Barak Hussein Obama l’a dit et répété lors de sa campagne, il sera l’antithèse de son prédécesseur et le Président américain qui résoudra les problèmes de la planète par la voie du dialogue.
Ainsi, au lendemain de son installation à la Maison Blanche, il fit son premier discours public à destination de la communauté musulmane internationale où il reconnaissait son apport dans la création et la réalisation des USA. Certains cherchent encore cette contribution, et hormis le commerce d’esclave, ils n’ont encore rien trouvé de tangible ! Mais Al-Qaïda a reçu, cinq sur cinq, le message présidentiel et Ayman Zawahiri en rit encore.
B.H. Obama, s’adressa ensuite à L’Iran lors de son nouvel an, proposa de lui « tendre sa main » et signifia être prêt à un dialogue direct si ‘’ le poing iranien se desserre ’’ un tant soi peu. Aux dernières nouvelles, l’Iran serre toujours les deux poings, continue l’enrichissement d’uranium -à des ‘’fins civiles’’- condamne judiciairement une journaliste irano-américaine à huit années d’emprisonnement pour cause d’espionnage, et Obama se tâte, tout de même, au dialogue sans condition !
Au vu de son ‘’doigté’’ politique, la Corée du Nord a maintenu son tir de missile balistique, sensé mettre sur orbite un satellite, malgré les menaces de condamnations de la part du Conseil de Sécurité. La Corée du Sud ainsi que le Japon tremblent encore d’indignation face à la lenteur de cette condamnation. Du coup, la Corée du Nord en a profité pour annoncer une remise en marche de ses centrales nucléaires !
Cuba est prêt à discuter de « tout » selon Raoul Castro. Dans l’attente de ces ‘’discussions’’ Les USA lèvent partiellement l’embargo décrété par J.F.Kennedy et son Président serre la main, sourire aux lèvres, d’Hugo Chavez le nouveau chantre marxiste international.
Ces exemples illustrent le vent que déplace Obama et l’inanité de ses menaces face à des groupes et pays qui n’ont que faire de relations pacifiques. Près de trois mois après son installation à la Maison Blanche, les alliés des Etats Unis s’interrogent quant à la politique suivie.
Et principalement l’un d’entre eux, à savoir Israël.
A entendre et lire les ‘’experts’’, en attente fiévreuse d’une discorde entre ces deux alliés, B.H.Obama ne pourra que « tordre le bras » de Netanyahou et lui imposer un état de ‘’Palestine’’. Mais dans quelle mesure, l’administration américaine pourra exiger des Israéliens de satisfaire l’exigence ‘’palestinienne’’ sans s’assurer auparavant qu’ils reçoivent, au minimum, la garantie de la fin de la violence, la reconnaissance de la part de la communauté musulmane internationale du caractère juif de leur état, celle de leur lien indéfectible avec Jérusalem et le renoncement à un droit de retour d’étrangers au sein même d’Israël ? Toutes choses impensables pour la Oumma.
Que va donc pouvoir faire Obama face à un allié désirant la paix mais récalcitrant à satisfaire la pression musulmane affirmant la prépondérance du conflit proche-oriental sur la paix mondiale ? Va-t-il satisfaire les quatorze autres membres du Conseil de Sécurité et laisser le véto US en sommeil lors d’une éventuelle condamnation ? Va-t-il imposer des sanctions et un isolement à un pays dont il sait les liens fidèles qui unissent les deux peuples ? Va-t-il refuser toute demande d’entraide ? Va-t-il considérer l’intérêt immédiat et oublier l’efficacité d’une alliance ancienne ? Va-t-il satisfaire l’exigence arabe d’une capitulation israélienne ?
A toutes ces questions, et à d’autres, le doute quant à un changement de cap politique est permis. Beaucoup de contre-pouvoirs sont en place et les valeurs universelles solidement accrochées au peuple américain pour permettre un tel basculement radical. Tel l’Europe, les Etats Unis d’Amérique se contenteront de faire les gros yeux, de blâmer Israël de temps à autres, mais ne pourront laisser tomber un allié dont on sait combien est précieuse sa place et sa force de dissuasion au Proche-Orient.
L’avenir d’Israël est, semble t-il, plus entre les mains de ses propres dirigeants. Gageons, qu’actuellement, il est entre de bonnes mains.
