Cela va mal dans les rangs des anti-Israéliens primaires. Ils en sont à réclamer que le Hamas soit considéré comme un partenaire pour une « paix juste et durable » (comme ils disent) au Proche-Orient. Quitte pour cela déformer la réalité et passer pour des « idiots utiles » aux yeux des lecteurs, malgré leurs titres pompeux.
Dans une chronique intitulée « Non au boycott du Hamas » et co-écrite par Esther Benbassa (encore elle) et François Burgat directeur de recherche au CNRS, les escroqueries intellectuelles commises par ces deux préposés de l’idéologie verte-rouge sont foisons.
Comme par exemple :
« Le Hamas «refuse de reconnaître Israël». Mais près de dix ans après celle de l'OLP, où en sommes-nous de la reconnaissance réciproque d'un Etat palestinien par Israël, dont les frontières fluctuent au gré de ses majorités électorales et des annexions en Cisjordanie ? »
Quelle dose de mauvaise foi faut il pour ignorer la reconnaissance officielle du « peuple palestinien » par l’Etat d’Israël un certain jour de septembre 1993 sur la pelouse de la Maison Blanche ? Sans parler, évidemment de l’acceptation du partage onusien de 1947, ou de la proposition en 1967 de Moshé Dayan (z ‘’l) de restituer les territoires contre une paix définitive.
Quelle dose est nécessaire pour leur permettre de faire abstraction du choix du Hamas de favoriser, par de multiples attentats et crimes contre l’humanité, l’opposant aux « Accords d’Oslo » Benjamin Natanyaou plutôt que l’initiateur de ces dits ‘’accords’’, Shimon Pérès, pour le poste de Premier ministre en 1996 ?
Et quelle dose, enfin, pour, ainsi, négliger le plan proposé par Ehud Barak, alors Premier ministre lors des discussions de Camp David en l’an 2000, qui cédait la quasi totalité des territoires conquis en 1967, y compris « l’esplanade des Mosquées » si cher au cœur du Judaïsme ? Plan qui reçu, comme réponse, la « guerre d’Oslo » ainsi que son cortège de morts et de victimes agrée par le Hamas.
Autre exemple ahurissant :
« Le Hamas refuse d'abandonner la violence, nous assène-t-on quotidiennement en guise d'analyse. Celui-ci a pourtant, depuis dix-huit mois, déclaré une trêve explicite et s'y est tenu ».
Est il nécessaire de rappeler à ces deux ‘’Directeurs’’ que le système de « franchise » existe dans ces territoires aux bords de la guerre civile ? Et, qu’entre mauvais amis mais ayant un ennemi en commun, peu importe, alors, l'octroi du gain des scalps des victimes israéliennes. L’objectif collectif étant, jusqu’à preuve du contraire, l’éradication de l’Etat d’Israël par la force, ou la négociation et l’obtention du ‘’Droit au retour’’ d’un nombre suffisant de « réfugiés » pour y acquérir la majorité démocratique et mettre fin au refuge juif.
Au delà de ces deux exemples parmi tant d’autres, si démonstratifs de leurs pensées nauséeuses, il est une question qui se pose à tous les membres du peuple juif. Qu’auraient été leurs réactions à la publication, en 1933, d’une chronique intitulée « Non au boycott du parti nazi » ou autre « Aidons les nazis » ? Une chronique transformant volontairement la réalité jusqu’à en masquer l’un des objectifs principaux d’Adolphe Hitler, à savoir la « solution finale du peuple juif », et signée par une ‘’intellectuelle’’ juive !!! Le dégoût aurait fait, à n’en pas douter, partie intégrante de la panoplie de leurs réactions.
On peut gager par ailleurs, et sans prendre de trop grands risques, qu’elle aurait été au minimum tondue à la libération, sinon jugée et condamnée pour complicité. En compagnie, évidemment, de la direction du torchon qui n’hésite plus à publier de véritables appels d’aides à une organisation criminelle reconnue comme telle par les instances européennes.
