Il est une réalité en terre francophone (mais pas seulement), et donc française, qui impose la lecture que la « colonisation » israélienne empêche toute résolution du conflit israélo-arabe. Cette idée des tenants d’une idéologie brune-verte-rouge s’est implantée à tel point que toute information, toute chronique, toute analyse, tout débat, y font systématiquement référence. Il suffit de prendre connaissance, de temps à autre, des commentaires de leurs lecteurs pour être convaincus de l’empreinte laissée par cette thèse. Cela, malgré les évidences que nul idéologue ne peut contester valablement.
Que l’on se souvienne ! Suite aux bombardements intensifs ‘’palestiniens’’ sur le nord d’Israël, ce pays a envahi, en 1982, le Liban pour y mettre bon ordre. Une fois Arafat et sa clique de terroristes partis en des cieux plus cléments pour leurs arrières, Israël se rabattit sur une étroite bande de terrain permettant aux habitants de sa région nord de vivre en paix. En l’an 2.000, Ehud Barak, alors Premier Ministre, décida le repli total de l’armée sur le territoire national et une fin de « l’occupation ». Ce qui devait, en toute logique, interdire toutes agressions en provenance du territoire libanais. « La paix contre les territoires ».C’est ce que les partisans de cette ligne doctrinaire affirmaient, résolution de l’Onu aidant, mais également les allégations des chefs d’états arabo-musulmans. Quelques années plus tard, en 2006, Israël fut tenu de réagir à une intrusion dirigée contre son territoire, son armée et une offensive contre ses villes. Nulle ‘’occupation’’ ne fut, évidemment, le motif de ce conflit mais uniquement la haine anti-juive tenace qui excite ce monde arabo-musulman, qu’il soit chiite ou sunnite.
Que l’on se remémore encore ! En 2005, Ariel Sharon, avec l’accord de la majorité de la population israélienne ordonna le retrait total de la bande de Gaza, avec comme objectif de permettre aux ‘’Palestiniens’’ de construire l’idée d’un pays pacifique aux cotés d’Israël. Démonstration qui échoua, sauf à prouver que la haine anti-juive est également la raison d’être de ce peuple sorti du néant en 1967 afin d’aider aux tentatives d’éradication de l’état juif crée, de plein droit, par la résolution 181 de l’Onu. Une animosité qui, depuis, se déverse sur le sol israélien par des milliers de « roquettes artisanales », des tentatives d’enlèvements de citoyens, et/ou des tirs de snippers sur de paisibles agriculteurs des kibboutz frontaliers voisins. Liste loin d’être exhaustive.
Nonobstant tout cela, de nos jours, on veut faire accroire au peuple israélien que la solution au conflit est proche. A la condition de résoudre les problèmes de frontières, des « colonies », de Jérusalem, et du Droit au retour. Si pour la grande majorité de ce peuple les frontières internationales entre les deux pays doivent se concrétiser autour de la ligne d’armistice de 1949, et les implantations disparaître du territoire dévolu à la « Palestine » à naître, ( tout sondage ou élection démontre invariablement cette majorité), la négociation sur les deux autres sujets vitaux pour le caractère juif du pays -refuge du peuple juif en son entier- ne doit s’articuler, pour les tenants de l’idéologie brune-verte-rouge, que par une renonciation israélienne totale de cette exigence. Ainsi, le Mont du temple deviendra juridiquement et officiellement le troisième lieu saint de l’islam, malgré nulle citation dans le Coran, et le problème des « réfugiés » -tenus en cette situation volontairement par les pays hôtes- sera réglé aux dépends du peuple juif. Solutions évidemment inenvisageables de la part de tout juif israélien sensé.
On ne peut donc affirmer, sans être partie prenante dans la haine anti-juive, que « l’occupation » est la raison première du conflit. Seul le caractère juif de l’israélien est la raison de la poursuite du conflit israélo-arabe. Si Ehud Olmert veut laisser une trace honorable dans l’histoire de son pays, qu’il établisse irrévocablement, par les négociations qu’il tient à avoir avec l’Autorité palestinienne, l’objet réel du conflit. Ainsi, les israéliens n’auront pas le déplaisir de voir, dans un avenir très proche et dès les frontières dessinées, leur judaïté remise en cause pour le « bien de l’humanité » (sic) et au nom des « droits de l’homme » (re sic).
