Que faire d’autre que de tenter de comprendre le cheminement qui a conduit le criminel contre l’humanité à assassiner neuf personnes et à blesser près de soixante dix autres à la gare routière de Tel-aviv, lundi dernier dans un attentat-suicide ? Samy Salim Hadad, qui fut l’auteur de ce massacre abominable dénoncé par le président de l’Autorité palestinienne -pour cause d’image de marque de la « cause palestinienne »- mais justifié par le gouvernement hamasien, avait seize ans. Un âge ou les garçons de nos régions démocratiques et civilisés rêvent plutôt aux filles et aux futilités qu’apporte l’adolescence, mais aussi se préparent à choisir une voie qui leur permettra de vivre, tant bien que mal, dignement et à construire une famille pour y procréer la vie ! Dans certaines parties de la communauté musulmane, de plus en plus large, les enfants de cet âge se transforment, malheureusement, en bombe humaine sans nul espoir d’échapper à la mort ‘’paradisiaque’’ promise par leurs aînés.
Comment peut on expliquer cette particularité, sinon par le lavage de cerveau qu’ils subissent depuis leurs naissances ?
Samy Salim Hadad est né au cours de la première Intifada, en 1990, quelque part en Judée et Samarie. Agé d’un peu plus d’une année, il compta, en compagnie familiale, les scuds irakiens s’écrasant sur la région de Tel-aviv tout en dégustant les sucreries distribuées, à chaque explosion, par son voisinage immédiat.
Si, âgé d’un peu plus de trois ans en 1993, le paraphe apposé par son leader historique sur les « accords d’Oslo » l’inquiéta quelque peu, en 1994 les successifs discours en arabe de Yasser Arafat le tranquillisèrent quant au plan par étape de la reconquête de la totalité de la Palestine et sur le sort des Juifs ‘’l’occupant’’.
L’assassinat d’Itshak Rabin (z’’l) en 1995, par un ‘’allié’’ du camp adverse, lui fit comprendre que la « guerre d’Oslo » était bien entamée et que nulle crainte ne demeurait plus au sujet du projet de deux états en paix vivant côte à côte. Les attentats-suicides organisés par le Hamas, qui firent chuter Shimon Pérès aux élections de 1996, le persuadèrent que le dénouement était proche et la voie choisie la bonne.
L’éducation scolaire, financée en grande partie par l’Union européenne, compléta son ‘’éducation’’ à la haine dès son entrée en cours préparatoire -notamment par l’absence de toute présence de l’état d’Israël sur les manuels scolaire-, et l’imam de son quartier lui enseigna les versets du Coran considérant les Juifs comme « des singes et des porcs », des êtres immoraux n’ayant aucun droit sur une « terre musulmane ».
En l’an 2000, à l’âge de dix ans, il remercia chaleureusement France 2 d’avoir filmer, en ‘’direct’’, « l’assassinat de Mohamed Al-Dura ». En 2002, c’est le « massacre de Djenine », condamné par tous les Droits de l’hommisme que compte la planète, qui le poussa sur la voie du Djihad en promettant de devenir un ‘’martyr’’ au plus tôt.
Etc. etc.
L’itinéraire décrit ici, bien que très succinct et supposé, est plausible et laisse concevoir que des enfants aux cerveaux lobotomisés sont légions dans cette contrée et au service de potentats locaux. Peu d’espoir nous est donc promis quant a une normalisation de la société ‘’palestinienne’’ pour les générations à venir, mais aussi au sujet de la communauté musulmane dans sa quasi totalité
Est il loisible, alors, d’imaginer que la Paix au Proche-orient est imminente, et que toute autre solution qu’un divorce définitif, franc et massif et de longue durée, entre Israéliens et ‘’Palestiniens’’ est envisageable ?
Comment peut on expliquer cette particularité, sinon par le lavage de cerveau qu’ils subissent depuis leurs naissances ?
Samy Salim Hadad est né au cours de la première Intifada, en 1990, quelque part en Judée et Samarie. Agé d’un peu plus d’une année, il compta, en compagnie familiale, les scuds irakiens s’écrasant sur la région de Tel-aviv tout en dégustant les sucreries distribuées, à chaque explosion, par son voisinage immédiat.
Si, âgé d’un peu plus de trois ans en 1993, le paraphe apposé par son leader historique sur les « accords d’Oslo » l’inquiéta quelque peu, en 1994 les successifs discours en arabe de Yasser Arafat le tranquillisèrent quant au plan par étape de la reconquête de la totalité de la Palestine et sur le sort des Juifs ‘’l’occupant’’.
L’assassinat d’Itshak Rabin (z’’l) en 1995, par un ‘’allié’’ du camp adverse, lui fit comprendre que la « guerre d’Oslo » était bien entamée et que nulle crainte ne demeurait plus au sujet du projet de deux états en paix vivant côte à côte. Les attentats-suicides organisés par le Hamas, qui firent chuter Shimon Pérès aux élections de 1996, le persuadèrent que le dénouement était proche et la voie choisie la bonne.
L’éducation scolaire, financée en grande partie par l’Union européenne, compléta son ‘’éducation’’ à la haine dès son entrée en cours préparatoire -notamment par l’absence de toute présence de l’état d’Israël sur les manuels scolaire-, et l’imam de son quartier lui enseigna les versets du Coran considérant les Juifs comme « des singes et des porcs », des êtres immoraux n’ayant aucun droit sur une « terre musulmane ».
En l’an 2000, à l’âge de dix ans, il remercia chaleureusement France 2 d’avoir filmer, en ‘’direct’’, « l’assassinat de Mohamed Al-Dura ». En 2002, c’est le « massacre de Djenine », condamné par tous les Droits de l’hommisme que compte la planète, qui le poussa sur la voie du Djihad en promettant de devenir un ‘’martyr’’ au plus tôt.
Etc. etc.
L’itinéraire décrit ici, bien que très succinct et supposé, est plausible et laisse concevoir que des enfants aux cerveaux lobotomisés sont légions dans cette contrée et au service de potentats locaux. Peu d’espoir nous est donc promis quant a une normalisation de la société ‘’palestinienne’’ pour les générations à venir, mais aussi au sujet de la communauté musulmane dans sa quasi totalité
Est il loisible, alors, d’imaginer que la Paix au Proche-orient est imminente, et que toute autre solution qu’un divorce définitif, franc et massif et de longue durée, entre Israéliens et ‘’Palestiniens’’ est envisageable ?
Nul partisan sincère d’un apaisement du conflit ne l’affirmera sans être déconsidéré aussitôt.
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