Cet article se doit d'être, car la vérité est une exactitude. Et rien d’autre. Seules les interprétations qui en sont faites mènent généralement à de l’incompréhension entre les hommes, voire à des affrontements. Dans le conflit proche-oriental on est gâté de ce côté.
La devise de la Metula News Agency est : « Mal nommer les choses ajoute au malheur du monde ». On suppose donc que la rédaction, sous l’œil attentif de son rédacteur en chef, veillera toujours à choisir les termes de ses articles avec intelligence aux fins d’informer ses lecteurs au plus près de la réalité.
Dans un article intitulé « Extrême engeance », Ilan Tsadik -sous la dictée de Sami el Soudi- affirme la tenue d’un pogrom dans la ville de Hébron. Pogrom commis par « Trois douzaines de casseurs religieux, exactement cagoulés à la manière des miliciens du Hamas à Gaza (…), (qui) commencèrent par incendier la buanderie attenante à la ferme. Ensuite ils entreprirent de mettre le feu à une chambre. Pendant que les assassins-pyromanes étaient à l’œuvre, leurs collègues cagoulés arrosaient copieusement la baraque de pierres, brisant le toit, les fenêtres et les portes, empêchant ainsi les occupants de fuir les flammes. Encerclant la scène du crime se tenait un service d’ordre imposant, venu de Kiriat Arba, tout comme les cagoulés, dont la fonction était de tenir des centaines d’autres Edennistes à l’écart, de même que des Palestiniens, qui observaient l’horreur à distance respectable. Dans l’entre-temps, un troisième groupe de miliciens edennistes faisait la chasse aux cameramen, les empêchant de filmer le drame et détruisant leur matériel. Sami rapporte que les centaines d’Edennistes spectateurs, pris d’une hystérie de meurtre, prodiguaient des conseils aux cagoulés sur les meilleures manières de tourmenter la famille arabe ».
Une description qui fait froid dans le dos et évoque, à qui a étudié un petit peu l’histoire du peuple juif, un sinistre rappel des souffrances à travers les temps de cette population. Dire que cet article a fait bondir une bonne partie de la communauté pro-israélienne francophone d’Internet est un doux euphémisme. Ce qui a contraint Stéphane Juffa à soutenir, par un nouvel article intitulé « Rester clairs 1ere partie » et « Rester clairs 2nd partie », l’affirmation faite par Ilan Tsadik -qui, rappelons le, n’était pas sur les lieus- agrémenté d’un : « Nous nous sommes trouvés, la semaine dernière, dans une situation de pogrom, et l’on ne doit qu’à l’intervention courageuse des journalistes présents, puis de l’armée, d’avoir évité le pire ». C’est dire toute la GRA-VI-TE de ce ‘’pogrom’’ aux yeux de cette agence de presse.
Restons clairs ! Et évacuons tout d’abord, de ces deux articles, tout ce qui borde le sujet Pogrom or not Pogrom et le tartine jusqu’à le faire oublier.
Que des exactions aient été commises nul ne le nie. Que la ville du patriarche ait vécu des jours de violences, de haine et de rancune cela est la vérité. Que dans cette région vivent une minorité d’ultras-religieux, d’ultras-nationalistes et des jusqu’au-boutistes prêt à en découdre avec l’armée, la police, les Juifs de l’autre bord et les ‘’Palestiniens’’ cela ne fait pas de doute. Que des hommes politiques de premier plan les représentent c’est vrai. Mais tout cela n’était pas le sujet principal qui fit réagir les internautes et provoqua un deuxième article de l’agence. Stéphane Juffa nous fait donc un hors sujet.
La question de fond est Pogrom or not Pogrom? C’est la question qui divise et qui se pose toujours ! A la lecture des deux articles susmentionnés les questions sont nombreuses à interpeller l’intelligence des lecteurs, désireux de connaître la réalité des faits et non pas couvrir les agissements de certains, quels qu’ils soient. Et d’abord, le nombre de journalistes présents lors de ce pogrom affirmé par Stéphane Juffa qui reconnaît que dans « l’oued qui sépare Kiryat Arba de Hébron il y avait à peine moins de journalistes » que lors du « pseudo-assassinat de Mohamed A-Dura » à Netzarim. Soit vingt-quatre « dont trois seulement étaient arabes ».
