On devrait y être habitué, mais on ne peut qu’être sensible face à toutes ces bonnes volontés se proposant de nous amener la paix dans la région. Georges W. Bush, ami sincère du peuple juif et de l’état d’Israël, ne déroge pas à ce qui est devenu la règle pour beaucoup de chefs d’état. Malheureusement, l’Israélien, échaudé par tant de sollicitude, se rappelle le désir honnête de cet autre véritable ami, Bill Clinton, de nous conduire vers un accord de paix historique mais ayant déclenché, en bout de course, ce qui fut la guerre la plus meurtrière de la jeune histoire du peuple israélien. Près de 1000 morts et plusieurs milliers de blessés plus tard, l’Israélien moyen a, dorénavant, des exigences incompressibles.
Comme par exemple celle d’une incompatibilité d’une « Palestine » sans la reconnaissance explicite de sa part, mais aussi mondiale du caractère juif de l’état d’Israël. Exigence attestant ainsi le refus de tout « retour de réfugiés », et ainsi de toute reconnaissance de responsabilité, juridique, morale ou politique, dans un départ, alors, motivé principalement par le souhait de voir « jeter les Juifs à la mer ». Toute indemnisation devra se faire, en conséquence, par des fonds dans lesquels le peuple israélien restera étranger. En revanche, chaque état arabe, ayant vu sa communauté juive chassée par le pouvoir de l’époque, se devra de la dédommager.
Une autre requête, logique par son bon sens, sera la réciprocité. Ainsi, comme la « Palestine » sera un territoire sans Juif, l’israélien commandera qu’un maximum de concitoyens arabes changent de nationalité. De ce fait, les échanges de territoires se feront en rapport à cela et ainsi la courbe démographique se verra inversée.
Il va de soi, que toute état crée se devra d’être un état démocratique, démilitarisé, où la loi prédomine et l’antisémitisme banni. Les prêches des imams, ou encore l’enseignement scolaire devront se réadapter aux nouvelles données.
Les frontières israéliennes devront, comme l’indique la résolution 242 de l’Onu, être « sûres et reconnues ». Sûres autant qu’elles pourront l’être dans un territoire aussi exigu, mais reconnues officiellement par toutes les autorités politiques, juridiques et morales que peut compter la planète. Ceci afin de noyer autant que possible toute appétence future d’un nouvel Arafat.
La capitale d’Israël restera Jérusalem. Si quelques quartiers arabes pourront y être retranchés et devenir la capitale du vingt-troisième état arabe, la vielle ville devra continuer à y faire partie intégrante. Ainsi, si le Mont du temple verra le Waqf poursuivre, au nom de l’Islam, la gestion des mosquées s’y trouvant, les Juifs y seront libres de toutes restrictions à la prière, à l’archéologie et à l’histoire qui les relient à cette endroit.
Si l’état à naître se doit être, autant que possible, continu, il sera évidemment inconséquent de réclamer d’Israël de couper son propre territoire en son milieu afin de permettre la libre circulation des ‘’Palestiniens’’. Seul un passage en sous-sol et en toute propriété israélienne sera accepté par l’israélien désireux d’une véritable paix.
Voici exposé succinctement les exigences à minima qui, seules, permettront un avenir à Israël. Toutes concessions, forcées ou non, à ce minimum vital verra la grande majorité de ce peuple se lever par crainte de voir son rêve, simplement commun à tout autre peuple, se dissoudre, mais aussi par peur de se voir attribuer, à nouveau, le qualificatif d’apatride.
Tant que les ‘’Palestiniens’’, mais aussi le monde musulman, se refuseront à l’acceptation de ces requêtes, tout arbitre, quel qu’il soit, se verra complice, de fait, de la hausse de l’animosité envers Israël, les Juifs et leurs soutiens.
Il est donc aisé de prédire que la paix ne sera pas signée avant la fin 2008 et qu’une probable nouvelle guerre est à prévoir dans la région.
Comme par exemple celle d’une incompatibilité d’une « Palestine » sans la reconnaissance explicite de sa part, mais aussi mondiale du caractère juif de l’état d’Israël. Exigence attestant ainsi le refus de tout « retour de réfugiés », et ainsi de toute reconnaissance de responsabilité, juridique, morale ou politique, dans un départ, alors, motivé principalement par le souhait de voir « jeter les Juifs à la mer ». Toute indemnisation devra se faire, en conséquence, par des fonds dans lesquels le peuple israélien restera étranger. En revanche, chaque état arabe, ayant vu sa communauté juive chassée par le pouvoir de l’époque, se devra de la dédommager.