Ainsi, au lendemain de son installation à la Maison Blanche, il fit son premier discours public à destination de la communauté musulmane internationale où il reconnaissait son apport dans la création et la réalisation des USA. Certains cherchent encore cette contribution, et hormis le commerce d’esclave, ils n’ont encore rien trouvé de tangible ! Mais Al-Qaïda a reçu, cinq sur cinq, le message présidentiel et Ayman Zawahiri en rit encore.
B.H. Obama, s’adressa ensuite à L’Iran lors de son nouvel an, proposa de lui « tendre sa main » et signifia être prêt à un dialogue direct si ‘’ le poing iranien se desserre ’’ un tant soi peu. Aux dernières nouvelles, l’Iran serre toujours les deux poings, continue l’enrichissement d’uranium -à des ‘’fins civiles’’- condamne judiciairement une journaliste irano-américaine à huit années d’emprisonnement pour cause d’espionnage, et Obama se tâte, tout de même, au dialogue sans condition !
Au vu de son ‘’doigté’’ politique, la Corée du Nord a maintenu son tir de missile balistique, sensé mettre sur orbite un satellite, malgré les menaces de condamnations de la part du Conseil de Sécurité. La Corée du Sud ainsi que le Japon tremblent encore d’indignation face à la lenteur de cette condamnation. Du coup, la Corée du Nord en a profité pour annoncer une remise en marche de ses centrales nucléaires !
Cuba est prêt à discuter de « tout » selon Raoul Castro. Dans l’attente de ces ‘’discussions’’ Les USA lèvent partiellement l’embargo décrété par J.F.Kennedy et son Président serre la main, sourire aux lèvres, d’Hugo Chavez le nouveau chantre marxiste international.
Ces exemples illustrent le vent que déplace Obama et l’inanité de ses menaces face à des groupes et pays qui n’ont que faire de relations pacifiques. Près de trois mois après son installation à la Maison Blanche, les alliés des Etats Unis s’interrogent quant à la politique suivie.
Et principalement l’un d’entre eux, à savoir Israël.
A entendre et lire les ‘’experts’’, en attente fiévreuse d’une discorde entre ces deux alliés, B.H.Obama ne pourra que « tordre le bras » de Netanyahou et lui imposer un état de ‘’Palestine’’. Mais dans quelle mesure, l’administration américaine pourra exiger des Israéliens de satisfaire l’exigence ‘’palestinienne’’ sans s’assurer auparavant qu’ils reçoivent, au minimum, la garantie de la fin de la violence, la reconnaissance de la part de la communauté musulmane internationale du caractère juif de leur état, celle de leur lien indéfectible avec Jérusalem et le renoncement à un droit de retour d’étrangers au sein même d’Israël ? Toutes choses impensables pour la Oumma.
Que va donc pouvoir faire Obama face à un allié désirant la paix mais récalcitrant à satisfaire la pression musulmane affirmant la prépondérance du conflit proche-oriental sur la paix mondiale ? Va-t-il satisfaire les quatorze autres membres du Conseil de Sécurité et laisser le véto US en sommeil lors d’une éventuelle condamnation ? Va-t-il imposer des sanctions et un isolement à un pays dont il sait les liens fidèles qui unissent les deux peuples ? Va-t-il refuser toute demande d’entraide ? Va-t-il considérer l’intérêt immédiat et oublier l’efficacité d’une alliance ancienne ? Va-t-il satisfaire l’exigence arabe d’une capitulation israélienne ?
A toutes ces questions, et à d’autres, le doute quant à un changement de cap politique est permis. Beaucoup de contre-pouvoirs sont en place et les valeurs universelles solidement accrochées au peuple américain pour permettre un tel basculement radical. Tel l’Europe, les Etats Unis d’Amérique se contenteront de faire les gros yeux, de blâmer Israël de temps à autres, mais ne pourront laisser tomber un allié dont on sait combien est précieuse sa place et sa force de dissuasion au Proche-Orient.
L’avenir d’Israël est, semble t-il, plus entre les mains de ses propres dirigeants. Gageons, qu’actuellement, il est entre de bonnes mains.
1 commentaire:
Une résistance en marche !
http://lessakele.over-blog.fr/article-30545453.html
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