On imagine donc -et connaissant par cœur le réflexe et l’antipathie de ces derniers à l’égard du peuple israélien- les articles de presse ; puis les interviews des témoins ; les débats impromptus organisés par ces médias hostiles à travers la planète invitant les victimes -toujours vivantes- à décrire leurs souffrances ; la saisine des instances internationales ; les condamnations des ONGS droits de l’hommistes ; ou encore les manifestations locales de l’ONG La Paix maintenant horrifiée, à juste titre, de ce pogrom et qui lui aurait permis, par la bande, de contribuer à la réussite électorale de son parti mentor Meretz. Même le MRAP aurait été de sa condamnation !!!!
De tout cela RIEN. Un pogrom est passé et il fit long feu. Pas même la journaliste de la télévision israélienne, consolée par Sami el Soudi dans l’article d’Ilan Tsadick, ne fit son travail. Pas un reportage, pas une interview (les témoins ne manquent pas : journalistes, riverains et soldats), pas une image de toute la semaine de ce POGROM sur les trois chaînes nationales israéliennes. Rien de rien.
Pas même un des trois reporters arabes sur place -mentionnés par Stéphane Juffa- n'y fit mention, dans un média arabe. Pas même la télévision du Hezbollah n’y fit allusion.
Pas même une caméra ou un téléphone cellulaire ne filma la scène. Ni un appareil photo n’immortalisa ces atrocités. Pas même un stylo ne prit le soin de prendre des notes. Google, à la demande « pogrom à Hébron » reste presque muet. Seul, depuis plus d’une semaine, un article d’Haaretz (repris par les sites amis) restitue les faits retranscrits par la Metula News Agency et rapportés par son correspondant sur place Sami el Soudi. C’est très peu vu la GRA-VI-TE de l’acte et la charge émotionnelle que comprendrait, au sein du peuple juif, un tel geste.
Pas même une enquête judicaire décidée au plus haut niveau ministériel n’est diligentée à ce sujet. Malgré que le Premier ministre Ehud Olmert ne jure, politiquement, que par cette accusation.
Alors ? Tous complices de ces « miliciens zélotes » si chers à l’agence ?
Après ce constat, tout lecteur est donc en droit, et en devoir aussi, de s’interroger sur la véracité et/ou l’interprétation idéologique, politique et émotionnelle des faits qui se sont passés ce jour là.
Au pire, l’agence Metula News Agency s’est faite possédée par son correspondant (cela arrive aux meilleurs), aidé en cela par le journaliste du quotidien Haaretz, seul des vingt-quatre reporters sur place à avoir informer son lectorat !?
Au mieux, les exactions commises ce jour par une poignée d’excités justiciables et condamnables ont été amplifiées et mal interprétées. Ce qui expliquerait le silence quasi planétaire à ce propos.
A la lueur de cette réflexion, nulle ambiguïté ne demeure quant à l’invraisemblance de ce pogrom. L’agence, par son entêtement, s’empêtre dans une impasse du style enderlinienne. La Metula News Agency est dorénavant le seul média de la planète (Haaretz n’en parle déjà plus) qui maintient qu’un pogrom eut lieu à Hébron, outre celui de 1929, celui là bien réel, qui fit soixante sept victimes juives, causa l’éradication de cette communauté de cette ville et l’appropriation de ses biens par les responsables du massacre.
Dans l’absurde, il ne reste plus qu’à attendre qu’un nouvel historien, sosie d’un B. Morris, réécrive l’histoire en s’appuyant sur le témoignage exclusif de l’agence. Une agence qui, après coup, ne procure à ses lecteurs ni reportages, ni témoignages ou photos de ce qu’elle avance.
