Dalil Boubakeur, président du CFCM -le Conseil français du culte musulman- et recteur de la mosquée de Paris, a été invité à Matignon, par le Premier Ministre Français Dominique de Villepin, pour converser sur les évènements qui‘’enflamment’’ les banlieues françaises et mettent les autorités françaises, d’habitude donneuses de leçons, en grande difficulté.
Invitation en solo qui soulignera, avec force, l’absence de tout autre dignitaire de religion différente, et ainsi révèlera la reconnaissance implicite du gouvernement quant à la religion des émeutiers qui mettent la France à mal et ne rêvent que guerre de civilisation sous couvert de revendications, par ailleurs, légitimes. Aveu qui écarte, de ce fait, toutes les distorsions médiatiques françaises permettant à la ‘’pensée chiraquienne’’ de camoufler l’origine du danger, à savoir l’interprétation guerrière de l’Islam.
Une invitation, donc, qui permit à Dalil Boubakeur, au sortir de Matignon, de réclamer -sans fausse honte- attendre « de toutes les autorités, de M. Nicolas Sarkozy, de M. le Premier ministre et d'autres hautes personnalités de ce pays, (…) des paroles de paix ». « Nous pensons que ces paroles apaisantes sont tout à fait nécessaires actuellement », car selon lui, les ‘’jeunes’’ ressentent « une espèce de mal de vivre, de mal être » qui ne saurait toutefois « en aucune manière expliquer les destructions qui s'opèrent et les dégâts qu'ils produisent actuellement ».
Déclarations qui souligneront, avec force là encore, l’absence d’excuses du représentant de l’Islam de France -en nom et place des casseurs, ouailles de sa paroisse- envers, entre autre, les propriétaires de véhicules incendiés -souvent en fin de parcours et donc très mal remboursés-, ou encore envers les employés des entreprises carbonisées mis, de fait, au chômage technique. Pertes financières pour des gens modestes qui ne pourront qu’envenimer un peu plus les relations interconfessionnelles dans ce pays.
On restera, par ailleurs, interloqué par l’exigence de « paroles de paix », alors que le Recteur de la mosquée de Paris est, à ce jour, toujours silencieux quant aux déclarations du président de l’Iran appelant à la destruction de l’Etat d’Israël. Appel qui sous-entend une nouvelle éradication de six millions d’Israéliens et permet la mesure, par le silence, de la complicité du monde musulman dans sa quasi totalité et l’absence affligeante, dans le combat politique, de musulmans dits modérés.
Une carence préjudiciable à la paix car permettant aux islamistes, mais aussi à leurs simples sympathisants, d'accroître le fossé qui sépare les différentes civilisations. Une déficience qui autorise, pour l’instant, le démenti quant à l’équation Islam « religion d’amour et de paix ».
Invitation en solo qui soulignera, avec force, l’absence de tout autre dignitaire de religion différente, et ainsi révèlera la reconnaissance implicite du gouvernement quant à la religion des émeutiers qui mettent la France à mal et ne rêvent que guerre de civilisation sous couvert de revendications, par ailleurs, légitimes. Aveu qui écarte, de ce fait, toutes les distorsions médiatiques françaises permettant à la ‘’pensée chiraquienne’’ de camoufler l’origine du danger, à savoir l’interprétation guerrière de l’Islam.
Une invitation, donc, qui permit à Dalil Boubakeur, au sortir de Matignon, de réclamer -sans fausse honte- attendre « de toutes les autorités, de M. Nicolas Sarkozy, de M. le Premier ministre et d'autres hautes personnalités de ce pays, (…) des paroles de paix ». « Nous pensons que ces paroles apaisantes sont tout à fait nécessaires actuellement », car selon lui, les ‘’jeunes’’ ressentent « une espèce de mal de vivre, de mal être » qui ne saurait toutefois « en aucune manière expliquer les destructions qui s'opèrent et les dégâts qu'ils produisent actuellement ».
Déclarations qui souligneront, avec force là encore, l’absence d’excuses du représentant de l’Islam de France -en nom et place des casseurs, ouailles de sa paroisse- envers, entre autre, les propriétaires de véhicules incendiés -souvent en fin de parcours et donc très mal remboursés-, ou encore envers les employés des entreprises carbonisées mis, de fait, au chômage technique. Pertes financières pour des gens modestes qui ne pourront qu’envenimer un peu plus les relations interconfessionnelles dans ce pays.
On restera, par ailleurs, interloqué par l’exigence de « paroles de paix », alors que le Recteur de la mosquée de Paris est, à ce jour, toujours silencieux quant aux déclarations du président de l’Iran appelant à la destruction de l’Etat d’Israël. Appel qui sous-entend une nouvelle éradication de six millions d’Israéliens et permet la mesure, par le silence, de la complicité du monde musulman dans sa quasi totalité et l’absence affligeante, dans le combat politique, de musulmans dits modérés.
Une carence préjudiciable à la paix car permettant aux islamistes, mais aussi à leurs simples sympathisants, d'accroître le fossé qui sépare les différentes civilisations. Une déficience qui autorise, pour l’instant, le démenti quant à l’équation Islam « religion d’amour et de paix ».
1 commentaire:
J'ajouterai la fatwa lancée par l'UOIF, organisation inspirée de la doctrine des Frères Musulmans et financée en partie par des fonds saoudiens.
Edictée pour "apaiser le climat" et acceptée voire même bienvenue en France, cette fatwa est en réalité des plus inquiétante. Elle tend à substituer aux Lois de la République française la loi religieuse islamique, conformément à la charia.
De zones de non-droit, nous glissons doucement mais sûrement vers des zones de non-droit français mais de droit islamique. Ca fait froid dans le dos.
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