Une autre requête, logique par son bon sens, sera la réciprocité. Ainsi, comme la « Palestine » sera un territoire sans Juif, l’israélien commandera qu’un maximum de concitoyens arabes changent de nationalité. De ce fait, les échanges de territoires se feront en rapport à cela et ainsi la courbe démographique se verra inversée.
Il va de soi, que toute état crée se devra d’être un état démocratique, démilitarisé, où la loi prédomine et l’antisémitisme banni. Les prêches des imams, ou encore l’enseignement scolaire devront se réadapter aux nouvelles données.
Les frontières israéliennes devront, comme l’indique la résolution 242 de l’Onu, être « sûres et reconnues ». Sûres autant qu’elles pourront l’être dans un territoire aussi exigu, mais reconnues officiellement par toutes les autorités politiques, juridiques et morales que peut compter la planète. Ceci afin de noyer autant que possible toute appétence future d’un nouvel Arafat.
La capitale d’Israël restera Jérusalem. Si quelques quartiers arabes pourront y être retranchés et devenir la capitale du vingt-troisième état arabe, la vielle ville devra continuer à y faire partie intégrante. Ainsi, si le Mont du temple verra le Waqf poursuivre, au nom de l’Islam, la gestion des mosquées s’y trouvant, les Juifs y seront libres de toutes restrictions à la prière, à l’archéologie et à l’histoire qui les relient à cette endroit.
Si l’état à naître se doit être, autant que possible, continu, il sera évidemment inconséquent de réclamer d’Israël de couper son propre territoire en son milieu afin de permettre la libre circulation des ‘’Palestiniens’’. Seul un passage en sous-sol et en toute propriété israélienne sera accepté par l’israélien désireux d’une véritable paix.
Voici exposé succinctement les exigences à minima qui, seules, permettront un avenir à Israël. Toutes concessions, forcées ou non, à ce minimum vital verra la grande majorité de ce peuple se lever par crainte de voir son rêve, simplement commun à tout autre peuple, se dissoudre, mais aussi par peur de se voir attribuer, à nouveau, le qualificatif d’apatride.
Tant que les ‘’Palestiniens’’, mais aussi le monde musulman, se refuseront à l’acceptation de ces requêtes, tout arbitre, quel qu’il soit, se verra complice, de fait, de la hausse de l’animosité envers Israël, les Juifs et leurs soutiens.
Il est donc aisé de prédire que la paix ne sera pas signée avant la fin 2008 et qu’une probable nouvelle guerre est à prévoir dans la région.
6 commentaires:
Victor Perez, vous méprisez plus le droit international que Saddam Hussein. Bravo.
Vos speudo exigences incontournables violent une trentaine résolutions du conseil de sécurité
Le Monde Diplomatque Deux poids, deux mesures
Le rigolo ci-dessus affirme que les exigences minimum violent plus de trente résolutions onusiennes.
Et afin de prouver ses dires, il nous renvoie à un obscur article du Monde Diplomatique.
Lequel affirme, entre autre, la violation du statut de Jérusalem. Et cela à partir de 1968. Pour ce qui concerne la période 1948 à 1967et l'annexion de cette ville par la Jordanie nulle résolution ni condamnation. Deux poids deux mesures avez vous dis ?
L'article parle encore, sans trop de précisions, de transfert de population. Si l'on sait de quelle population il s'agit, on aurait aimé des précisions sur cette épuration. Quand ? Comment ? Combien ? Vers quelle destination ?
Autre violation affirmée, le refus d'Israël de se retirer sur les positions tenues avant septembre 2000. Il est vrai que pour des rigolos de cet acabit, le sang israélien ne compte pas.
Bref! C'est de tels individus qui formentent la haine du Juif et de l'Israélien.
Ce qui nous renforce dans nos exigences minimales.
2 remarques du rigolo ci-dessus.
L'article du monde diplomatique rappele que la turquie et le maroc violent le droit internationl dans l'indifference du monde arabe et de l'europe.
La court internationale de justice en 1975 "déclara " que les éléments et renseignements portés à sa connaissance n'établissent l'existence d'aucun lien de souveraineté territoriale entre le territoire du Sahara Occidental d'une part, le royaume du Maroc ou l'ensemble mauritanien d'autre part".