On la connut mieux inspirée.
La devise de la Metula News Agency est : « Mal nommer les choses ajoute au malheur du monde ». On suppose donc que la rédaction, sous l’œil attentif de son rédacteur en chef, veillera toujours à choisir les termes de ses articles avec intelligence aux fins d’informer ses lecteurs au plus près de la réalité.
Dans un article intitulé « Extrême engeance », Ilan Tsadik -sous la dictée de Sami el Soudi- affirme la tenue d’un pogrom dans la ville de Hébron. Pogrom commis par « Trois douzaines de casseurs religieux, exactement cagoulés à la manière des miliciens du Hamas à Gaza (…), (qui) commencèrent par incendier la buanderie attenante à la ferme. Ensuite ils entreprirent de mettre le feu à une chambre. Pendant que les assassins-pyromanes étaient à l’œuvre, leurs collègues cagoulés arrosaient copieusement la baraque de pierres, brisant le toit, les fenêtres et les portes, empêchant ainsi les occupants de fuir les flammes. Encerclant la scène du crime se tenait un service d’ordre imposant, venu de Kiriat Arba, tout comme les cagoulés, dont la fonction était de tenir des centaines d’autres Edennistes à l’écart, de même que des Palestiniens, qui observaient l’horreur à distance respectable. Dans l’entre-temps, un troisième groupe de miliciens edennistes faisait la chasse aux cameramen, les empêchant de filmer le drame et détruisant leur matériel. Sami rapporte que les centaines d’Edennistes spectateurs, pris d’une hystérie de meurtre, prodiguaient des conseils aux cagoulés sur les meilleures manières de tourmenter la famille arabe ».
Une description qui fait froid dans le dos et évoque, à qui a étudié un petit peu l’histoire du peuple juif, un sinistre rappel des souffrances à travers les temps de cette population. Dire que cet article a fait bondir une bonne partie de la communauté pro-israélienne francophone d’Internet est un doux euphémisme. Ce qui a contraint Stéphane Juffa à soutenir, par un nouvel article intitulé « Rester clairs 1ere partie » et « Rester clairs 2nd partie », l’affirmation faite par Ilan Tsadik -qui, rappelons le, n’était pas sur les lieus- agrémenté d’un : « Nous nous sommes trouvés, la semaine dernière, dans une situation de pogrom, et l’on ne doit qu’à l’intervention courageuse des journalistes présents, puis de l’armée, d’avoir évité le pire ». C’est dire toute la GRA-VI-TE de ce ‘’pogrom’’ aux yeux de cette agence de presse.
Restons clairs ! Et évacuons tout d’abord, de ces deux articles, tout ce qui borde le sujet Pogrom or not Pogrom et le tartine jusqu’à le faire oublier.
Que des exactions aient été commises nul ne le nie. Que la ville du patriarche ait vécu des jours de violences, de haine et de rancune cela est la vérité. Que dans cette région vivent une minorité d’ultras-religieux, d’ultras-nationalistes et des jusqu’au-boutistes prêt à en découdre avec l’armée, la police, les Juifs de l’autre bord et les ‘’Palestiniens’’ cela ne fait pas de doute. Que des hommes politiques de premier plan les représentent c’est vrai. Mais tout cela n’était pas le sujet principal qui fit réagir les internautes et provoqua un deuxième article de l’agence. Stéphane Juffa nous fait donc un hors sujet.
La question de fond est Pogrom or not Pogrom? C’est la question qui divise et qui se pose toujours ! A la lecture des deux articles susmentionnés les questions sont nombreuses à interpeller l’intelligence des lecteurs, désireux de connaître la réalité des faits et non pas couvrir les agissements de certains, quels qu’ils soient. Et d’abord, le nombre de journalistes présents lors de ce pogrom affirmé par Stéphane Juffa qui reconnaît que dans « l’oued qui sépare Kiryat Arba de Hébron il y avait à peine moins de journalistes » que lors du « pseudo-assassinat de Mohamed A-Dura » à Netzarim. Soit vingt-quatre « dont trois seulement étaient arabes ».
