Chacun connaît le propagandiste d’extrême
gauche et directeur du site Médiapart, Edwy Plenel. Un individu doté de
la certitude de la culpabilité de l’Etat d’Israël en ce qui concerne le
conflit proche-oriental. Gageons que le jour où ce pays arrivera à vivre en
paix avec son voisinage, celui-ci trouvera bien d’autres accusations à porter à
son encontre ! On ne peut donc être étonné d’entendre dans sa chronique
matinale sur France culture intitulée « Le Monde selon
Edwy Plenel » une ode à la gloire de Nelson Mandela
devant, nécessairement, desservir l’Etat juif.
Un monde où l’inversion de la
réalité devient un modèle à suivre et l’utilisation de faux légitime!
C’est depuis la Jordanie
que, dans sa diatribe journalière, celui-ci affirme qu’il se bat « pour
la valeur de notre métier », le journalisme, « et donc pour la
valeur de la démocratie ». Chaque quidam est, en conséquence, à l’écoute
de ce combat annoncé !
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Nelson Mandela a dit, pour
justifier ses actes violents passés, nous relate Plenel, que « la
lutte armée est parfois nécessaire, c’est toujours l’oppresseur non l’opprimé qui
détermine la forme de lutter. Si l’oppresseur utilise la violence l’opprimé n’aura
d’autres choix que de répondre par la violence »
Si bien sûr l’oppresseur est,
dans l’esprit de Plenel, l’Etat d’Israël, comment explique t-il
alors l’oppression exercée sur ce pays à la date de sa création ? N’est-ce
pas du refus de sa renaissance sur une petite partie de sa terre ancestrale par
le monde musulman qu’est né ce conflit ? N’est-ce pas par la guerre de
légitime défense de 1967 qu’est né, à son tour, le problème ‘’palestinien’’ ?
L’opprimé juif de 1948 et de 1967 avait-il d’autres choix que de répondre par la
violence à la guerre pratiquée et professée contre lui ?
Sauf à se suicider, bien sûr que
non !
A ces menues questions Edwy
Plenel n’y répondra pas car les réponses seraient contraires à sa doctrine
malodorante. Il ne dialoguera pas plus sur le refus, encore actuel, de l’Autorité
palestinienne d’admette que l’Etat d’Israël soit le pays du peuple
juif. L’exigence du retour de millions de « réfugiés palestiniens
» en son sein étant le ‘’juste droit’’ devant cacher l’objectif de son éradication.
Un ‘’humanisme’’ que, semble t-il,
il partage au vu de son silence assourdissant
sur le nœud du conflit !
La valeur du journalisme et de la
démocratie recherchée, paraît-il, par ce journaliste ne le poussera donc pas jusqu’à
la quête de LA vérité.
Pas même à respecter la déontologie du métier.
C’est ainsi qu’il a utilisé,
malgré son expérience du métier incontestable, dans cette même chronique
matinale, une fausse lettre de Nelson Mandela datée de 2001 et écrite
par le journaliste Arjan
el-Fassed. Correspondance qui aurait été envoyée au journaliste Thomas
Friedmann du New York Times et qui conclurait, après d’autres
absurdités, évidemment à la similitude entre l’état juif et le régime
sud-africain raciste : « Israël ne pense pas à un état mais à une ‘’séparation’’ avec
guillemets qui renvoie à apartheid ».
Une conclusion rêvée pour cet
idéologue et justifiant la poursuite de l’antisionisme, ce paravent si pratique
dissimulant, le mieux, l’antisémitisme de beaucoup.
Avec de tel ‘’professionnel’’ arrangeant
la réalité selon ses besoins et utilisant des combines malsaines pour atteindre
ses objectifs, nul doute ne subsiste quant au danger grandissant sur la qualité
de nos démocraties et au décès de la valeur du journalisme.
Un « Monde selon Plenel »
devenant de plus en plus réel et qui fait froid dans le dos !
3 commentaires:
Il serait hasardeux de prétendre que ce monsieur est animé d'un fort sentiment d'hostilité à l'endroit des juifs.
Il s'en défend, et affirme qu'il a épousé une juive, c'est selon lui un gage de son philosémitisme, sauf à croire qu'il aurait converti son épouse à ses idées malodorantes.
C'est vrai qu'il ne peut
La politesse invite à se présenter. Un pseudo pour le prochain post. Merci.
Le petit peuple a toujours été quelque peu fasciné par les voyous, et fortement titillé par tout ce qui peut ressembler à la calomnie voire à la délation. Je ne m'explique pas autrement le succès d'un certain nombre de publicistes calamiteux. Les Hessel (le diable ait son âme !), les Enderlin et le sinistre tartuffe à moustache de Mediapart sont bien faits du même bois vermoulu et putride.
C. Labrune
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