On le croyait sur le chemin de l’au-delà. Mais tel qu’en lui-même, Général et Politicien chevronné, il est entrain de gagner encore une bataille. Probablement la plus cruciale de sa vie, car le concernant directement. Allons nous le voir dans les jours prochains, sinon présider le gouvernement depuis l’hôpital, organiser une conférence de presse nous racontant, par le détail et sourire en coin, sa victoire sur cette traîtresse qu’est la maladie ?
Si l’on peut l’espérer, il est une chose que l’on peut déjà lui faire dire. Il n’est pas sorti brusquement de son coma artificiel pour sourire à ses visiteurs en leur serrant la main, comme l’aurait fait -si l’on en croit Leila Shahid- Yasser Arafat lors de la visite de Jacques Chirac à son chevet à l’hôpital militaire Percy. Il est vrai que le Raïs ‘’palestinien’’ était lui dans un coma très profond de stade 4 qui permet, comme chacun sait, la séparation du corps et de l’esprit. Séparation d’autant plus facilité par une proximité bien heureuse des fêtes d’Halloween et de la Toussaint.
S’il est une autre chose que l’on peut faire dire au Premier Ministre Israélien, c’est qu’il ne fut pas empoisonné par les services secrets ‘’palestiniens’’ ou ‘’frères’’. A la rigueur, une petite indigestion causant aigreurs envers ceux qui le virent mort et déjà enterré, lui fut gênant. Mais rien qui ne nécessite une autopsie, ou des déclarations fracassantes dans les médias malveillants à l’égard du Hamas, du Djihad ou du Fatah. Pas même une enquête orientée dont la finalité servirait, en premier lieu, à mettre en doute l’objectif déclaré d’éradication de ces associations de bienfaisances envers l’entité sioniste. Rien de tout cela. Qu’on se le dise, Ariel Sharon n’a pas été empoisonné, et l’ex-déléguée de la Palestine en France en est le témoin impartial et privilégié.
S’il est encore une chose que l’on peut lui faire dire, sur la foi des centaines de journalistes étrangers présents à l’hôpital Hadassa, c’est que nul ne s’est précipité dans la chambre du malade afin de négocier, au mieux, ses intérêts dans le partage des sommes détournées de l’état d’Israël et de ses citoyens. La fouille de sécurité étant de règle à l’entrée de chaque bâtiment public israélien, les lingots d’or et autres babioles de ce genre auraient été vite décelés dans les poches du patient.
Les choses que l’on pouvait lui faire dire étant dites, il ne nous reste plus qu’à attendre impatiemment les date et heure de sa conférence de presse. Sinon pour l’entendre ou le voir, avec espoir, en bon état, mais pour au moins le remercier chaleureusement de sa dévotion envers notre pays, Israël, et notre peuple. Le bénir d’avoir consacré sa vie à l’édification de notre rêve en commun qui nous fait répéter, année après année, l’an prochain à Jérusalem. Ou encore le couronner roi d’Israël aux côtés des David, Moshé, Golda, Isthak et autre Menahem.
Si l’on peut l’espérer, il est une chose que l’on peut déjà lui faire dire. Il n’est pas sorti brusquement de son coma artificiel pour sourire à ses visiteurs en leur serrant la main, comme l’aurait fait -si l’on en croit Leila Shahid- Yasser Arafat lors de la visite de Jacques Chirac à son chevet à l’hôpital militaire Percy. Il est vrai que le Raïs ‘’palestinien’’ était lui dans un coma très profond de stade 4 qui permet, comme chacun sait, la séparation du corps et de l’esprit. Séparation d’autant plus facilité par une proximité bien heureuse des fêtes d’Halloween et de la Toussaint.
S’il est une autre chose que l’on peut faire dire au Premier Ministre Israélien, c’est qu’il ne fut pas empoisonné par les services secrets ‘’palestiniens’’ ou ‘’frères’’. A la rigueur, une petite indigestion causant aigreurs envers ceux qui le virent mort et déjà enterré, lui fut gênant. Mais rien qui ne nécessite une autopsie, ou des déclarations fracassantes dans les médias malveillants à l’égard du Hamas, du Djihad ou du Fatah. Pas même une enquête orientée dont la finalité servirait, en premier lieu, à mettre en doute l’objectif déclaré d’éradication de ces associations de bienfaisances envers l’entité sioniste. Rien de tout cela. Qu’on se le dise, Ariel Sharon n’a pas été empoisonné, et l’ex-déléguée de la Palestine en France en est le témoin impartial et privilégié.
S’il est encore une chose que l’on peut lui faire dire, sur la foi des centaines de journalistes étrangers présents à l’hôpital Hadassa, c’est que nul ne s’est précipité dans la chambre du malade afin de négocier, au mieux, ses intérêts dans le partage des sommes détournées de l’état d’Israël et de ses citoyens. La fouille de sécurité étant de règle à l’entrée de chaque bâtiment public israélien, les lingots d’or et autres babioles de ce genre auraient été vite décelés dans les poches du patient.
Les choses que l’on pouvait lui faire dire étant dites, il ne nous reste plus qu’à attendre impatiemment les date et heure de sa conférence de presse. Sinon pour l’entendre ou le voir, avec espoir, en bon état, mais pour au moins le remercier chaleureusement de sa dévotion envers notre pays, Israël, et notre peuple. Le bénir d’avoir consacré sa vie à l’édification de notre rêve en commun qui nous fait répéter, année après année, l’an prochain à Jérusalem. Ou encore le couronner roi d’Israël aux côtés des David, Moshé, Golda, Isthak et autre Menahem.
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