On imagine donc -et connaissant par cœur le réflexe et l’antipathie de ces derniers à l’égard du peuple israélien- les articles de presse ; puis les interviews des témoins ; les débats impromptus organisés par ces médias hostiles à travers la planète invitant les victimes -toujours vivantes- à décrire leurs souffrances ; la saisine des instances internationales ; les condamnations des ONGS droits de l’hommistes ; ou encore les manifestations locales de l’ONG La Paix maintenant horrifiée, à juste titre, de ce pogrom et qui lui aurait permis, par la bande, de contribuer à la réussite électorale de son parti mentor Meretz. Même le MRAP aurait été de sa condamnation !!!!
De tout cela RIEN. Un pogrom est passé et il fit long feu. Pas même la journaliste de la télévision israélienne, consolée par Sami el Soudi dans l’article d’Ilan Tsadick, ne fit son travail. Pas un reportage, pas une interview (les témoins ne manquent pas : journalistes, riverains et soldats), pas une image de toute la semaine de ce POGROM sur les trois chaînes nationales israéliennes. Rien de rien.
Pas même un des trois reporters arabes sur place -mentionnés par Stéphane Juffa- n'y fit mention, dans un média arabe. Pas même la télévision du Hezbollah n’y fit allusion.
Pas même une caméra ou un téléphone cellulaire ne filma la scène. Ni un appareil photo n’immortalisa ces atrocités. Pas même un stylo ne prit le soin de prendre des notes. Google, à la demande « pogrom à Hébron » reste presque muet. Seul, depuis plus d’une semaine, un article d’Haaretz (repris par les sites amis) restitue les faits retranscrits par la Metula News Agency et rapportés par son correspondant sur place Sami el Soudi. C’est très peu vu la GRA-VI-TE de l’acte et la charge émotionnelle que comprendrait, au sein du peuple juif, un tel geste.
Pas même une enquête judicaire décidée au plus haut niveau ministériel n’est diligentée à ce sujet. Malgré que le Premier ministre Ehud Olmert ne jure, politiquement, que par cette accusation.
Alors ? Tous complices de ces « miliciens zélotes » si chers à l’agence ?
Après ce constat, tout lecteur est donc en droit, et en devoir aussi, de s’interroger sur la véracité et/ou l’interprétation idéologique, politique et émotionnelle des faits qui se sont passés ce jour là.
Au pire, l’agence Metula News Agency s’est faite possédée par son correspondant (cela arrive aux meilleurs), aidé en cela par le journaliste du quotidien Haaretz, seul des vingt-quatre reporters sur place à avoir informer son lectorat !?
Au mieux, les exactions commises ce jour par une poignée d’excités justiciables et condamnables ont été amplifiées et mal interprétées. Ce qui expliquerait le silence quasi planétaire à ce propos.
A la lueur de cette réflexion, nulle ambiguïté ne demeure quant à l’invraisemblance de ce pogrom. L’agence, par son entêtement, s’empêtre dans une impasse du style enderlinienne. La Metula News Agency est dorénavant le seul média de la planète (Haaretz n’en parle déjà plus) qui maintient qu’un pogrom eut lieu à Hébron, outre celui de 1929, celui là bien réel, qui fit soixante sept victimes juives, causa l’éradication de cette communauté de cette ville et l’appropriation de ses biens par les responsables du massacre.
Dans l’absurde, il ne reste plus qu’à attendre qu’un nouvel historien, sosie d’un B. Morris, réécrive l’histoire en s’appuyant sur le témoignage exclusif de l’agence. Une agence qui, après coup, ne procure à ses lecteurs ni reportages, ni témoignages ou photos de ce qu’elle avance.
On la connut mieux inspirée.