Freedom House a classé la partie occupée du sahara occidental comme un des pires endroits au monde.
Worst of the Worst: The World's Most Repressive Societies 2006
Pour Chypre, tous les pays de l'OCI ont apporté leur soutient aux turcs qui ont installé 70 000 colons.
Concernant Jérusalem, l'intégrisme musulman est né vers 1920 quand a commencé l'invasion de cette ville. Tant que cette ville sera occupée (comme l'a rappelé la court internationale de justice), l'intégrisme continura à se développer comme on le voit au pakistan
Les rigolos ont de commun de changer de sujet dès que l'exigence de précisions se fait sentir.
Tout le monde voit que l'article incriminé ne parle ni du Maroc, ni de la Turquie, mais uniquement du conflit israélo-arabe. Sujets pourtant abordés dans sa réponse par celui qui affirme que ma vision de la paix viole une trentaine de résolutions.
Pire que Saddam Hussein dit il ?!?!
Les rigolos ont en commun, également, de faire porter les responsabilités des conflits aux Juifs et particulièrement à Israël.
Ainsi l'intégrisme enflerait parce que Jérusalem est occupée !!! Doit on le renvoyer aux recensements faits par les puissances occupantes de l'époque, la Grande-Bretagne ou encore la Turquie, qui confirment de tout temps la majorité juive de la ville ?
La seule période ou cette ville fut vide de Juifs fut la période où la Jordanie annexa la Judée et la Samarie. De 1948 à 1967. Mais de cette épuration etnique le rigolo ci-dessus n'en parle pas.
C'est tellement plus facile et nettement moins dangereux de taper sur une démocratie, les Juifs et/ou Israël.
N'est-ce pas rigolo ?
Dans l'article du monde diplomatique on lit
"La Turquie a été l’objet des foudres (assez pacifiques) du Conseil de sécurité à vingt-quatre reprises. Il s’est agi à chaque fois de la question de Chypre, dont le nord de l’île reste occupé par les troupes d’Ankara nonobstant les très nombreuses résolutions des Nations unies qui ont exigé leur retrait."
puis
"Le Maroc a provoqué seize résolutions du Conseil de sécurité à propos du Sahara occidental, demandant par exemple au roi du Maroc de « mettre fin immédiatement à la marche déclarée dans le Sahara occidental »"
Israel n'est pas visé dans cet article.
Concernant Jérusalem.
les 4 principaux mouvements islamiques ont tous fait leur apparition entre 1920 et 1930 (en egypte, au soudan, en arabie saoudite et dans ce qui est maintenand le Pakistan), comme par hazard au moment où commence la colonisation de Jérusalem.
Ensuite le nationalisme a pu contenir cet islamisme pendant la période 1930-1973.
Après 1973 l'échec de ce nationalisme ouvre un boulevard à l'intégrisme.
Enfin, expulser des colons n'est pas une épuration etnique, il s'agit de mettre un terme à un crime de guerre comme le rappel la convention de geneve.
Le rigolo ci-dessus, de plus en plus rigolo, affirme sans rire et parmi tant d'anneries, que les mouvements islamiques sont apparus dès la "colonisation" de Jérusalem par les Juifs dans les années 1920-1930.
Quand on veut tuer le chien, on dit qu'il a la rage. C'est en gros ce qu'il fait avec les Juifs.
Ainsi, les Juifs qui peuplaient Jérusalem à l'époque n'avaient, selon lui, nul droit d'y être sauf à être tenus responsables des faits et gestes de ces tarès d'Allah. Le droit des Juifs d'être dans la ville abritant le lieu le plus saint de leur religion aurait du leur être supprimé.
Ce faisant, pour le rigolo ils sont donc des colons.
Et les colons, on les expulse. Ce que firent les Jordaniens en 1948 et ce qui s'appelle une épuration etnique. Car, jusqu'à cette date ils étaient citoyens de la Palestine et de plein droit chez eux.
Comme d'ailleurs les 10.000 Juifs qui se trouvaient sur le territoire dévolu au arabes de Palestine et qui devaient, selon la résolution 181, devenir des citoyens à part entière de cet état.
Quand on vous dit que pour certains, les Juifs ne sont pas des hommes égaux aux autres !!!
Pour conclure cet échange stérile, il est demandé au rigolo ci-dessus de ramener sa propagande aux réalités qui sont vérifiées et vérifiables. Comme cela nous pourrons avoir des échanges interressants.
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