Patrick Saint Paul, correspondant à Jérusalem du quotidien Le Figaro, aura, pour une fois, quelque éloge et non les blâmes habituels résultant de la lecture de ses papiers.
Dans son dernier article intitulé « Surenchère armée entre Hamas et Fatah à Gaza », il nous informe, certes involontairement, du degré de bestialité atteint par les ‘’ résistants palestiniens ’’. Quelque soit, par ailleurs, leur appartenance idéologique.
Les lecteurs ainsi avertis pourront un peu mieux apprécier dorénavant l’attitude militaire israélienne lors de représailles.
Après nous avoir conté la haine des uns vis à vis des autres -‘’des frères’’ paraît il-, il nous narre qu’« Un membre de la Force 17, unité de sécurité de Mahmoud Abbas, a été la première victime précipitée du haut d'un immeuble de 15 étages ». Patrick Saint Paul ne nous indique point si le décès survint suite à la chute ou si les tarés d’Allah lui épargnèrent l’effroi du choc à venir.
Autre acte qui n’a guère mobilisé, là encore, ceux qui dénoncèrent, avec force, la construction de la clôture de sécurité entre ces ‘’doux humanistes’’ et les israéliens : « Des médecins ont relevé 40 impacts de balle sur le corps d'un important chef militaire du Fatah, Abou Jibian, enlevé chez lui puis abattu par des miliciens du Hamas ». Là encore, le journaliste ne nous dévoilera pas si la première balle fut mortelle ou si, par un excès de sadisme, les tarés d’Allah lui imposèrent la souffrance de chaque projectile.
Le dernier fait décrit dans le texte rappellera de tristes souvenirs : « Les combattants islamistes gravent au couteau des étoiles de David dans la chair des militants du Fatah, pour les assimiler à des collaborateurs d'Israël ». Sans commentaires.
D’aucuns d’entre nous se posent actuellement la question de savoir s’il faut aider le Fatah en lui permettant de recevoir les armes qui attendent dans le Sinaï l’autorisation israélienne. Sauf à jouer, à notre tour, les humanistes en tentant d’encourager les ‘’frères ennemis’’ à une nouvelle trêve, il ne fait aucun doute que tout terroriste éliminé évitera que l’armée israélienne, ou pire les civils, ne le retrouve armé et prêt à commettre une nouvelle atrocité.
Seul le calme définitif, et l’ordre s’y attenant, imposé à toute la bande de gaza permettra la négociation sérieuse d’une paix juste et durable ou, dans une option plus pessimiste, un court conflit de basse intensité faute d’un ‘’partenaire palestinien’’, qui se retrouvera de fait affaibli et découragé.
Si pour tout juif chaque vie sauvée est un bénéfice pour l’humanité, il est vrai, malheureusement, que quelquefois il est vital d’en passer par le sectionnement de branches pourries. Il est vrai, et nul observateur sérieux ne le contestera, que la ‘’branche palestinienne’’ a plus d’une tige abîmée.
Dans son dernier article intitulé « Surenchère armée entre Hamas et Fatah à Gaza », il nous informe, certes involontairement, du degré de bestialité atteint par les ‘’ résistants palestiniens ’’. Quelque soit, par ailleurs, leur appartenance idéologique.
Les lecteurs ainsi avertis pourront un peu mieux apprécier dorénavant l’attitude militaire israélienne lors de représailles.
Après nous avoir conté la haine des uns vis à vis des autres -‘’des frères’’ paraît il-, il nous narre qu’« Un membre de la Force 17, unité de sécurité de Mahmoud Abbas, a été la première victime précipitée du haut d'un immeuble de 15 étages ». Patrick Saint Paul ne nous indique point si le décès survint suite à la chute ou si les tarés d’Allah lui épargnèrent l’effroi du choc à venir.
Autre acte qui n’a guère mobilisé, là encore, ceux qui dénoncèrent, avec force, la construction de la clôture de sécurité entre ces ‘’doux humanistes’’ et les israéliens : « Des médecins ont relevé 40 impacts de balle sur le corps d'un important chef militaire du Fatah, Abou Jibian, enlevé chez lui puis abattu par des miliciens du Hamas ». Là encore, le journaliste ne nous dévoilera pas si la première balle fut mortelle ou si, par un excès de sadisme, les tarés d’Allah lui imposèrent la souffrance de chaque projectile.
Le dernier fait décrit dans le texte rappellera de tristes souvenirs : « Les combattants islamistes gravent au couteau des étoiles de David dans la chair des militants du Fatah, pour les assimiler à des collaborateurs d'Israël ». Sans commentaires.
D’aucuns d’entre nous se posent actuellement la question de savoir s’il faut aider le Fatah en lui permettant de recevoir les armes qui attendent dans le Sinaï l’autorisation israélienne. Sauf à jouer, à notre tour, les humanistes en tentant d’encourager les ‘’frères ennemis’’ à une nouvelle trêve, il ne fait aucun doute que tout terroriste éliminé évitera que l’armée israélienne, ou pire les civils, ne le retrouve armé et prêt à commettre une nouvelle atrocité.
Seul le calme définitif, et l’ordre s’y attenant, imposé à toute la bande de gaza permettra la négociation sérieuse d’une paix juste et durable ou, dans une option plus pessimiste, un court conflit de basse intensité faute d’un ‘’partenaire palestinien’’, qui se retrouvera de fait affaibli et découragé.
Si pour tout juif chaque vie sauvée est un bénéfice pour l’humanité, il est vrai, malheureusement, que quelquefois il est vital d’en passer par le sectionnement de branches pourries. Il est vrai, et nul observateur sérieux ne le contestera, que la ‘’branche palestinienne’’ a plus d’une tige abîmée.
2 commentaires:
La haine vient du coeur de l'homme, et c'est ce coeur que Dieu veut changer.
Les musulmans n'ont jamais été solidaires les uns avec les autres seulement pour faire la guerre à autrui.
N'est-ce pas ce même Dieu qui est censé avoir créé le cœur de l'homme ? L'Eternel serait-il sénile ?
Les hommes sont cons. Les musulmans sont trop cons, mais Allah est le plus con.
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