Quand le quotidien Le Monde n’aime pas, il le démontre -sinon lors de toutes ses publications- à toute occasion donnée. Benjamin Barthe, après bien d’autres ‘’correspondants’’ en Israël, pour des raisons alimentaires ou idéologiques, participe au sein de cette rédaction à la détestation d’Israël. Tout sujet, pour ce faire est donc du pain béni.
Dans un article intitulé « "Match historique" en Palestine », il dénonce la main mise des Sionistes sur la Palestine Football Association (PFA), créée en 1928 et reconnue l'année suivante par la FIFA. Comment, s’interroge t-il, « expliquer que les instances dirigeantes du foot aient donné leur aval à une organisation aussi peu représentative, à une l'époque où les juifs ne représentaient qu'une faible minorité de la population du mandat britannique ? ». Evidemment, aux yeux du correspondant, par un « (…) vulgaire tour de passe-passe. (sic) A l'occasion de leur audition par la FIFA, les responsables de la PFA auraient recruté un représentant arabe, qui, sitôt la rencontre terminée, disparut du conseil d'administration ». L’ont-ils licencié ? Kidnappé ?? Assassiné ??? Benjamin Barthe, par l’intonation et les mots choisis, laisse l’imagination du lecteur vaguer, selon son choix, sur les méthodes des Sionistes forcément condamnables.
Plus sérieusement, cette question et sa réponse permettent de comprendre que pour ce dernier, il est aberrant d’imaginer les Juifs de l’époque -désireux de créer leur état si longtemps attendu- d’avoir leur équipe nationale à leurs couleurs et au son de leur hymne. Tout comme leur banque nationale Banque de Palestine devenue depuis Banque d’Israël, ou encore leur armée de défense nommée La Haganah devenue depuis TSAHAL et, évidemment, ne comprenant alors aucun arabe de Palestine.
Que d’injustices !!!
Tout autre journaliste objectif et intègre, se serait plutôt interrogé sur l’absence d’une équipe musulmane formée par des joueurs arabes de Palestine. Mais peut-être que cette carence était elle dû à leur occupation à empêcher toute renaissance d’un état pour les Juifs ?
L’article ne nous dira rien à ce sujet, mais en revanche démontre parfaitement l’inanité d’une recherche d’intégrité morale chez ce journaliste.
Souvent, dans des articles à charge contre Israël il est des informations involontaires qui interrogent sur le choix idéologique de l’auteur. Ainsi, il est fait cas, dans l’analyse de l’écrit décrié ici, de l’acceptation de la FIFA d’une équipe juive de Palestine en son sein (puisqu’après ce ‘’vulgaire tour de passe-passe’’- aucune démarche de sa part ne fut entrepris pour l’en exclure) mais aussi de l’acceptation de l’Egypte de jouer, lors d’un match au Caire contre celle-ci et comptant pour les qualifications de la coupe du monde, « l’hymne officielle du mouvement sioniste », la Hatikva et non pas l'hymne de la puissance administrative.
Comment comprendre alors que Barthe, tout seul dans son coin, en arrive à se faire juge et bourreau de l’espoir de tant d’apatrides d’alors avides d’une renaissance de leur ancienne patrie ? Comment comprendre les termes choisis pour écrire une diatribe rendue publique qui n’a rien d’informationnel mais plutôt propagandiste ?
Sinon par une obligation d’une constante obligatoire chez les journaleux embauchés par le quotidien Le Monde. Celle de verser vers l’illégitimité de l’état juif.
Dans un article intitulé « "Match historique" en Palestine », il dénonce la main mise des Sionistes sur la Palestine Football Association (PFA), créée en 1928 et reconnue l'année suivante par la FIFA. Comment, s’interroge t-il, « expliquer que les instances dirigeantes du foot aient donné leur aval à une organisation aussi peu représentative, à une l'époque où les juifs ne représentaient qu'une faible minorité de la population du mandat britannique ? ». Evidemment, aux yeux du correspondant, par un « (…) vulgaire tour de passe-passe. (sic) A l'occasion de leur audition par la FIFA, les responsables de la PFA auraient recruté un représentant arabe, qui, sitôt la rencontre terminée, disparut du conseil d'administration ». L’ont-ils licencié ? Kidnappé ?? Assassiné ??? Benjamin Barthe, par l’intonation et les mots choisis, laisse l’imagination du lecteur vaguer, selon son choix, sur les méthodes des Sionistes forcément condamnables.
Plus sérieusement, cette question et sa réponse permettent de comprendre que pour ce dernier, il est aberrant d’imaginer les Juifs de l’époque -désireux de créer leur état si longtemps attendu- d’avoir leur équipe nationale à leurs couleurs et au son de leur hymne. Tout comme leur banque nationale Banque de Palestine devenue depuis Banque d’Israël, ou encore leur armée de défense nommée La Haganah devenue depuis TSAHAL et, évidemment, ne comprenant alors aucun arabe de Palestine.
Que d’injustices !!!
Tout autre journaliste objectif et intègre, se serait plutôt interrogé sur l’absence d’une équipe musulmane formée par des joueurs arabes de Palestine. Mais peut-être que cette carence était elle dû à leur occupation à empêcher toute renaissance d’un état pour les Juifs ?
L’article ne nous dira rien à ce sujet, mais en revanche démontre parfaitement l’inanité d’une recherche d’intégrité morale chez ce journaliste.
Souvent, dans des articles à charge contre Israël il est des informations involontaires qui interrogent sur le choix idéologique de l’auteur. Ainsi, il est fait cas, dans l’analyse de l’écrit décrié ici, de l’acceptation de la FIFA d’une équipe juive de Palestine en son sein (puisqu’après ce ‘’vulgaire tour de passe-passe’’- aucune démarche de sa part ne fut entrepris pour l’en exclure) mais aussi de l’acceptation de l’Egypte de jouer, lors d’un match au Caire contre celle-ci et comptant pour les qualifications de la coupe du monde, « l’hymne officielle du mouvement sioniste », la Hatikva et non pas l'hymne de la puissance administrative.
Comment comprendre alors que Barthe, tout seul dans son coin, en arrive à se faire juge et bourreau de l’espoir de tant d’apatrides d’alors avides d’une renaissance de leur ancienne patrie ? Comment comprendre les termes choisis pour écrire une diatribe rendue publique qui n’a rien d’informationnel mais plutôt propagandiste ?
Sinon par une obligation d’une constante obligatoire chez les journaleux embauchés par le quotidien Le Monde. Celle de verser vers l’illégitimité de l’état juif.
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