16 commentaires:
Matai @victor
Pogrom or not pogrom la est effectivement la vraie question le reste est de l'enfumage. La réalité des faits et non celle de la "situation" c'est qu'il n'y a pas eu de pogrom !! Je n'ai aucun lien ni de prés ni de loin avec les extremistes égrenés dans l'article de SJ. Cette ficelle est la même qu'utilise Enderlin et ses "adorateurs" :"ceux qui me critiquent font partie d'une droite radicale raciste et extremiste". Il est bien triste que la Mena utilise ce même procédé.
Tout à fait d'accord avec votre paragraphe concernant les exactions commises et la présence d'ultra religieux etc mais comme vous l'écrivez "HORS SUJET"
@Perez
Vous me faites penser à tous ces 'défenseurs' d'Israel que l'on voyait à une certaine époque à la télé, qui, avant même d'avancer un mot favorable à Israel, affirmaient au préalable et avec force conviction, qu'ils étaient contre la politique de sharon et pour un Etat palestinien. Espérant ainsi obtenir un peu de crédibilité de la part des pro-palos anti-juifs invités sur le plateau, ils pouvaient alors se lancer, soulagés, dans une timide contradiction.
Rien ne vous obligeait à jeter en pature à la mena les 'ultra religieux' et les 'ultra-nationalistes' dans l'espoir de rendre le reste de vos propos acceptables par eux :
"Je te donne les ultras, tu m'accordes qu'il n'y a pas eu de pogrom".
Il n'y a pas eu de pogroms, mais les pogromistes en puissance sont bien existants, n'est-ce pas ?
Un conseil : rabibochez vous avec la mena. Vous êtes plus pret idéologiquement de leurs spécialistes en pogrom que des juifs 'ultras' dont il faudra m'indiquer la définition lorsque vous la (les) connaitrez.
@ Jean,
Rien, en effet ne m'obligeais à jeter en pature, comme vous dîtes, les ultras.
Sauf que je n'apprécie pas du tout que des individus agissent comme des criminels. Et cela soit-disant pour défendre le peuple juif.
L'extrême gauche également défend ce peuple. Doit on applaudir à toutes leurs actions ?
Arrêtez d'être borgne et pensez majorité et lois.
Cela fera avancer le débat.
Le débat avancera lorsque vous traiterez les ultras gauche comme vous traitez les ultras juifs.
Employant les memes méthodes que la Mena, vous vous servez des agissements des uns pour condamner l'ensemble. Si un seul juif de Hevron cède a la violence, ce sont tous les juifs de Hevron et ceux qui les soutiennent qui sont condamnés défintivement.
En revanche, vous vous garderez bien de condamner l'ensemble des palestiniens malgré les innombrables terroristes qui sont parmi eux ; vous vous garderez bien de jeter aux orties toute l'ultra gauche malgré les nombreux traitres qui la composent ; vous vous garderez de vous désabonner de la mena, malgré les méthodes enderlineuses qu'ils emploient comme vous l'avez relevé.
Pour mémoire, Ygal Amir n'habitait Hevron mais Hertzlya. Les habitants d'Hertzlya sont-ils des criminels en puissance à jeter en pature aux bien pensant ?
C'est ahurissant de voir combien vous copiez dans vos méthodes, les pires ennemis d'Israel que par ailleurs vous prétendez fustiger. Ce que vous écrivez pourrait parfaitement etre écrit par un correspondant de l'afp.
Au royaume des aveugles....
@ Jean,
Les ultras gauche ne sont pas, selon vous, des juifs ? Qui décide de la qualité d'un individu ?
Seulement des gens qui ont votre ''judaïsme'' ???
Pour ce qui est de condamner "TOUS les habitants de Hébron"... Où l'ais-je fait ? Merci de me rappeler le paragraphe en question. Il y a plus de 400 articles sur ce blog à votre disposition.
Un criminel EST un criminel quelque soit sa religion. Il suffit pour cela qu'il viole la loi instituée par les représentants de la majorité du peuple.
Quant à la Mena... Si seulement vous aviez défendu l'état d'Israël, le peuple Juif et ses soutiens comme l'ont fait les membres de cette agence, je pourrais donner un certain crédit à vos récriminations.