Nous n’en sommes pas là aujourd’hui. Mais, n’en doutons pas, les Israéliens seront ravis d’assister, le moment venu, à cette ‘’épuration’’ intellectuelle d’individus qui pourrissent tous débats sérieux, mais aussi tout espoir de Paix au Proche-Orient.
Dans une chronique intitulée « Non au boycott du Hamas » et co-écrite par Esther Benbassa (encore elle) et François Burgat directeur de recherche au CNRS, les escroqueries intellectuelles commises par ces deux préposés de l’idéologie verte-rouge sont foisons.
Comme par exemple :
« Le Hamas «refuse de reconnaître Israël». Mais près de dix ans après celle de l'OLP, où en sommes-nous de la reconnaissance réciproque d'un Etat palestinien par Israël, dont les frontières fluctuent au gré de ses majorités électorales et des annexions en Cisjordanie ? »
Quelle dose de mauvaise foi faut il pour ignorer la reconnaissance officielle du « peuple palestinien » par l’Etat d’Israël un certain jour de septembre 1993 sur la pelouse de la Maison Blanche ? Sans parler, évidemment de l’acceptation du partage onusien de 1947, ou de la proposition en 1967 de Moshé Dayan (z ‘’l) de restituer les territoires contre une paix définitive.
Quelle dose est nécessaire pour leur permettre de faire abstraction du choix du Hamas de favoriser, par de multiples attentats et crimes contre l’humanité, l’opposant aux « Accords d’Oslo » Benjamin Natanyaou plutôt que l’initiateur de ces dits ‘’accords’’, Shimon Pérès, pour le poste de Premier ministre en 1996 ?
Et quelle dose, enfin, pour, ainsi, négliger le plan proposé par Ehud Barak, alors Premier ministre lors des discussions de Camp David en l’an 2000, qui cédait la quasi totalité des territoires conquis en 1967, y compris « l’esplanade des Mosquées » si cher au cœur du Judaïsme ? Plan qui reçu, comme réponse, la « guerre d’Oslo » ainsi que son cortège de morts et de victimes agrée par le Hamas.
Autre exemple ahurissant :
« Le Hamas refuse d'abandonner la violence, nous assène-t-on quotidiennement en guise d'analyse. Celui-ci a pourtant, depuis dix-huit mois, déclaré une trêve explicite et s'y est tenu ».
Est il nécessaire de rappeler à ces deux ‘’Directeurs’’ que le système de « franchise » existe dans ces territoires aux bords de la guerre civile ? Et, qu’entre mauvais amis mais ayant un ennemi en commun, peu importe, alors, l'octroi du gain des scalps des victimes israéliennes. L’objectif collectif étant, jusqu’à preuve du contraire, l’éradication de l’Etat d’Israël par la force, ou la négociation et l’obtention du ‘’Droit au retour’’ d’un nombre suffisant de « réfugiés » pour y acquérir la majorité démocratique et mettre fin au refuge juif.
Au delà de ces deux exemples parmi tant d’autres, si démonstratifs de leurs pensées nauséeuses, il est une question qui se pose à tous les membres du peuple juif. Qu’auraient été leurs réactions à la publication, en 1933, d’une chronique intitulée « Non au boycott du parti nazi » ou autre « Aidons les nazis » ? Une chronique transformant volontairement la réalité jusqu’à en masquer l’un des objectifs principaux d’Adolphe Hitler, à savoir la « solution finale du peuple juif », et signée par une ‘’intellectuelle’’ juive !!! Le dégoût aurait fait, à n’en pas douter, partie intégrante de la panoplie de leurs réactions.
On peut gager par ailleurs, et sans prendre de trop grands risques, qu’elle aurait été au minimum tondue à la libération, sinon jugée et condamnée pour complicité. En compagnie, évidemment, de la direction du torchon qui n’hésite plus à publier de véritables appels d’aides à une organisation criminelle reconnue comme telle par les instances européennes.
Nous n’en sommes pas là aujourd’hui. Mais, n’en doutons pas, les Israéliens seront ravis d’assister, le moment venu, à cette ‘’épuration’’ intellectuelle d’individus qui pourrissent tous débats sérieux, mais aussi tout espoir de Paix au Proche-Orient.
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