniers est, de par son insistance d’une demande d’arrêt total de la ‘’colonisation’’, incompréhensible ! D’autant plus, si l’on se souvient que le Ministre des Affaires étrangères Avigord Liberman est qualifié d’extrémiste de droite par les moralisateurs, reçu avec antipathie dans les chancelleries et ‘’démissionné’’ par un Président d’une France qui ne sait plus comment faire plaisir à ses banlieues musulmanes. Ceci, pour avoir suggéré un échange de territoires incluant une population, et pour tenir un discours clairs sur chacun.
Il ne fait aucun doute que le sujet de la « colonisation » fera encore les beaux jours de ceux qui s’en servent comme excuse pour ne pas avancer sur le chemin d’une « paix juste et durable » pour la région ou pour satisfaire des intérêts particuliers de certains ‘’médiateurs’’. A la charge du gouvernement israélien actuel de faire comprendre à la communauté occidentale sa lâcheté à trop étreindre la position du monde musulman, sans omettre de faire saisir à son peuple le désir inébranlable arabo-musulman de l’éradication du refuge juif par des subterfuges.
On peut donc parier que la Paix n’est pas pour après-demain dans cette région.
Est-ce vraiment le cas ?
La très grande majorité du peuple israélien, 70% au dernier sondage, est consentante à la création d’un deuxième pays pour les arabes de Palestine et donc à une ‘’décolonisation’’ massive de leurs concitoyens. Cela, aux conditions incontournables que ce nouvel état soit démilitarisé et que la légitimité d’Israël soit explicitement reconnue. Des clauses qui, si elles venaient sur la table de négociations, seraient intenables aux yeux du monde musulman en quête d’expansion à travers la planète. Le sujet de « colonisation » sera donc de rigueur et d’importance première tant qu’une ‘’solution’’ ne sera pas trouvée ou qu’un nouveau gouvernement israélien ne soit nommé et mette une fin définitive aux ‘’exigences’’ juives !
Ce qui autorise l’affirmation que la « colonisation » ne met pas de frein à toutes avancées dans le processus de paix. Car, selon la volonté de la plupart des gouvernants israéliens qui se sont succédés depuis les « accords d’Oslo », les frontières internationales se traceront par un échange équitable de terrain, et selon les surfaces des implantations les plus peuplées qui intégreront l’espace israélien.
On ne voit donc pas ici quel peut être la gêne quant à la reprise immédiate des négociations ! Hormis l’exigence d’un démantèlement complet de ces dernières, ce qui serait une revendication inacceptable quelque soit les gouvernements à venir et une excuse ‘’palestinienne’’ difficilement escamotable aux yeux de l’opinion mondiale quant à sa volonté d'une reprise des négociations de paix.
Quant aux implantations qu’Israël ne gardera pas, elles seront détruites comme le furent celles du Sinaï -lors de sa restitution suite à la signature du traité de paix avec l’Egypte- et celles de la bande de Gaza lors du retrait unilatéral de 2005. Ici, non plus, nul obstacle ne peut être opposé à l’encontre d’un retour immédiat aux négociations car le passé récent israélien est éloquent de bonne volonté.
Sauf, évidemment, à s’étonner et s’écœurer que l’état à naître se devra d’être Juderein, tel que l’a rêvé Adolphe Hitler pour l’Europe !
Si donc le nettoyage ethnique est banal dans les états musulmans et ne choque nullement les esprits occidentaux, la prise de position de ces derniers est, de par son insistance d’une demande d’arrêt total de la ‘’colonisation’’, incompréhensible ! D’autant plus, si l’on se souvient que le Ministre des Affaires étrangères Avigord Liberman est qualifié d’extrémiste de droite par les moralisateurs, reçu avec antipathie dans les chancelleries et ‘’démissionné’’ par un Président d’une France qui ne sait plus comment faire plaisir à ses banlieues musulmanes. Ceci, pour avoir suggéré un échange de territoires incluant une population, et pour tenir un discours clairs sur chacun.
Il ne fait aucun doute que le sujet de la « colonisation » fera encore les beaux jours de ceux qui s’en servent comme excuse pour ne pas avancer sur le chemin d’une « paix juste et durable » pour la région ou pour satisfaire des intérêts particuliers de certains ‘’médiateurs’’. A la charge du gouvernement israélien actuel de faire comprendre à la communauté occidentale sa lâcheté à trop étreindre la position du monde musulman, sans omettre de faire saisir à son peuple le désir inébranlable arabo-musulman de l’éradication du refuge juif par des subterfuges.
On peut donc parier que la Paix n’est pas pour après-demain dans cette région.
3 commentaires:
je suis tout a fait d'accord, il foudrait proposer en reponse a une judée samarie judenrein une israel araborein et tout rentrerait dans le meilleure des mondes. Si ils ne veulent pas de juifs peut etre que les isreliens ne veulent pas d'arabes?, finalment un echange de population... qui pourrait étre contre?
Ptain Mr. Victor Perez, vous en avez pas marre de raconter des conneries a longueur de journées.. Vous voulez l'Etat Palestinien en tant qu'Etat croupion a coté de la bete qu'on a creer de toutes pieces.. Un Etat demilitarisé, sans dec'.. Quel Etat au monde accepterais d'etre demilitarisé.. Vous etes un etron biblique, Mr. Perez..
@Anonyme,
Pour assurer qu'un argument est une connerie, il faut encore le démontrer et non pas seulement l'affirmer. Agir comme vous le faites démontre le peu de sérieux de vos arguments.
Quant à savoir quel état palestinien je souhaite, il suffit pour cela de s'arrimer à la raison qui affirme la nécessité d'un état d'Israël dans des frontières "sûres et reconnues".
Autrement dit, un état arabe de plus qui ne menacerait plus l'état voisin juif.
Si cela n'est pas clair pour vous, je vous conseille de choisir d'autres lectures que mes écrits.
Enregistrer un commentaire