Mais ce n'est pas le cas, n'est-ce pas ?
Pour conclure: si tous les Juifs vous ressemblaient je n'en serais probablement plus. Si tous les défenseurs d'Israël agissaient aussi peu que vous, où serions nous à l'heure actuelle ????
Ou ai-je écrit que les ultras gauche n'étaient pas des juifs ?? Il n'y a que 2 messages a relire pour me le montrer.
Vous avez un grave problème !
Par ailleurs que savez vous de moi et pourquoi déplacez-vous cet échange vers un aspect personnel ? Seriez vous vous même un héros de toutes les guerres d'Israel dont la célébrité m'aurait échappé ?
Quant à la mena, si Roxane était prete a servir le café à ses redacteurs pour se faire embaucher, elle a trouvé leur cireur de chaussure.
Je vais finir par la trouver sympathique finalement cette Roxane. Au moins elle avait le sens de l'échange.
Les Juifs sont responsables les uns des autres. Meme le pire d'entre nous ne me fera jamais renier ce que je suis. Il n'y a que les branches pourries pour se détacher du tronc dès que le vent se lève.
@ Jean,
"Ou ai-je écrit que les ultras gauche n'étaient pas des juifs ??"
Mais là: "Le débat avancera lorsque vous traiterez les ultras gauche comme vous traitez les ultras juifs".
A vous lire j'avais l'impression, outre que vous ne les aimez pas, qu'ils n'étaient même pas Juifs.
Je continue à vous citer:
"Par ailleurs que savez vous de moi et pourquoi déplacez-vous cet échange vers un aspect personnel ?"
La critique est aisée mais l'ART est difficile. Où sont vos actes en défense d'Israël ? Vu l'agressivité de vos posts à mon égard je suis en droit de vous demander la liste de vos propres actes.
Ils sont nombreux ?
La suite:
"Quant à la mena, si Roxane était prete a servir le café à ses redacteurs pour se faire embaucher, elle a trouvé leur cireur de chaussure".
Pour obtenir quoi en échange ?
"A vous lire j'avais l'impression, outre que vous ne les aimez pas, qu'ils n'étaient même pas Juifs."
Donc je n'ai pas écrit qu'ils n'étaient pas des Juifs ou que je ne les aimais pas. C'est vous qui l'avez décidé ainsi, c'est vous qui avez cette impression et ca vous suffit pour affirmer que je l'ai écrit. Comble du culot, vous pretendez en fournir la "preuve' et cette preuve montre que je ne l'ai pas écrit. Franchement vous faites fort et l'AFP a coté de vous, ce sont des petits joueurs. A force de vouloir incarner la vertu et la justice, vous ne voyez que le mal chez les autres, qu'il existe ou non.
Je ne sais pas comment vous faites pour en etre encore a chercher le pedigree d'un contradicteur afin estimer justes ou non, ses critiques. Pour ma part je ne me suis pas posé la question de savoir si vous étiez un pauvre petit journaliste au chomage ou en pré retraite, ou un futur grand analyste politique, pour juger de ce que vous écrivez. Je ne vois pas très bien ce que cela ajouterait ou retirerait à la qualité de vos écrits. Lorsque l'on écrit, on peut soit garder son chef d'oeuvre pour soi, soit le publier. Si on le publie alors il faut accepter la critique comme vous accepteriez les applaudissements que vous trouverez toujours bien mérités. Ne vous pensez victime d'un pogrom et n'en faites pas une affaire personnelle. Il y a une semaine, j'ignorais jusqu'a votre existence et j'arrivais a survivre.
A propos des ultras gauche:
"Donc je n'ai pas écrit qu'ils n'étaient pas des Juifs ou que je ne les aimais pas".
A lire tous vos posts, je parierai que vous aimez les ultras juifs. Le ton et les termes que vous choisissez me l'indique. Est-ce que je me trompe.