On comprend donc aisément leurs sérieux doutes quant à l’éventuelle signature d’un accord de paix.
Que l’on se souvienne ! Suite aux bombardements intensifs ‘’palestiniens’’ sur le nord d’Israël, ce pays a envahi, en 1982, le Liban pour y mettre bon ordre. Une fois Arafat et sa clique de terroristes partis en des cieux plus cléments pour leurs arrières, Israël se rabattit sur une étroite bande de terrain permettant aux habitants de sa région nord de vivre en paix. En l’an 2.000, Ehud Barak, alors Premier Ministre, décida le repli total de l’armée sur le territoire national et une fin de « l’occupation ». Ce qui devait, en toute logique, interdire toutes agressions en provenance du territoire libanais. « La paix contre les territoires ».C’est ce que les partisans de cette ligne doctrinaire affirmaient, résolution de l’Onu aidant, mais également les allégations des chefs d’états arabo-musulmans. Quelques années plus tard, en 2006, Israël fut tenu de réagir à une intrusion dirigée contre son territoire, son armée et une offensive contre ses villes. Nulle ‘’occupation’’ ne fut, évidemment, le motif de ce conflit mais uniquement la haine anti-juive tenace qui excite ce monde arabo-musulman, qu’il soit chiite ou sunnite.
Que l’on se remémore encore ! En 2005, Ariel Sharon, avec l’accord de la majorité de la population israélienne ordonna le retrait total de la bande de Gaza, avec comme objectif de permettre aux ‘’Palestiniens’’ de construire l’idée d’un pays pacifique aux cotés d’Israël. Démonstration qui échoua, sauf à prouver que la haine anti-juive est également la raison d’être de ce peuple sorti du néant en 1967 afin d’aider aux tentatives d’éradication de l’état juif crée, de plein droit, par la résolution 181 de l’Onu. Une animosité qui, depuis, se déverse sur le sol israélien par des milliers de « roquettes artisanales », des tentatives d’enlèvements de citoyens, et/ou des tirs de snippers sur de paisibles agriculteurs des kibboutz frontaliers voisins. Liste loin d’être exhaustive.
Nonobstant tout cela, de nos jours, on veut faire accroire au peuple israélien que la solution au conflit est proche. A la condition de résoudre les problèmes de frontières, des « colonies », de Jérusalem, et du Droit au retour. Si pour la grande majorité de ce peuple les frontières internationales entre les deux pays doivent se concrétiser autour de la ligne d’armistice de 1949, et les implantations disparaître du territoire dévolu à la « Palestine » à naître, ( tout sondage ou élection démontre invariablement cette majorité), la négociation sur les deux autres sujets vitaux pour le caractère juif du pays -refuge du peuple juif en son entier- ne doit s’articuler, pour les tenants de l’idéologie brune-verte-rouge, que par une renonciation israélienne totale de cette exigence. Ainsi, le Mont du temple deviendra juridiquement et officiellement le troisième lieu saint de l’islam, malgré nulle citation dans le Coran, et le problème des « réfugiés » -tenus en cette situation volontairement par les pays hôtes- sera réglé aux dépends du peuple juif. Solutions évidemment inenvisageables de la part de tout juif israélien sensé.
On ne peut donc affirmer, sans être partie prenante dans la haine anti-juive, que « l’occupation » est la raison première du conflit. Seul le caractère juif de l’israélien est la raison de la poursuite du conflit israélo-arabe. Si Ehud Olmert veut laisser une trace honorable dans l’histoire de son pays, qu’il établisse irrévocablement, par les négociations qu’il tient à avoir avec l’Autorité palestinienne, l’objet réel du conflit. Ainsi, les israéliens n’auront pas le déplaisir de voir, dans un avenir très proche et dès les frontières dessinées, leur judaïté remise en cause pour le « bien de l’humanité » (sic) et au nom des « droits de l’homme » (re sic).
On comprend donc aisément leurs sérieux doutes quant à l’éventuelle signature d’un accord de paix.
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