Je vous cite encore:
"Il y a une semaine, j'ignorais jusqu'a votre existence et j'arrivais a survivre"
Faites moi plaisir et continuez à survivre loin de mon blog. Je suis sûr que les internautes lecteurs de mon blog apprécierons.
Merci d'être passer briévement. ce fut un réel plaisir de bavarder avec vous.
Je ne les aime pas seulement, je les admire.
Et vous, qui aimez vous ?
@ Jean,
J'aime le peuple juif dans sa diversité. Son humanisme, ses valeurs universelles, son éthique.
Et lorsque je vois un extrêmiste de droite, ou de gauche, désirer salir tout cela je le combats.
@Perez
Et a quoi reconnaissez-vous un extremiste de droite ou de gauche ?
A t il une plume dans les fesses, une photo de céline dion dans son portefeuille, le chapeau de davy crockett sur la tete ?
Je vous rappelle que sur le forum de la Mena, vous etes considéré comme un raciste et comme un dangereux illuminé fanatique d'extrème droite.
Vous estimez peut-être que la méthode est bonne et vous voulez l'employer avec moi ?
Ou bien estimez-vous peut être que vous un modèle, une sorte d'étalon avec lequel on mesurerait la vertu, l'honneté, la sagesse de chacun... que vous seriez le symbole de ce que doit etre le judaisme, le sionisme...? En tout cas, on peut dire que vous n'avez pas une petite opinion de votre personne ! L'humilité, vous ne connaissez pas, et pourtant...
Pourquoi ne vous contenteriez-vous de me prouver que je me trompe ?
@ Jean,
Vous me fatiguez. Débattre doit au moins m'enrichir. Avec vous c'est raté.
Je vous cite une drnière fois.
"Et a quoi reconnaissez-vous un extremiste de droite ou de gauche ?"
A ses soutiens. A son manque de modération. A son manque de compréhension de la partie adverse.
A quoi donc reconnaissons nous un Le Pen ? A son support de ceux qui se revendiquent de la violence,de son racisme envers une minorité. etc...
Je n'ai donc pas de mal à vous reconnaître comme un extrêmiste de droite.
Je note, par ailleurs, que vous ne m'avez toujours pas indiqué quelle est votre méthode (douce évidemment)qui a votre préférence pour exclure les arabes israéliens du territoire israélien.
Cela est inutile, débattre avec vous ne m'intéresse plus.
Vous ne savez pas débattre, vous ne savez qu'insulter vos contradicteurs, comme vous l'avez fait sur le forum de la mena, où je vous le rappelle à nouveau, vous êtes considéré comme un raciste et un extrémiste. A mon sens, c'est un compliment qu'ils vous font encore, car vous n'êtes même pas cela. Vous êtes un obsédé qui souffre d'un traumatisme shoatique. Vous avez tellement peur qu'on vous reproche de vous comporter comme un nazi, que vous êtes pret à pénétrer de votre plein gré dans une chambre à gaz, juste pour prouver que vous n'êtes pas nazi. Et c'est précisément ce qu'attendent de vous (de nous) tous les anti juifs de gauche comme de droite sous la censure desquels vous avez choisi de vous exprimer.
Vous n'avez aucun raisonnement cohérent, tout est à l'emporte pièce. Vous ne savez que jeter des 'raciste' et des 'extrémistes' a tout bout de chant.
Si vous voulez vous enrichir dans un débat, cessez de vous croire supérieur aux autres, et cessez de tout ramener au racisme comme un vulgaire petit anti-raciste de cage d'escalier.
Cela dit, si votre but dans cette discussion était de donner des gages a la Mena et de lui prouver que finalement vous n'etes pas raciste mais juste un peu paumé, alors j'espère sincèrement que vous aurez réussi dans votre entreprise.
@ Jean,
Je laisse à l'appréciation des internautes votre dernier message qui démontre combien le débat est dans votre nature.
Votre modération a eu le dernier mot.
Encore votre traumatisme.
Enregistrer un commentaire